ANNONCES.
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LITTÉRATURE NATIONALE. - Langue
Flamande. Vethairdelirrg over de
SCHOONE VENDITIE
OP LOO.
Ce renégal, qui est très-lrave et surtout
très-adroit, lui donnait de bons conseils et
avait une grande influence sur les Arabes
et leurs chefs.
On nous communique la lettre suivante,
en date de Bone, le 2 t octobre
Les principaux membres des deux tribus
qui sont les plus fortes de nos environs sont
venus en ville pour faire leur soumissien. Ils
annoncent celle d'une troisième tribu qui
avait vu plusieurs de ses chefs périr pour
n'avoir pas voulu envoyer leurs hommes au
bey de Constanline. Eu général, tous les
Arabes compromis avec lui se prononcent,
surtout ceux du Hriorat-, on aunonce que
dans les coutans de la Galle, de Stora, etc.,
Ses émissaires et partisans oui déjà été chassés.
a D'autre part, certains invidus qu'on
SOUpçoune pour avoir espionné pour le bey,
ont disparu de Bone. il s'en est même em
barqué quelques-uns sur une felouque qui
mouillait secrètement dans le golfe.
oc Des Arabes de la plaine ont offert de
conduire du bétail l'aimée, sans avoir
besoin d'escorte; pour sûreté des avances
qu'ils demandent, ils proposent de donner
des otages. Les bandes du bey s'étaient en
partie dispersées, en partie éloignées de Cous-
tanlure et des camps, le bétail arrivera de
beaucoup plus de tribus qui sont sûres
maintenant d'en avoir un bon prix et d être
payées comptant.
Des officiers de l'état-mojor général
partent pour Toulon, d'où l'on altmd des
troupes, des munitions et des provisions.
Cela est nécessaire pour garder sans incon
vénient de la mauvaise saison, Constanline,
les deux camps et les positions de second
Ordreet pour maiuteuir la libre cou»
munication.
Quoiqu'il y ait encore beaucoup de
malades, cependant il y a amélioration dans
l'état sanitaire, et le moral est excellent. De
même Constanline les blessés vont aussi
bien que passible, la différence de ceux
d'Achmel, qui meurent. C'est une chose
qu'ou a remarquée souvent que celte diffé
rence entre les vainqueurs et les vaincus.
Nous n'avons pas plus de 4 5oo morts
en tout.
On a tué quatre ou cinq fois plus d'A
fricains et de Turcs, mais beaucoup se sont
échappés de la vilie pendant l'assaut et même
avant. Oa a tué aussi beaucoup d'babilaus.
Tous maudissent Achinet, qui pourrait bien
périr au milieu des Arabes auxquels il est
forcé de se confier actuellement, et dont les
soldats régulièrement payés ne sont ni aussi
bous ni aussi nombreux qu'ou l'a voulu
croire.
a II y a de disponibles en tout plus de
12,000 hommes, sans compter les auxiliaires
dont l'augmentation, si on le veut bieD,
compensera les hommes hors de combat. On
attend 2,000 hommes et plus.
On n'a pas trouvé d'argent Cons
tanline, du moins qui appartienne au bey.
Mais les mosquées sont riches, quoi qu'elles
aient été rançonnées par lui, et il y une
assez grande quantité de dentées et de mar
chandises.
Oa Ut dans le Mémorial dés Pyrénées
On nous écrit deSarM-Jean-Pred-de-Port,
20 octobre Toute la Navarre est actuelle
ment au pwavoir des carlistes, hormis les
forts et les villages de. Valcarlos. Ils bloquent
Pampelune avec peine dè mort contre ceux
qui oseraient s'y rendre. Us ont transporté de
grosses pièces pour battre en brèche les
fortins au nombre de trois qui sont sur la
ligne d'Aruéguy Pampelune entre cette
place et Zubtri. Avant-hier matin commen
cèrent les opérations de siège; la Canonnade
se faisait entendre.
VARIETES.
Vlaemsche Spelkunstenz.dour P.
Behaegelt"" aflevering, 1837.
Le critique démontre, et le Zoile avance.
Dans une série d'articles insérés l'E
mancipationh et dans plusieurs autres
parus dans le Propagateur 2 l, nous avons
traité, avec quelque étendue, de la questiou
orthographico-giammalicale l'ordre du
jour, Nous croyons l'avoir résumée avec
impartialité, et d'une manièie suffisante
démonstrative même, peut-être, et conclu
ante. Récemment, nous avons rendu
compte de la Dissertation, première li
vraison, que vient de publier le savant
grammairien M. P. Behaegelde Tbouroul.
La même impartialité a présidé, surtout,
ce compte rendu. Si, en plusieurs points,
etc.nous différons d'avfcf avec ce philo
logue, »- ce qu'il en définitive, n'est ici
ni nécessaire, ni opportun de discuter
nous n'en avons pas moins rendu justice
au système normal, rationnel, logique, sur
lequel se base l'estimable et docte auteur
de la P erhandeling. Certes, si nous avons,
entre autres, mis quelque chose en évidence
c'est bien le pat fait enchaînement, la syn
thétique et analytique concordance, - là où
cela était possible, en présence de l'usage
général, etc., de ce système; système
qui, d'ailleurs, répond entièrement aux
conditions, aux exigences du programme
officie! (3). Nous résumant, il en résulte
que, si la Perhandeling péchait de quelque
côté, ce serait, coup sûr, s'il nous
est permis de nous exprimer ainsi, par
excès de normalité, de rationalité et dè
logique eu d'autres termes, par une mé
thode, et partant (par des déductions et
des priucipes trop exclusivement étymolo
giques. Quel n'a donc pas dû être
notre profond étovmement de voir le Journal
des Flandres, u« du a5 octobre dernier,
reprocher, M. P. B.avec une légèreté
et uu vague de touriste d'Outre-Quiévraiu,
(1) Entre autre*, 287, du *4 octobre
passé. L'article dont l'insertion, annoncée,
y est promisen'a pas encore paru.
(2) Le Propagateurn°* 2086 et 2087.
(3); Arrêté royat du 6 septembre, i836, et
aortrev, organique* oa dwpwrtîft, y retarîfi.
dans une polémique que nous nous abstenons
de caractériser, et entre autres griefs,
d'avoir adopté, comme bonnes et ration
nelles, de mauvaises et fausses bases, et
d'avoir erronémeut tranché telles ou telléfc
questions en litige!... Il ne suffit pas, en
saine critique, en loyale et logique polé
mique, de lancer une imputation, d'arguëc
telle ou telle discussion en masse il faut
citer, discuter, réfuter et surtout prouver
et convaincre!... Et c'est là ce que le
Journal des Flandres n'a point fait, ui
ne fera probablement pas! Quant
nous, nous osons lui en porter le défi;
ët veuillez faire attention que nous sommes,
nous-mêmes, loin, bien loin d'être les
partisans quand même, du système, quelque
bon qu'il puisse être d'ailleurs, de mon
sieur P. B. -- Finalement, l'opiniou publique
fera bonne et prompte justice de l'ai tiele
en question; article que, sans doute, notre
sa vaut grammairien lui-même ne manquera
pas de rencontrer, de réfuter dans la se
conde livraison de son excellente Dis
sertation ce qu'il feraselon nous
d'autant plus facilement, que l'espèce de
polémique du Journal des Flandres a Un
air de famille extraordinairament frappant
de ressemblance avec certains articles que,
dans le temps, publia le Letler-en Slaet-
kundig Dagblad van Gentrelativement
aux système et aux priucipes de grammaire
et d'orthographè flamandes du philologue
de Thourout. Pour le surplusattendons
le résultat, quel qu'il soit, du concours
officiel. D'ici lorsnous renvoyons les
amateurs aux pièces du piocès elles-mêmes;
et, ne fût-ce que pro memoriânous
indiquerons, en passantles divers articles
de uous et dont il s'agit dans celui-ci. --
*v*
VAN
Maendag 4"n December 183;, ter» «en ueré
naer raiddagop de Hofsteden gebruykt door
Joannes Façon en Jan-Baptista Hovenaghel te
vooren Pieter Demeerssemanweinig noord van
de herberg den Haezewyndlangst de straet
leydende naer den Roosendacl.
UL©©!P2)&(&
Van 68 koopen BOOMENwaer onder veel
roode Olmendie dienstig zyn voor Wagen-
makers eu Timmerhout en verscheyde Abeelen
van eerie ongemeine dikte en lengde.