Le correspondant ne dit rien du refus qui, d'après les Débatsaurait été fait aussi pour le passage d'un navire anglais se rendant Trébizonde. ANGLETERRE. KOOPDAG VS VRUCHTEN grande partie de la garnison et par la milice urbaine. Les révoltés avaient déjà mis le feu un couvent, et l'on ne doutait pas, Sa- ragosse, que tout le reste de la garnison ne prit bientôt fait et cause pour les constilu tionnels. Constitutionnel. - On écrit des bords de la Bidassoa Don Carlos a partagé toutes ses forces en trois colonnes. La première, composée du 7e, 9* et n* avec i5o chevaux, a été confiée au brigadier Elio. Ségaslibelza commande la seconde, qui se trouve Santa-Croz, avec les 3«, 8*, ta* et 14e bataillons. Ithuraldé s'est mis la tête de six autres bataillons, avec la plus grande partie de l'artillerie de campagne et de la cavalerie. On assure qu'il a été décidé, dans une réunion de tous les chefs, qu'il fallait en reveoir la guerre de guérillas, qui leur a si bien réussi sous le chef dont la perte a été suivie de prompts revers. - Un décret royal, rendu le 1" juillet, supprime toutes les juntes de foi junte da fé) ou tribunaux spéciauxquinonobstant l'abolition de l'inquisition par le décret royal, du 9 mars, 1820, existeraient encore dans les divers diocèses. - I.e Moming-Hérald a une lettre de Conslaniinople, du 17 juin, qui parle, com me celle du Journal des Débatsdu refus de laisser entrer le brick la Mésange dans la mer Noire; et cela, l'instigation de l'am bassadeur de Russie, qui ne craint rien de Ce petit naviremais ne veut pas laisser éta blir de précédent contre le traité de Hunkiar- Skélassi. Londresi5 juillet. La première division du second régiment de l'expédition espagnole fera voile, de Ports- mouth, dans les premiers jours de la semaine prochaine, sous le commandement du major Eliis. - Voici, d'après une correspondance de Madrid du Times la cause de la démission de Valdèz: Deux régimens, qui se soot crus désho norés par le refus du commandant en chef, de les envoyer au secours de Bilbao, se sont révoltés, et se sont portés sur l'état-major, pour demander la tête du général en chef. Le général d'état-major Miguel ne parvint qu'avec beaucoup de peine, calmer ces fu rieux; et Valdèz jngea, sur-le-champ, pour sa sûreté, propos de remettre le comman dement au brigadier Tello. Toutefo s, le gé néral Brison s'était déjà empressé de se saisir du commandement abandonné par Valdèz. Cordova était, pendant ce temps, Madrid, (41 où il intriguait, pour se faire nommer ambas sadeur Londres ou Paris, au commandent en chef. 11 a reçu la mission de commander l'armée ad intérimen attendant l'arrivée de Saarsfield. - Le y régiment de l'infanterie irlandaise, commandé par le lieutenant-colonel Diekson, et l'autre régiment qu'on recrute, en ce mo ment, en Irlande, partiront, ce qu'on pense, dans huit jours. Dans l'espace de i5 jours six sept mille Anglais seront embarqués. Les 200 lanciers du colonel Kinlosh se ren dront le i5 Kingston sur la Tamise, où l'on formera un dépôt. Le deuxième régiment d'infanterie sera commandé par le major El- lice; le 3*, par le major Sloane. Le sixième régimentformé en Ecosse, sera commandé par le major Bealon sous-lieutenanl-colo- nel Tupper. - Un négrier espagnol, le Formidable montant 8 canons et ayant un équipage de 66 hommes et 700 esclaves bord, a été cap turé par le bâtiment de S. M. Buzzord de 10 canons, après un engagement de trois quarts-d'heure dans lequel il eu six hom mes tués et 13 blessés. - Le Scorpionarrivé de Lisbonne, qu'il a quitté le 28 juin apporte la nouvelle que les négociations pour le mariage de la reme avec e duc de Wurtemberg vont être enta mées, celles d'un mariage avec le duc de Ne mours ayant échoué. Une troupe de 8,000 hommes seront envoyés, en observation sur la frontière d'Espagne. - Dans la séance du 13 de la chambre des communes le bili sur la réforme de l'église protestante d'Irlande a été lu pour la seconde fois sans aucune opositioo lord John Russel a dit, de la part du roique S. M. mettait la disposition des chambres, tous ses intérêts dans les bénéfices ecclésias tiques d'Irlande. VARIÉTÉS. Cuuii. De mon premier on se couvre le chef, Qu'il soit ou non mon dernier: car qu'importe? En Phrygie, oh chacun te coiffait de la sorte. Mon second éclatant, que le diable m'emporte Plaît et déplaît; mais c'est selon. Or, bref, Mon tout est le beau nom que la raison publique Décerne maint félontransfuge politique. Spinxinet. Le mot de la dernière charade est Or-angeou, si l'on veut, or-agetout comme le Jameux Txsasroei ou déserteur. Estent. Je Jus (1) Rome, et là, allai (a) surpris, Tandis que, de mes mains, mon champ je défrat- En méditant un très -joli épitre. (4) [côss(5), Je suis docteur: n'est-ce pas bon titre? - Qui parle ce français, ou mieux, cet iroquois Devinez, chers Lecteurs: car vous avex du choix. Sphinxsnet. Lises: yallai, (a) Je/es. (3; Je défriche (4) Urne épltie, elc etc., etc. GM9S3 HllPOm&GMRX» Le Notaire VANDERMEERSCH Ypresagent de la société anonyme dite: Caisse hypothécaire, établie Bruxelles et autorisée par arrêté royal du :g mars i855, a l'honneur de prévenir le public que les opérations de cette société sont en pleine activité et qu'elle prête, sur hypothèque pour 5 60 ans au choix des emprunteurs tou tes sommes qui lui sont demandées, ce l'intérêt modique de 4 p* °/o par an outre une annuité pour amortir le capital, avec bénéfice pour l'em prunteur, delà manière suivante: si l'emprunt, pour 3oans, est de 100 francs, l'intérêt est de 4 tir. et l'annuité de 2 francs 79 centimes, total par année 6 fr. 79 centimesce qui présentel'ex piration des 3o ans, un bénéfice sur le capital de 16 francs 3o centimes; Pour 1,000 francs le bénéfice sera de i63 fr. M 10,000 i ,65o fr. ao,000 3,260 fr. 3o,ooo 4*890 fr. La Société reçoit également des fonds pour les quels elle délivre des obligations jusqu'à concur rence du montant des annuités, qui forment le gage des préteurs, et ce par sommes de 5o, 100, u5o, 5oo et 1,000 francs, au choix des preneurs qui fixent eux-mêmes le terme du rembourssenient et reçoivent jusqu'alorsdesobligationsau porteur, qui produisent 4 P* °/o Par an ïan' retenue sans frais, et qui sont remboursables bureau ouvert, chet ledit agent, aux époques que l'on a choisies depuis un an jusqu'à 16 ans. Il résulte de-là que les porteurs d'obligations ont l'avantage de posséder un papier rapportant 4 P* °f0 d'intérêt par an, remboursable toutes épo ques, et garanti par l'hypothèque offerte l'em- Sruntet par le capital de la Société (12 millions e francs), sans qu'ils aient supporter aucune des charges inhérentes aux formalités hypothécaires. Les Contrats de prêts sont passés par-devant le notaire que les emprunteurs désignent. "3 COMMUNE VAN DRANOUTER. In den Zwartenhoek. Ter hofstede en op de landen gebruvkt door de wcduwe Louis Vermeesch. Op den Akker EN EENEN SCUOONEN WAGEN. BSSTAISDt li i* 2 bunders 29 roedrn 32 ellen koorn. 2° 97 roeden 02 ellen boonen. 5° 44 roeden 12 ellen ha ver. 4» 55 roeden 28 ellen kruyiL En 5" eenen schoonen wngen voorrien vanxyne toebehoorteo. Zaturdag, 25,n july, i855, des namiddags ten twee ueren precics zal'er voordgegaen xvn lot den openhaeren koopdag, van al 't gonne birr boven vermeld, onder gunstige voorwaerden en mettyd van betaeling, roits stellendr goede horgr. De verzaemcling voor den koopdag zal plaets hebben ter zelve hofstede. Den Notaris THEETEN, ter wooning van Nicunkcrkc, is met den koopdas bclast. Dat men net voordzegge. 1 près. Imprimerie de Lmais-MoiTiaa Grand'-Place, vis-à-vis la Grand'-Gardc.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1835 | | pagina 4