FRANGÉ*
desitffé empêcher qtre non? puissions l'être, avoir reçu cinq coups de fusil. Ou compte
Nous devions vous écrire, messieurs, parmi les victimes un brave Anglais, nommé
pour ^OuS reddré plù§ serisiblfflaf gravité de Inglissix officiers dé la troupe de ligne, et
votrcpositiou.il vous reste mainteuaqt juger nombre d'individus, aécusés innocemment
vous-mêmes si votre dignité, celle de l'ordre d'être francs-maçons. Le président Malcher
auquel vous appartenez, peuvent vous per- est én ce moment là fête du gouvernement;
mettre de vous imposer défenseur des accusés les affaires sont nulles, les magasins sont ce-
roalgré eux, et de vous rendre ainsi complices pendant ouverts; mais on ue vend rien, et
d'une ïdijifiité judiciaîré saris exemple éf dès les étrangers rie peuvent sortir dé chez'epk
passions d'un ennemi sans pudeur. Agréez, saris s'exposera recevoir des coups de fusil.»
messieurs', dos safutatioos empressées. Nous pouvons ajouter nbus-mêihes ces
sôttl évadés de là prison de lJHôtel-de-Ville. 61.-1.
Paris29 mars.
Lé aé M. Bîchàf y gérant de la Tribune
était cité devant la coui d'assisesraison
d'un article inséré' dàtré te numéro du 3 no
vembre, et qui a été saisi comme renfermant
le double délit d'offense la personne du roi
et d'excitation, non sriivf d^éffet, au renver
sement du gouvernement. M.Bichal, étant
maladie, n'a pu se présenter. M. Germain
Sarrut a obtenu l'autorisation de présenter sa
défense comme fondé de pouvoirs. M Plou-
gboulm, substitut de M. lé procuïeur-géiféral,
a soutenu l'accusation. Après la déclaration
affirmative du jury, M. Bicbat a été condamné
pài> la courâ un au dé ptisouéf 8,obo frariés
d'amende.
- Le ministre de la guerre, informé que
lusieurs officiers supérieurs'et autres se ren
dent Paris sous diverses prétextes, sans y
*tre autorisé;s, vieni dé recommander Ja'str icte
xécution des ordres déjà donnés, et qui s'op
posent ce qu'aucun militaire, qui n'a pas
son domicile habituel dans les département
dfe la Seine et de Seine-él-Oise, ptiissesatts
une autorisation1 expresse dti iriidiriffef de la
guerre, obtenir un congé ou même une per
mission pour en jouir dans l'un de ces dépar-
temens. Le lieutenant-général, paifc de France,
commandant la 1re division militaireen don
nant cdtlnaisiaftCé'dè ces dispdsiljotfè, préViefnt
lés dfficièrfc'qui y contrevie'ndraié'n't', qu'ils'
seront arrêtés et coudtihs la prison militaire
de l'Atrbaye: des ordres sont donnés eu coti-
séqbeçrCrè la gendarmerie. u
- béS'ndurellès'-lëlfgraphiques derTVfïfffe,'
Roanne',Le'sptnasSe, La Pacaudière* eï La1'
bàfisse annoncent que les détenus davrîl,
partis hier de Lyon, ont passé par tous ces
points, sans que ce passage ail excité le
rtfOindffc désordre. Moniteur.
- On nous prie, dit le Messager, de pu
blier la lettre suivante
Les accusés d'avrildétenus Saint-Pélagie
aux avocats nommés d'office par la cour des
pairs
Messieurs, vous avez été uommés d'office
pour nous défendre devant la cour des priirs.
Quelque considération que doivent inspirer
vOlte zèle et'vôs lumières nous vébô'ris votos
déclarer que'nous nlen pouvons accepter lé
secours, et que nous avons fait choix d'avocats
et de conseils qui ont toute notre confiance.
«fNous'voUs-prévenons, eù conséquence,
que riôus refusons cef1 que nous rèftikefotiS
toute espèce dé communication aveé vous j et
que vous 'n'obtiendrez de nous aucune sortç
de renseiguemens ni sur les faits généraux du
procès, ni sur notre position particulière.
Après une déclaration si formelle votre
déférence aux ordres de M. Pàsqurer ne se
rait plus nos yeux qu'un acte volontaire
d'hostîliié de votre pah; et, loin de remplir
le veau de la loiqui veut que tout' accusé
soit défendu y vous deviendriez un obstacle
m
Suivènt les signatures. détailsd'après des lettres qui ont passe sous,
P.- S. - Comme nous ne connaissons pas le nos yeux, que les insurgés avaient nommé
nom de fôitè fe'S àvoeâts1 nommés. d'officeun nouveau président et un nouveau eorn-
nous avonsdû nousadresser M. le bâtonnier màndahl militairequi n'avait pas tardé se
et employer la voie des journaux, afin qu'au- diviseret qui avaient été sur le point d'en
enta de voitis uë'piriSSéignorer nôtré intention, venir aux mains. On craignait même Para
Sâinté-Pélag ie, a5 màrï. que la province ne voulût se déclarer indé-
- Ôn lit dans le Censeur, de Lyon,du a3: pendante. [Journaldes Débats.)
Nous recevons ce soir une lettre de MM.
Poulard et Gérard,1 prévenus d'avril qui se I Pf N" Pi C S1,
Ils" ridiii' ànéobéétit qu'ils sont décidés se ieu^» >.2 avril 1855 a beurçi du m/»-
reconstiluer demain prisonniers. tin» Pour 8nir a n.U(*1 Precis au cabaret dq Cou-
|il éouniêt de la Moselle
Le colonel Voisin, commandant le régi- vicq, le Notaire RENARD, de Courl.raivendra,
ment de laccièrls, officier supérieur de l'empire par forme et gain de Mise-à-Prijq et d'Enchères,
lors .de la création de l'arme en France, a la Propriété d'origine patrimoniale ci-après dé-
trouvé .un moyen aussi simple qu'ingénieux S16ne:
T. 1 P 4 bonniers 43 perches 55 aunes de pâture et
pour s»servir simultanément de la lance et 1 i-., n i 1
j* v Y*, i prairie de première qualité, en un\blpc longeant
dtl mousqueton, tarit cheval qu pied, la Lys et touchant la villede VVarnéton, tfës-,
Frappe dès résultais qili onl été obtenus, bien plantées de jeunes arbres montang, étant
résultats Confirmés par deux années d'expé- l'emplacement de l'ancien château de VVarnèton
rience, le ministre de la guerre a appelé de av,ec «^ye, très-beaux viviers, et un rivage
TI.ioo.iU, Paris un peloton du Ai Un-
CierSj aiôsi aîmej pour etre pressille a 1 ap- et peut, par sa situation avantageuse, être destinée
probation du comité de cavalerie. La supé- quantité de branches de commerce,
riorilé de ce nouveau mode d'armement est tille a été occupée par le sieur .fean-Bapiiste
inappréciable il réunit tout ce qu'on peut elmotle jusqu'à la Noël dermere, au rendage de
jti j'é 600 francs, outre les contributions, et outre aussi
desirer, lnitilitesurtout. il y a simplification j j j
t tilt s, 1;,t cu" 1. une demi-annee de pot-de-vin pour 9 ans, ainsi
du haruacheméutde lequipemeot, et dimi- que d'autres avantages réservés au propriétaire.
UUtlOO de poids, partant économie. Le lîr, L'acquéreur pourra y mettre main du jour de
eu s'aidantile ia lance, devient d'une justesse l'adjudication, et il lui sera accordé toutes les
srirpreriante, la lance et le mousqueton, facif,ités désirables pour le paiement du prix
1 1d'achat, soit pour une partie, soit pour la totalité
Cheval comïtté a pied, se mauieUt avec une r r r
facilité extraordinaire; tous le mouvemeos 64.-1.
VRYWILLIGE^ ROOPDAG,
Op d'Hofstede gebruykt by sieur Jean Six, ge-
legen op Wytschaete, een halfkwartier uers
noord de Plaetse.
Donderdag 23" aprili835om 9 uren 's mor-
spnt simples: on a su admirablement les com
biner sans s'écarter de l'ordonnance.
- Oo lit dans le Phare, J. de Raïonne:
Le général Mina a demandé vingt-quatre
mitlés: arrob'eS'de froméril totiles les vrillées
el villages situés autour de Pampelune (ex- Sen3' zal "en Pubhek JJn'e
K peerd met zyn arnassurc, o melkkoeyenwanot
Cepte leS endroits ou il y a garnison), dans eene verve, 3 jaerlingen, eene zeuge met jongen.
le but d'affamer les carlistes.
- Le Moniteur Bordelais contient l'ex
trait suivant d'une lettre du Paraen date dû
3i janvier:
Ce"|>ays est dans ud état de révolution
tel, que l'existence des Européens qui y res
nieuwen wagen met ^seren asdraeykarre, twee
ploegskeggeeegde, sleepbout, slede groot
baultkarteel met zyne brankaerdenkarre-kar-
teel, aelpompe metzyne toebeboortenkoornmolço,
slypsteen, snydmes, ronden keernmet zyne
toebehoorten3 roomkuipen, 5 scboudkuipen
2 melkseulen, groote marmyte, eene kwantiteit
tent est bien 'précaire. Depuis le jours des bràndhout, en veel andere objecten te lang om te
Roisiusqu'à présent, plus de trois cents per- verbalen.
l. t'r r. De verkooping zal gescbieden met tyd van be-
sounes ont pefr: ce S,Ont presque tous des tall raits sUende |oede solidaire mëdekotpèrs.
blancs. Le président a ete tue d un coup de De Notaris VICTOOR te Meessen, met d«
fusil, ainsi que le. gouverneur militaire; leu-vwçkçaping en ontvangst bel as t. - -
commandant de 1a marine est mort, ElkAsHke he^aprd.
v. Ve
'c - -, frim