4 ANNONCES. OBILIGB. Alexandre le nomma son maître de chapelle. En 1811 Boeldieu était de retour Paris. 11 y lit représenter successivement Jean de Paris le Nouveau Seigneur la Pèle du Village voisinle Petit Chaperon rouge, la Dame blanche et les Deux Nuits son dernier ouvrage. - Le Journal de Rouendu 1 t oelobre, publie des détails sur la deuxième réunion commerciale des fabricansde Rouen. Lorsque la discussion a été close sur ce terrain M. le maire, qui présidait la réuoioD, a proposé de décider préalablement la nomination des délégués quel serait le sys tème qu'ils seraient chargés de soutenir de vant le conseil supérieur de commerce. Cet avis ayant été agréé l'assemblée s'est pro noncée en très-grande majorité en faveur du système de la prohibition quand même. - Une réunion générale deslabiieans de tulle, de Calais, était indiquée l'effet de choisir un délégué pour représenter la fa brique, auprès du conseil supérieur de com met ce. - Voici comment un journal de l'Aisne parle de la réunion de la chambre consulta tive de St.- Quentin Le rapporteur de la commission, M. Char les Quentin s'est attaché établir le fuueste effet que produirait le système des taiifs il a combattu, ensuite, les argnmens que les pro priétaires de vignes et des villes maritimes élè vent en faveur de la levée des prohibitions, et a soutenu que le remplacement de la prohibi tion par des tarifs amèuerait la ruine des manufactures de St.-Quentin. - On lit dans le Journal du Havre Si nous sommes bien informés la cham bre de commerce, du Havre aurait déclaré qu'elle ne pouvait douner aucun avis sur l'a bolition des prohibitions qui existent encore contre l'admission eo France de la plupart des articles de fabrique étrangère du mo ment où la question sur les bouilles ainsi que celle sur les fers qui devraient d'abord, cire décidéesétait mises de côté, attendu qu'il serait aussi absurde qu'injuste de per mettre l'introduction des articles eu question, sausavoir préalablement fourni nos pro pres fabricaus les moyen de lutter contre leurs rivaux étrangers en les plaçant, le plus possible, envers ces derniers, sur un pied d'égalité l'égard de toutes les matières pie- mières, et, surtout, relativement celle d'une si grande importance pour eux, que la bouille et le fer. - D'après le nouveau tarif des'droits an glais les éditions des livres en langue étran gères vivantes imprimés depuis 1801 inclu sivement reliés ou non paieront un droit de 2 1 iv3 sh. par cent. L'ancien droit était de 5 liv. par cent. - Il résulte d'un article du Courrier Français, qui confirme ce qu'a dit la Ken- tisch-Gazette que lord Wellington avait aliéné ou s'était fait donner avant i83o, le capital des biens fonds dont on lui avait fait don en Belgique, (r) - Trois mille huil cents réfugiés polonais, de France et d'Angleterre viennent de pro tester contre toute amnistie de la part de l'em pereur de Russie. - Des lettres de Madrid disent que des corps de toutes armes sont en marche, de difïerens points, pour se rendre l'armée du Nord. Il parait que le ministère réunit toutes les forces disponibles pour frapper uu coup décisif contre les iusurgés. On parle de l'en trée prochaine d'un corps d'armée portugai se sur le territoire espagnol. La chambre des procérés s'est assemblée récemment en séance secrète pour délibé rer sur la question de savoir s'il y avait lieu de mander a sa barre, le journal l'oJbeille quidaus uu de ses articles avait attaqué les voles des procuradorèes en faveur du pro jet de loi de finances. Après une violente dis cussion la chambre a décidé que la question était du ressort des tribunaux. ANGLETERRE. Londres i5 octobre. des directeurs de la de la manière compagnie la plus ab- uue chambre des pairs et une chambre des communes on peut atteindre le plus haut degré de liberté dont on ail jamais joui sur la terre et dont aucun peuple puisse ou doive jouir. Je le demande: quel serait sur les clas ses ouvrières le résultat de tout système po litique d'où sortiraient le désordre et la con fusion N'ont-elles pas plus que toute au tre besoin d'ordre et de repos afin que rien ne trouble les progrès de l'industrie agricole et manufacturière?)} Les paroles de lord Durliam ont été reçues avec acclamation. - La société de la banque d'Angleterre a élu le 10 M. James Pathison gourvemeur de la banque pour le reste de l'année, en rem placement de M. Raikes, en état de faillite. - Le Morning-Post assure que le gou vernement frète des bàtimenspour trans porter 10,000 fusils Cadix 10,000 Car- thagène et 5,000 la Corogne. - On lit dans le Morning- Post Il n'est pas vrai que le duc de Wellington ait demandé au roi Léopold, le paiement de 28,000 liv. st. ou quelqu'aulte somme comme inspecteur des forteresses construites pour la défense des Pays-Bas. La cour des Indes a rejeté solueM. Charles Grautproposé pour le gouvernement de l'Inde. Maintenant, on va proposer lord Palmerston on espère qu'il sera accepté et déjà M. Shée sous-secré taire d'état des affaires-étrangèresqui ne pourrait conserver ce poste si lord Palmer ston quittait le ministère a été pourvu de l'ambassade de Berlin en remplacement de lord Minto qui est sur son retour de Berlin. - Un dîner vient d'être offert lord Dur liam par l'Union politique de Dundé. L'a dresse qui lui a été présentée cette occasion était rédigée dans un sens tout fait radial. On a beaucoup remarqué les passages sui- vans du discours prononcé par lord Durliam, en réponse cette adiesse J'avoue messieurs que, s'il me fallait admettre tous les faits tels que le présente votre adresse, il ne me resterait qu'à désespérer du sort du pays^mais je ne puis reconnaître que les atlaires soient dans cet état. Sans doute, beaucoup de choses restent faiie, beaucoup de choses se ferout avec votre se cours mais tout n'est pas si mauvais, tout n'est pas tellement vicié dans nos institutions. Mon but n'est pas de renverser pour re construite mais de corriger d'améliorer. Il y a de très bonnes choses dans nos instituti ons qui n'ont été que détournées de leur véritable usage par les faux principes du torysme mais je soutiens qu'avec notre for me actuelle de gouvernement, avec un roi, (1) Cela u'esl point exact. 7-N.-I. Den vrydag si octobre, 1834, ten 3 uren na middag, ten huize van sieur Pieter de Backer, ter plaets van Voormezeele, zal men openbaerljk verpachten twee partyen ZAEILAND, gelegen in gezegde gemeente Voormezeele, de eene groot t bunder 8 roeden 20 ellen,en de andere 17 roeden 40 ellen althans gebruikt door sieur Bossaeht. De voorwaerden dezer verpacbting, berusten ten kantore van den Notaris RENTFte Ypre. 7-L.-5. A vendre une JUMENT, bai-bxds sans défauts, parfaitement dressée pour le cabriolet et la selle. S'adresser M. Garnier hôtel de la. Châtelle- nie Y près. 7-M.-2. VENTE D'UN TRÈS-BEAU Mardi21 octobre, 1834, et les jours suivans, 10 heures du matinet a 2 heures de relevée il sera vendu la maison mortuaire de madame Boudryun très beau mobilier, consistant ea tables, chaises, commodes, secrétaires, une pen dule sous glace, deux beaux vases d'albâtre, un lustre, des garde-robes, bois de lit, matelas, traversins et oreillersune belle batterie de cui sine. Plus, un carrosse, une calèche, un chariot et de» harnais. Une provision d'excellent vin de Tours. Enfin, différens autres objets, dont le détail serait trop long. Nota- Les voitures seront vendues le mardi dans l'après-dîner, et le vin le mercrediaussi dans l'après-dîner. Ypres. Imprimerie de la Veuve Gambast-Mobtieb grand'-place, vis-à-vis la grand'-garde.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1834 | | pagina 4