MOBILIER I81N1S, ANNONCES. - La- 5, après, la. vota des deux chemins de fer la, cbambte des pairs a passé une discussion rapide sur les crédits d'Afrique. fylaU tout a été terminé et volé avant la fia de hi séance. Madame la comtesse de Lipona se rendant de Paris Florence, s'est embar quée Marseille, sur le paquebot le Mentor, pour Livourne. La flotte anglaise doit rester sur la rade de Toulon jusqu'au 9. En atteudant, les équipages et les états-majors des deux nations paraissent être en parfaite intel ligence. Les officiers-' fronçais font beau/coup de politesse nos voisins d'outre-met. Ou les voit dans les rues, bras dessus, bras dessous, et tout porte croire que cette union sera durable. Un incident qui se rattache la question égyptienne, est survenu dans la séance du 2 juillet la chambre de lords. S'il faut eu croire des lettres par ticulières de Stockholm, il a été conveuu. entre les cours de Suède et de Russie que le Sund serait fermé aux escadres anglaises et françaises la réquision des-deux puis sance signataires; celte convention sera notifiée au roi de Danemark et lui sera commuue. Ee fils aîné de Ëeroadotte accompagne le césaréwitschfils de l'empereur, Milan. ALLEMAGNE. Francfort^ 8 juillet. On écrit d'Ôsnabruck, 28 juin Aussitôt que l'on eut appris l'arrivée du roi, une pétition fut mise eu circulation et, le jour même, elle fut couverte de plus dé* 3oo signatures des habitatis les plus notables de la ville. Elle était' adfessee au collège des anciens1, pour le prier dfe présfeBter S. M. l'a demandé du maiutieu de la constitution. Hier soir ils eurent l'honneur d'être pré sentés au- roi', qui ils remirent une tres- humble adresse, dans laquelle il® donoèreot l'assurance du dévouement le plus fidèle et de l'obéissance la plus complète des habitans de cette ville, mais eû même temps ils y oot ajouté la- prière Que dans sa baute sagesse, il plaise S. M. d'accorder ses très-fidèles sujets la cootinnanoo de la loi fondamentale de i833, ce présent dont le- souvenir est ineffaçable et qne le pays doit la gfâee de feu S. AL le toi Guillaume IV. S. M. a reçu là dépntatioo fort gra cieusement, et lui a donné Fassuraoce que l'amour qu'il- porte ses sujets était le mobile de toutes ses actions; rl a prié en suite ht dépulatiot» de lui remettre aussi la pétition adressée par les notables au Collège des anciens,, afin qu'il paisse voir de qui émanaient les vœtrx émis dans l'adresse. La municipalité,- qui avait également voté une adresse au iot,- rr'a pas été reçue en audience; 00 devait lui faire dire quand S. M. voudrait la recevoir; mail rien ne loi a été communiqué, et le roi est parti sans lui accorder l'audience qu'elle Avait demandée. Le roi, en répendant au discours- qui lui avait adressé notre bourgmestre Stuvé, lors de l'entrée de S. M. en notre ville, s'est exprimé en ces termes Je sais que les bourgeois d'Osnabruck sou* fidèles- et honnêtes, mais ils se laissent trop facilement tromper par des paroles. Vbus ne me connaissez pas encore; vous devez encore apprendre me connaître; et alôrs vous verrez que, de par l'Eternel qui sait que je dis la vérité, j'ai de botïues intentions, et que je me propose de favqriser le bien- être: des bourgeois d'Osnabruck, ainsi que celui de tout'lé pays; La ville de Quackeubourg a également remis S. M., lors de sou passage, une pétition eu faveur de.la constitution de t833j Couplets (1) chantés, a la représentation de Lundi, 9 du courant, par*M. Decoster, l'un-des Artistes dramatiques, de la direction Lherminez Quand de nos jeux, au.fèmple de Thalie, Votre préseuce honore ici le cours; Quand la Raison, de l'aimable Folie, Libre et sans crainte emprunte le secours, Hommage, alors, Voltaire, a Molière, Fiers ennemis de tons les préjugés I C'est du génie admirer la lumière Puisque par vous les Arts sont protégés! A vous, soldats, enfhns de la Victoire, A vous, leur guide au noble champ d'honneur, A- vous enfin qui désirez la gloire, Nous souhaitons* du fond de notre?cœur, Le seul trésor que 1& vôtre désire, Et pour lequel vous affrontez la mort La Libertédont l'aimable sourire De ses sujets fait envier le sorti Vous nous prêtez votre appui tutélaire Vous recevrez nos regrets-, nos adieux Si des héros la France esO toujours-mère Le soldat belge a les mêmes aïeux Souvent uuis dans les champs de Bellone, ils ont cueilli le laurier toujours vert Dont la Victoire a tressé'la couronne Des braves d'UlmArcole et Champaubert (t-) Noos croyons pouvoir assurer qu'ils sont dus M"*" Lhermineu VIS.&ES ÉTAT CIVIL. Du 7 au 11 Juillet>838. ai IIU as S» Léon-Bruno de Coerte, 26 ans, orfèvre, et Amélie-Eugénie Annoot, 27 ans, particulière. Ferdinand-Jacques DelaeW, *3 ans, jour nalier, et Prudence-Thérèse Macversen, 25 ans, dentellière. iUS3llH<û»3o Masculin, 4; féminin, tofal4. IDfrGàS* Frédéric-Joseph Vansteenkiste, 9 mois, me d'Elverdinghe, n° 37. Euphrosie-Natalie Verhoest, 2 ans, 7 mois, rue d'Eylann? 6. Elise-Julienne van Àlleynnes, 3 mois, rne de Tbourout, n° 43. Léopold-Pierre Vèr- beke, 3 ans, 6 mois, Place S'-Jacques, n° 10. -- Marie-Julie Mieroo, 9 mois, Marché aux Bêtes, n° 8. Antoinette Masterleet, 60 ans, dentellière, épouse de Joseph Cavel, rue des Chiens, n" 26. Louis-Charles Debal, 2 ans, 7 mois, rue du Lapin d'Or, n° 2. BELLE VENTE PUBLIQUE DE DÉLAISSÉ PAR FEU M* LUCIEN, A LUNDI 16 Juillet i838 et jours suivants, k commencer le matin 9 heures et l'aprèt-dine a T heures précises, il sera procédé en la mai son mortuaire de M' LUCIEN, rue de Dixmude, n° 6a, Ypres, k la Vente publique du Mobilier qu'ili a délaissé. Ce Mobilier consiste en buffets, secrétaires, commodes et garde-robes, bois de lit, tables de nuit', plusieurs tables en acajou, k coulisses et autres; tables jouer, chaises et fauteuils, écrans et obérai nées en fiers Deux pendules, vases k fleurs, plusieurs es tampes encadrées, miroirs, caves k liqueur, lustres et quinqQets. Beaucoup de literie consistant en matelas* lits de plumes, traversins, oreillers, draps du lit, couvertes dé laine et autres; rideaux de litstores et rideaux de fenêtres. Toute la batterie de cuisine, plats eLassiettes d'étain; marmites, bouilloires, chaudrons, cur serolcs, chandeliers et lampes de cuivre. Beaucoup-de porcelaine et faïence, verrerie, huiliers, compotiers et une infinité d'autre* Meubles et. objets Mobiliers dont le détail serait trop long. i5o. - 3. QUATRE-TRÈS BELLES SITUEES DASS LIS COMMUNES CI-APRES DÉSIGS Ésj A VENDRE A YPRES, Flandre Occidentaleen Belgique, i", Dans la commune de Popcringhe. arrondissement d'Ypres, 'a un quart de lieue au nord-ouest de fa ville de Poperinghe, une

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Le Propagateur (1818-1871) | 1838 | | pagina 2