ÏÏ&ErS tes q»> Mk étaient aidés jusqu'à concurrence des reve- fréter on navire qui doit les conduite en dus afleclés cet effetles caisses des com- Amérique, où ils voDt chercher fortune. Déjà fr. veùfeveur-dfes-rticendiéede J'alhai. Nf. de - M', le président de la chambre des pairs Tirlemonlqui ont réatà&lè peu quHls'pos- convoqué pour lotidr prochain, l ordre euîier juenfoe dans rafifaire de* avocats 4e. Parts; m est. M. Separd qui est l'auteur de cette - Ou écrit de La Haie11 7 avrit: tre la voilé. Le prince d'Orange, accompagné de son - Ou lit, dans la Gazette Universelle, puîné, est arrivé, hier, ici, venant de l'armée, sous la rubrique de Rome, le a4 mars: «Le - Lors de l'exameo qui a eu lieudans les chargé (^affaires du pape, Turin, Mgr sectioos de la deuxième chambre, du projet Gizziest arrivé ici. lise rendra, dit-on, de loi relatif au paiement intégral des iulé- Bruxelles, eu qualité de nonce, avec une rêts de la dette nationale au, 3,q ju,ip, prochain, mi^jqnspéçiale. FRANCE. Paris, 8 avril. t j - j Le 3, le roi a reçu en audience particulière M,,lgjbqroft Vqljçqd^ intendant des Invalides, M. le baron Vialar, M. de Guiroye, sous- on a unanimement- émis Ie*vœu que rien ne fût négligé, pour faire cesse r^tc^tu état,.de choses qui nous obligeait au paiement 4e ces intérêts, et l'on a exprimé le désir d'obtenir des renseignemens touchant l'état des diffé- r etids -avec- la Belgique. Handelsb. CC a 3 --Vt' rZLqUe,qT déï'Là a-iouteI k intendant militaire, et M. Eugène Renault, ux qu'on a donnés, sur la mort du prince An- - to j-i_T. guste de Portugal avocat aux conseils, tous les quatre délégués des coIods d'Ali Les vésicatoires qq.i avaient étç, ajjpbqués des COlODS d Alger. nantie ay, qTaygnt pas feit d'effel^t| la qmladie - M. Moretavocat la COUJT rpyale de reqant je cttacHtre^d'àiM. brouchsta-, lè prince Paris vient d'écrire Bd. Guinard Ste. Pé lagie, qu'il avait été chargé de le défendre «vont prenant ayant été trop saigné dans les trois jours précédens r j r 1 1 1 ioc'c 1 mu 11 aiaii cic tuai s;c uc ic ucicuui e duVLe, bTnni^tout'espoir"]'^ guTri'soni'cepen! 4'offic©, AlVaut la COtH des pairs, que jamais il clânty quelques hommes de l'art soutiennent qu'il dcfcD(lr3 CODtfC S3 VOlonlG^Ct (JU il CrÔI* aurait pu être sauvé, s'il avait été mieux.txaiié rail attenter la liberté, en pénétrant dans la dès le commencement. Malgré quelques bruits prison sans y être appelé par lui maisnom- contraireson croit généralement que S. M. n'^t jpé spécia]«m£Ol: depuis, il doit, dit-il, être pis enceinte. Lçjppfec* *ra ent^n* demaio"(-3i mars et les batteries et les vaisseaux continue ront de tirer des coups de canon comme ils ont individuellement refusé par un root de répon se. fait depuis hier, s^rv toutes,lgj cinq meutes. Comice la conftiiu^iop d#. prinqe v'^aft.jRis de*1_r plus fortes, on peot lui reprocher de n'avoir pas nom illustre dans dos fasies militaires, une -.Qeçuis (Mimiques joui» il s'est formé dans les salions de M. leduc de Valmi, qui porte-uu - nom illustre daos nos fasies militaires, une pns les précaution, necessa.res pour conserver sa réUnjnU <jpn, noyait a été d'abord formé «mie puisqu'il sort.ut dapv tous.lt« tero-ps et v1*" A - J,- - toutes heures, même avant le jour-, ppur aller- de P®TS opposes au procès d avril et fc la chasse ,,etq. surtout'In compétence de la chambre dont La ville est dans un état de grande agitation, ils font partie', Celle réunion s'est grossie de Les gardes nationaux en groupes, déclarera qu;ilj_ plusieurs-, autres, membres qui lui Ont donné veulent avoir un changement. ministère, Aont cerlaine importance, ils accusent les membres d.ctre miguélistes. Ils - .t i les accusen^au^si A'avojr.-eippoi*onaé l&prince. F flpuyell^s quj-t nou£; viennent par les On lit dans la correspondance du Morning- journaux de la frontière d'Espagne sont en- HJral4. cn mars.: ç^fpfX .affligeantes: p^rle <Je8o Oh dH'que le corps du prince est fortement carlistes d'une pan et de 4° d'une autre, aurait découvert une conspiration Lisbonne, et Par ordre des heUlenans de Mina en meme qu'un officier supérieur aurait itéiarrété. tempSiqu» quelques paysans. 11 II y a pas eu Bien que le prince soit tombé maladè lundi, la d'eDgagetuenS entre les (Jeux partis. Circulaire de ta Cour n'en a fait mention que - par ordonnance insérées au Moniteur mercredi; et, jusqu'à l'heure de sa morton a M Gasparin est nommé SOUS-Secretaire d'é- garde le plus protond silence sur sa maladie: aucun - j i»- .1.: m r:..„. bulletin n'a été publié. A^lonque.» mofi fut W au- mujistere de 1 intérieur et M. Rivet annoncé, le peuple eut-de la peine y ajouter directeur du cabinet ce meme ministère, foi. Le corps sera déposéprès du cercuejl de. remplace. M. Gasparincomme préfet du don Pédr«,.daqs le cayeau royuljde SaOr-VjfnqppJ- Rhône. oa-Foéraa Oporto. M ,e pasquier prësidenl de |a Bruxelles9 ayrily COttr de5 ^3^5 a* eu le 6 au matinune très- M. SurletdeChoquier ajquscr.it,.ppur,^5p,longue.cqtiférence avec,Le roi, au château, de Gerlacbe a souscrit pqur 6o,£rancs. vipnt dj'adr.es^er lquu,les membres de cette - On lit daus le fbumal de Commerce chambre une circulaire pour les inviter d Anvers: trouver réuois a Parisle tentai. L'ou- Depuis quelques- jbursnous Voyous àrVi- vfenurè dés débats doit avoir lieu le 5. T«r H des oampagaanj^ des- environs- de - M-. le bêtenoier du barreau de Rouen a sédaientet eu ont consacré une partie des avocats, l'effet de délibérer sur le parti Qu lit, dans le Journs2 4e Paris (G) Lpfd EHiot et le liemen#pi-cqlqoql Qfl|- wood XQnt avivés Rayonnele 4 et qnt envoyé, d,on Çïy;los, un message, dont ils attendent le. retourpour se reudre, m qnat- tier-général dû prétendant. Le réelle 3.o. deux afi^jfesj ont eu lieu entre ^.utpalacarréguyet le. géoéml Aldama la, tête de ig bataUlops. La pre mière a eu h'gtt. Arroqiz, i la sec,oqdeê, V-il- lama jqr. Dans, toutes, de«X;, l'avantage est resté aux chrisiinps, L,e bruit court que le gé néral Lppèz.a été t»é dans la seconde. - Un journal mtnistéi;iel,dit que la mjssiqn de lord Él,!.iotprès de don Carlos est le résultat d'nne négociations suivie dès h>Pg- temps entre la France et l'Angleterre qu|il doit proposer ce prince, une provision pour lui et de sa famille réglée largement, et ga rantie, au besoin, par les puissances interve nantes mais que s'il persistait vouloir continuer la, lutte fi le négociateur déclarerait que les lois, comwoocs tppl un, devoir aux cabinets d'inlervcnir. Ce journal, ajoute Dans i/es cercles dp Londreson croit que. la. mission de lord ÉHio.t mettra, fin tout i mais^si tel n'était pas le résultat de celte mjssipq, le mème. bu,! serait atteint par la présence, en Espagne, d'un corps d'armée français-, ou par toute autre démarche qui répugnerait moins tous les partis, et qui, par conséquent, n'est pas aisée imaginer. - Le conseil de discipline dp Fordre des avocats, de Paris, s'est réuni, aujourd'hui, deux heures pour délibérer sur l'ordon nance, dp 3o mars contre Iç droit de défense, et spr la marche que doivent, suivre les avo cats nommés d'ofiiçe par la cour des pairs^ La séance a duré pies. de quatre heures. Le conseil a décidé que l'ordonnance du 3o mars est illégale; qu'elle ne peut, sans violer la. loi qui institue les avocats pour défendre les intérêts des parties, devant, les tribunaux ordinaires de preraièBC instance et d'appel, leur imposer le devoir d'exercer leur ministère devant une juridiction exception nelle, dont- la compétence et l'Organisation ne sont pas même réglées par la loi qu'en outre, elle ne peut, sans inconstitntionnalité, conférerla cour des pairs, les pouvoirs que lés art. 394 et oq5 du code d'instruction criminelle, restrictifs du droit naturel d» la défense, confèrent aux seuleacours d'assises. La: fia de' la délibération a été relative au fond même de la demande des avocats nommés d'office.. Le conseil a déclaré que la cour des pairs n'avait pas le pouvoir d?obliger les avo cats,veuk plaider devant elle. De ce princi pe, il a déduit la conséquence qu'ils n'avaient pas d'excuses fournir, et qu'ils n'étaient pas tenus de se présenter devant elle, poU(.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1835 | | pagina 3