vr&. s s s s.
ANNONCES.
(3)
ETAT CIVIL.
Mise-à-prix 4i,200 francs.
Le tout mis-à-prix 2,710 fr.
Mis-à-prix 2,930 francs.
Mise-à-prix 5,200 jraneb.
A VENDRE
Conformément au vœu de la loi du 12
Juin 1816, et pour en jouir au pre
mier Octobre 1838.
v r i"
histoire de la dernière session, on y défend simplement. Le Public en appréciera la
fjorte'e. Nous ferons observer, cependant, que
a Rédaction n'est, pour rien, dans les
hostilités exerce'es contre lep tiers dont il
s'y agit, et, surtout, contre des absensl...
IIIMUIIC uc ld unuiwio awiiiw..,
le gouvernement, ou y blâme fortement
l'opposition, et l'on y soutient la nullité
a up|;ujmv.«<j j -
de la dernière décision de la seconde chambre.
On apprend que le roi a, gagné en An-
gleterre un procès de plusieurs millions
qui a rapport la succession de Guillaume
111 et que S. M. se rendra cause de
cette affaire en Angleterre.
ACTUALITÉ. Poésie.
Croyez-vous donc, M. Bécasse,
Que t on saute comme un paillasse?
Allons! faites-nous donc un article Spectacle,
Un article Musique, un article... Ou ne bâcle
Pas de comptes rendus, mon cher, vo! d'oiseaux.
Je ne fais pas les mieus grands coups de ciseaux.
Moi, quand je prends la plume, et m'élance en l'arène,
J'évite qu'en défaut le Public ue me prenne.
Des ifuoliliels usés je ne ressasse pas
Isa risibles bons mots; et, pour moi, sans appas
Est le vieux magasin de cette rhétorique.
Eh! mais qu'aimez-vous dîme? J'aime la polémiqce.
J'entends c'est la critique, oui, la satire! Non!
J'appelle volontiers les choses par leur nom.
Je dis la vérité, je dis ce que je pense.
I/nn celui qui, sans cesse, tout propos, encense!
J'y regarde de près, quand je donue ma voix.
Je tiens ce que même un éloge ait du poids...
Vous êtes diilîcile en diable, et monsieur Chose
Est plus traitahle, lui car il voit tout eu rose.
Monsieur Chose mon cherest un peu rocooo...
Vous ne le gâtez pas. Je ne dis pas Un sot
Attention! sachez que la critique exige
Plus de capacités que l'on ne croit, vous dis je.
m Louer tout est d'un sot, blâmer tout est d'un fat.
Un Aon critique est rare. Instruit et délicat,
Grave, calme-sévèreet, surtout, équitable,
De son apostolat il exerce... Du diable!
Vos critiques me font un singulier effet.
Vous ne vous mettez pas, oertes, dans le toupet,
Vous, d'être ce phénixMerci de la semonce,
Grand merci!-.. Mais voici, brièvement, ma réponse
Le temps de monsieur Chose est passé. l'ou s'endort,
A sa prose, ses vers... Vous ne parlez pas d'or.
Passible. J'aime un style élégant, pur, flexible....
Comme le vôtre... Ami, cela devient... risible.
Trêve de vos lazzis et d'interruptions!
Eh! ne vous fâchez pas! Dans les occasions
Opportunes, toujours on m'a vu, je le pense,
Au mérite, au talent, offrir mon assistance
Littéraire, ri faible, en effet, qu'elle soit.
On remplit son devoir, quand ou fait ce qu'on doit.
Aux Artsaux Arts surtouttoute ma sympathie
Est acquise jamais!... Fameuse garantie!
Celle de monsieur Chose est meilleurecoup sûr
Mais, vous avez raison. Moi, poétastre obscur,
Aristarque.... Zoïle infime de province,
J'en conviens, je ne suis qu'un personnage mince...
Mais, si mince qu'oïl soit, on sait i leur hauteur
Assez juste toiser et l'artiste, et l'auteur.
Ou n'a pas attendu l'arrêt de monsieur Chose
Pour prédite Lanclou ce qu'il sera, s'il ose;
Pour applaudir ses vers mâles, riches de tous,
Et sa coulante prose, et ses vifs feuilletons;
Puur rendre LAerminczhélas! trop peu connue,
Uu hommage sincère, et toute gloire duc,
Cotrtme poète et femme littéraire...;— Bou!
Pour placer Dissssarts sou rang... Tout de bon
Roux, ténor, Voiturisr, charmante cantatrice,
J'entraînante BnlU, Dupuis, experte actrice,
Et d'autres, que l'espace empêche de nommer (i)
Car, dans notre journal, ou doit se résumer.
Or, voilà des aveux et des regrets sincères
Le. artistes!... ce sout... des aiuis et des fièrcs!...
Oh, oh!, vous prenez, là, le ton sentimental
S'il dépendait de moidocte censeur Brutal
la; Public, tuteur-ué des artistes, Mécène
Sympathique, longs flots affluerait la scène
Ut la salle, aiusi que ces jours-ci, chaque soir,
Serait comble Voila ma Satire 1... Bonsoir.
L. DE WOLFF.
On nous adresse les vers qui suivent,
avec demande d'insertion. .Nous les insérons
comme article communiquépurement et
(i) CitonscependantMM. MarteauGuinardEryest
S'-AlheAmédée, M"1" GuinardS'-Albc, Aupy^gtc.^ptc.
Sur les Artistes du théâtre de Brugesde
présent a Ypres, sous l'administration de
M. Dupuis.
Que dites-vous de nos nouveaux artistes?....
Qu'ils ont déjà mis en haute faveur
Les beaux talents dont nos sept figuristes
Connaissaient peu le prix et la valeur.
Aussi leur a-t-on-dit, en partant, bon voyage!
Et puis, aux successeurs, soyez les bienveuus!
Répétant nos sept, beaux oiseaux de passage,
Allezallezallezet ue revenez plus
Mais allons voir, allons entendre
Des artistes, pas si nouveaux
Qu'on dit; car déjà les bravos.
Pour euxne se font point attendre
Beaucoup ayant droit d'y prétendre.
Allons les voir et les entendre.
GOUChON-BELLm.
VtttE B'TERES.
Du 18 au 2i Aoûti838.
ïî&23 3ilW(B!B8»
Masculin, 2; féminin, 1 total, 3.
Néant.
2) 3 (G 3 S»
Demain, Jeudi, 23 Août, i338, RELÂCHÉ
AU THÉÂTRE, pour les répétitions générales
du Domino noir opéra nouveau en trois
nctes, qui sera représenté Dimanche prochain.
L'abonnement commencera ce jour-là; et
les personnes qui désirent s'abonner, pourront
se présenter chez M' Brûlé, directeur, qui
leur remettra six billets de premier rang pour
la somme de neuf francs.
Sa demeure est chez M"" Gaston Mar
chande Grand!-Place., ri" 206. - 1.
431 gm1h.
V
Le SAMEDI 1" Septembre i838, s
henres de relevée, en la Salle des Fentes
de I'Hôtbl de Ville Ypres, il sera proçèpé
par le Notaire RENTY, y résidant, l'Ad
judication Définitive des Biens suivans, savoir
i° fjne très-belle FERME contenant parfni
lieu-mauoir, jardin potager, pâturages et terres
labourables, 19 hectares 46 ares 37 centiares
située en la commune de Neùvê-Églîsè, occupêô
sans bail par la veuve Bacguaert au prix
de i,4oo francs par an outre les impositions.
2° Une petite FERME contenant 1 hectare
66 ares 90 centiares située Kemmel sur la
Montagne, occupée par Joseph Priem et
Pierre Eechout au prix de io3 francs. 64
centimes par an et un Bois Tailli? d'un bec-,
tare 19 ares 80 centiares située audit Kemmel,
occupé par le propriétaire.
3° Une partie de Terre a Labour située
Voormezeele contenant 1 hectare 44 ares 20
centiares et un Pré de 19 ares 90 centiares
situé Wytschaete, le tout occupé par Tacqùes
Lobeau au prix de 112 francs 4o «énlimes-
par an.
4° Une MAISON avec son fonds d'héritage
sise Ypres au nord de la rue du Petit Pré
occupée par M"9 Fandetviele 323 francs
56 centimes par an.
Les conditions de cette Vente sont de-
posée en télude dudit Notaire RENTY,
Petite Placen" 26, Ypres. 202. - 2.
Alexandrine-Victorine Dekrock, 85 ans,
filetise, veuve de François Engelaere, rue
d'Eylau, n° 4. Marie-Joséphine Borreman,
3 ans, rue des Trèfles, n® 7. André-Joseph
Le Compte, 5g ans, journalier, époux de
Marie Serpentier, rue de Ménin, n® 20.
Virginie-Rosalie Meeuws, 1 an, 3 mois, rue
Basse, n® i4. Marie-Catherine Baes, 84
ans, dentellière, veuve dç Joseph Doolaeghe,
rue de Ménin, n® 20.
BIEN PATRIMONIAL.
ŒDïïMim® 2)2 WïaSŒÏÏiUMaS»
5a A19 90 C INTIARES 6 CENTS DE TRES—BONNE
TERRE ESO L ASOTPR
Occupée sans chargé ni titre de bail par
PIERRE BEELE,
Le Lundi 3 Septembre i858, 5 heures de
relevée, chei le Sieur J.-B. DurootTiz, aubergiste
Wervicq Maison Commune du lieu. Il sera
procédé la Mise-à-Pnx avec gain de 1/2
du Bien repris au texte ci-après plus amplement
détaillé.
7
Cinquante-deux ares 90 centiares 6 ceilts
'.ou environ de Terre en Labour, tenant dd
levant et du midi aux enfants du Vicomte vk
Patin de Langemarck, du couchant aux enfants
F90AN et du nord aux ayant-droit de Cathstinr
Vmmmsch, décédée Voormezeele.