ANNONCES.
HOFSTEDEKEN,
BARBIER,
3
Bue de Lille48, Ypres,
COIFFEUR DE DAMES
d'accidend du fetiou a entouré le trans
parent d'un giillage de fer.
Au-dessus de la croisée, qui est surmontée
des armes de la cité on a suspendu l'éten
dard royal d'Angleterre avec les initiales
V. R. en gros caractères, au-dessus des
quelles on a écrit le mot Bienvenue welL-
come le tout entouré d'une grande cou
ronne de lauriers. Au drapeau royal sont
suspendues des couronnes de roses de
chardons et de trèfles, emblème des trois
royaumes. Vis-à-vis la fenêtre dans la partie
occidentale de la salle, les mots; God
aave Ihe Queen\ sont écrits en lettres
gigantesques. Au centre est l'étoile resplen
dissante de l'ordre de la Jarretière. Deux
lustres de la plus grande beauté sont sus
pendus au plafond ils ont Chacun trente-
quatre pieds de circonférence et donnent
une clarté égale celle de 5,ooo bougies.
Le trône est placé sous la croisée l'est
sur une plate-forme élevée. Il était presque
entièrement achevé hier soir. L^ dorure du
dais est de la dernière magnificenceet la
draperie est du plus beau felouis cramoisi,
orné de superbes franges d'or. Le siège et
les coussins sont également de velours cra
moisi et de satin tiebement brodé eu or
on y monte par six marches couvertes de
drap cramoisi.
ALLEMAGNE.
•Prattçfort16 novembre.
La Gazette du Hanovre contient
des documens officiels d'une haute impor
tance. Eu voici l'éiiuméiaiion et l'aualyse
i* Une proclapjotiou de S. M.le roi
Ernest-Auguste, en date de Hanovre, le
3o octobre, qui dissout l'assemblée générale
des état», prorogée le 29 juillet dentier.
a° Une patente de sadite majesté, en date
de Hanovre, Ai octobre, qui dissout te
ministère du cabiuet .existant aujourd'hui
et prononce la démission des ministres d'état
et de cabinet, baron de Stràleuheim, comte
d'Allen, de Schulte et von dft Wrsch," en
leur qualité de ministres de .cabinet. Ce»
ministres continueront les fouettons qu'ils
ont exercées jusqu'ici, sous le nom de mi
nistres de département.
3® Une patente de "Sadite majesté, en
date du i«' novembre .i83^, annonçant que
S. M. ne regarde pas la constitution du
36 septembre itt33 cotnme obligatoire pour
elle, et que S. M. convoque immédiatement
l'assemblée des étais, d'api ès la patente
loyale du 7 décembre 1^19, laquelle
assemblée seront soumises les propositions
de S. M,
VARIÉTÉS.
Les Administrations Forestières.
Sôtts le titre de Le vœu des 4tdennes
M.leComied'Espiennes vient de faire publier
les considérations qu'il a émisses sur I utilité
de supprimer l'administration forestière. Il
s'attache démontrer que l'intérêt des com-
mu .es est assez bien entendu paf elles pour
qu'elles ne se trompent pas dans le choix dit
mode de culture le plus avantageux dans la
localité où elles sont situées. Il soutient avec
raison qu'il est de la plus révoltante injustice
non-seulement de leur imposer la charge qui
en résulte pour elles, mais encore de les forcer
conserver en bois des propriétés qui seraient
plus avantageusement converties en terres
labourables. C'est, dit-il,en faveur de tous les
bdbiians du royaume que l'on exige ces
sacrifices, ils doivent donc lr$ supporter tous
également. Du reste c'est une spoliation que
reprouve l'art. 11 de la constitution, d'apiès
lequel nul ne peut être privé de sa propriété
que moyennant iudemnité. Mais M. le comte
d Espiennes émet aussi l'opinion que l'on
découvrira dans notre pays assez de combus
tibles pour qu'on puisse se passer du sacrifice
qu'on exige des communes. Tout en avouant
l'injustice qui le leur impose, il nous paraît
que l'intervention du gouvernement 1 ou
Comme pouvoir mais comme conseil peut être
tiés-desirable. Indépendamment des terrains
propres au défi ichemenl il en existe beaucoup
qui uç sont bons qu'à la culture des bois et
qui restent eu fiiche, par suite de l'ignorance
des habitons de la confiée, ou par le défaut
de rqules pour le transport des produits.
L'institution d'un conseil central, et l'inspec
tion des lieux par une députatiou de ce conseil
dous pataîi le meilleur moyen employer.
L'influence du gouvernement et des encoura-
gemens accordes propos feiaienl le reste.
Abandonner la culture la routine d'une
classe de citoyens qui leur éloignenrent et
leurs faibles ressources empêchent de se com
muniquer le fruit de leurs expériences et de
s'instruire des découvertes progressives, c'est
risquer de devenir tributaire de l'étranger
pour une denrée que notre pays peut produire
abondamment sans se faire aucun tort.
Donderdag 5oen November 1837, ten 2
uren namiddag in d'herterge den Eeër binnert
Meessen, zal'er door den Notaris RENTY,
residerende te Ypre voortsgevaéren vvorden
kragtens octroi derregtbank zitting houderide
biunen de zelve Stad, tôt den lustel van een
ï&aanaoitiaaa
grooï 1 hectare 46 aren 37 centiaren gelegen
in Kenimel langst de groote Y'pre-straete,
alwaer Félix Ghysel overleden is thans ge-
bi'uykt door Pieler-Francois Paniele aén i5o
francs by jaere boven de belaslingen verdeelt
in twee koopen en in masse.
Daer zal eene premie van 172 °/0 voor den
hoogsten instelder worden toegestaen.
344. - t.
A l'honneur de vous annoncer qu'il vient
de recevoir, de Paiis, les articles de par
fumeries fines et superfines, les odeurs assorties;
de la soie floche pour la broderieidem a
bourses, idem pour cordonniers et tailleurs;
toutes sortes de peignes, en écaille, buffle,
buis et ivoire; assortiment d'épongés, et perles
d'Allemagne; idem dorées; la brosserie pour
la toilette, de tous genres; cordes d'instruniens
de musiquè de Naples et Paris; fers h pa
pillotes idem a friseridem pour moustaenès
et favoris; épingles noires et bronzées,simples
et doubles papier brouillard noir et
blond; idem découpé; élastiques pour corsets;
mèches pour quinquets, cheveux bruts et pré
parés; crochets a toupets, de toutes façons;
métalliques pour idem.
Le tout des prix très-moderés.
(i) Je saisis cette occasion pouf fdirè savoir, aux per
sonnes qui m'honoreront de leur confiance, que, pendant
mon séjour Paris, au mois d'octobre dernier, je n'ai
rïeû négligé pour me perfectionner dans lés ouvragés
qui coilcernent mdn état tels tpié la coupe des chcvciix
d'hommes, des leçons de coi fin te des dames, par monsieur
Pugetcoiffeur, breveté, lotis les ouvrages en cheVeux
postiches, perruques et faux toupets, touffes frisablcs et
indéfrisables.
En vous réitérant mes offres de services,
- f. J'ai l'honneur de vous salcer.
ZEER SCHOÛNE EN GOEDE
GELEGEN IN LEYSELE
PUBLIER te KOOPEN
EOÎTSIBIRIΩ©®»
ni.
Dp Woensdag 22*" November 1837 in
d'auberge de Postery van Peerden te RotiS-
hrugge, zal gebetireiï den Absôîuyten overslag
van eene zeer schoone en goede Hofstede
gelegen in Leysele en deel in Beveren, groôt
19 hectaren 66 aren 4 centiaren 44 ge—
meten 276 roeden gebruykt door Louis
Dêoullën tôt 1™ October i842, aeD n45
.francs 65 centimen by jare, susceptibel van
itierkelyke augnientatie ter expiratie van.den
loopenden pacht.
De conditien rusten ten kantoore van den
Notaris BOSSAERT te Gyverinchove. En men
kan 00k aile inlichtingep bekomen by den
Notaris BANCOURT tôt Proven. 23^ - 4.
EXTRAIT du registre aux actes de dépôt,
teriu au greffe du tribunal de première instance
séant a Ypres, province de la Flandre oc
cidentale. L'an mil huit cent trente sept, le
vingt sept Ocbobre, est comparu au greffe
du tribunal de première instance séant k
Ifpfes, maître Jacques François van Daelb