MEUBELEN
VIVRES,
Qt
ANNONCES.
l'ambassadeur d'Autriche de la rédaction
qui devait lui être soumise lundi. Nous
donnons plus haut, d'après V Avondbode^
quelques détails sur les Opinions émises
dans une réunion qui eut lieu le lundi
auparavant^ de la Belg.)
VERKOOP1NG
f VAtf
EN
HOPITAL MILITAIRE D'YPRES.
ADJUDICATION
- 1 DES
SPECTACLE,
ETAT CIVIL.
SAVOIR
tmt chargé samedi lord Palnerston et
Nous apprenons que les généraux
de division Goethals et Duvivier sont mis
la pension et remplacés par les généraux
de brigade Magnau et Duval de Blarguies.
Le prince Pierre
venant d'Anvers, est artivé
Belle-Vueainsi que le prince deGagario,
Venant de l'Allemagne.
Déjà les amateurs se préparent et se
mettent eu mesure de jouir du spectacle
que promet le corrousel du a5. On dit
que la presque totalité des fenêtres des
maisoDS situées sur la Grand'Place sont
louées des prix assez élevés.
L'épreuve de résistance de la mé
canique de M. Henri Corr a été faite au
moyen de gueuses d'Angleterre, formant
le chargement entier d'un navire de i3o
tonneauxet empilées pendant trois jours
sur de grosses traverses eu bois que sou
tenaient les vis disposées comme on les a
Vues rue Royale. Enfinl'inventeur de
cette mécanique est persuadé qu'elle résis-
terait un poids de aoo,ooo kil.
•858. .aaaiswme s «raaiae
gramme dn spectacle, Wgard de cette ville.
Néanmoins, nous n'avons pas pris de l'humeur
car nous sommes convaincus que le rédacteur n'a
pas voulu mettre que le troupe espérait nous
quitter, ce qui n'eut pas été J^ès-courtoismais
qu'elle nous quittait plus tôt Qu'elle ne. l'avait
pensé. Donc, le mot employé n'est qu'un lapsus
de plume.
Ponr notre part, avec tous les gens de bon.goût,
amateurs de spectaclenous sommes peinés de
cette détermination prise ex-abruptoet qui nous
privera, trop tôt, de quelques talents que nous
admirions. Cette détermination paraît avoir été
ville pour le théâtre, dont la fréquentation
pourtant bien nécessaire au décèle* mu. ..e
l'intelligence tant soit peu r ■!*■- rua=w.
jorilé honni soit qui tnal u I j fi lit-»
férence, que nous signalons, l'avons
attribuée la médiocrité d'une jupe récemment
dans nos murs. Cet argument est tombé devant les
artistes que nous avons actuellement, et cette
indifférence existe encore. Le bourgeoisie, le com
merce, les militaires assistent au spectaclè', ils
viennent y puiser des leçons de goût, et môme
de morale; mais l'Aristocratie nobiliaire, elle,
qui, plus qu'une autre caste, en a besoin,elle, qui
devrait protéger les artistes, elle demeure en
croûtée dans ses vieilles habitudes, elle s'y obstine;
ici, plus que dans tout autre pays, elle se montre
tenace; elle veut faire bande a part; elle semble
vouloir rester stationnaire dans ses ridicules pré
jugés de rang et de naissance sotte vanité I
On doit des remerciments MM. le» membres
Baron Frédéric-Emmanuel de Sfelger, 48 ans,
capitaine, major de place de la'ville 4'Ypres,
veuf de Sophie-Dorothée Lezaack, rue des Récollets,
n° 3t.
a- t ji
9,Xoojwianaj Çoe&eier)
OP DE BOTTERMARKT, TE YPEREN.
DONDERDAG i5,B September i858, en vol—
gende dagent'elkens 's morgens om g uren
en 's naermiddags om a urenral'er ten huize
van Jean-Baptiste FRANÇOIS winkelier op
de Botermarkt te Yperen Venditie gehouden
tvorden van het Meublair, bestaende in Tafels,
stoelen, koffers, eenen toog, ^vinkelbakken
schaelen en gewigtèn, bedbak, koper- en yzer-
werkgleysch en andere voorwerpen voords
du collège communal; et, au nom des habitants Yan winkelgoederen bestaende namenl^yk
éclairés, nous sommes heureux de pouvoir les ln j ^atoenen, catonetten, siamoise, gaingans,
ALLEMAGNE.
Françfort6 septembre.
Oa lit dans le Mercure de Franconie,
du 29 août
Il parait hors de doute que la demande
faite par la Belgique d'une nouvelle ré
partition de la dette sera appuyée non-
seulemeut par la France, mais par les autres
puissances qui ont part la conférence de
Londres. La certitude qu'en a acquise le
cabinet de La Haie lui a fait perdre l'es
poir qu'il avait conçu sur l'appui que de
vaient lui prêter les puissances alliées.
Reste savoir la manière dont les puis
sances du oord jugeront propos d'intervenir
dans cette question'. Si elles entrent dans
les vues de l'Angleterre et de la Belgique,
ce ne sera pas sans doute par sympathie
pour le priocipe politique soutenu par le
France et l'Angleterre, mais une preuve
du désir des trois puissances de mettre un
terme, ces difficultés. Cependant la con
férences de Londres n'a fait connaître encore
aucune décision définitive au cabinet de
La Haie. Le roi de Hollande n'est pas
hommé céder tout prix aux prétentions
de la Belgique, surtout si elles paraissent
peu honorables la nation hollandaise.
leur adresser. Nous savons, de source certaine,
qu'ils ont fait tout ce qui dépandait d'eux pour
assurer jes représentations théâtrales, et que la
subvention accordée habituellement a été doublée.
Nous avons entendu une foule de personnes
émettre l'opinion qu'il serait désirer que, pour
faire passer agréablement quelques longues soirée*
d'hiver, Mr Brûlé amenât ici sa troupe une fois
par semaine, ainsi que cela se fait pour Ostende,
ville moins considérable que la nôtre. Il suffirait,
pour cela, que cent abonnements fussent assurés,
ce qui est bien peu pour une cité de i5,ooo âmes,
et que la Régence consentit h payer les frais da
déplacement; sa sagesse, et sa sollicitude pour
ses administrés font espérer que cette clause 11e
rencontrerait pas d'opposition. Mr Brûlé ferait
bien, pensons-non*; de tenter quelques démar
ches. Il faudraiten outre, prendre des mesures
pour que la salle fût mieux chauffée qu'elle n'est
éclairée le luminaire est vraiment pitoyable!
Dimancheon a joué l'Eclair et les Rendez-
vous bourgeoisjeudi, lé Domino noir et
Trente Ans. L'audition de ces pièces a confirmé
l'opinion que nous avons émise sur les différente
artistes qui y ont paru; pependant, M"o Voiturier,
dans le Domino noirne s'est pas montrée la
même hauteur où nous l'avions vue, la première
représentation de cet ouvrage. Dans Trente Ans
Mc Amédée nous a convaincu qu'il est un comique
plein de naturel et d'intelligence chez lui, jamais
de charge et toujours une grande exactitude dans
les costumes. A. L.
B'XJfSJE®.
en zakdoeken; mousselinen percaille,
basin, veel koussen, handschoen en slaepmutsen,
zyden en garen linten, eene groote hoeveelheyd
snuif en tabac, veel chicorée-caffé en meer an
dere koopwaeren.
De Verkooping geschied met gerce den gelde
en andere voorwaerden dan çooren te lesen.
aa6. - t.
et-o Scfaitaao.
au
BEVUE DE LA SEMAINE.
Les artistes dramatiques nous quittent plus
tôt que nous ne l'espérionspour nous servir
de l'expression que l'on a employée, dans le pro-
Bu 5 au j Septembre j i838.
ïîAHSS4i»Gœ8«
Masculin, a; féminin, 3 total) 5*
Néant.
Le Sous-Intendant Militaire de i«» classe, chargé
du service Administratif dan* la place d'Ypres,
Adjugera Publiquement, le 3 Octobre io38t
onze heures au matin, sous l'approbation
ultérieure de Monsieur le Ministre de la Guerre^
au moins offrantla Fourniture des objets
nécessaires au susdit Hôpital, du 1** Janvier
z83a au 3i Décembre inclus, l'exception du
la fourniture des Pommes de Terre et Carottes,
qui prendra cours du 1" Novembre prochain
pour finir, les Pommes de Terre le 5o Juin,
et les Carottes le iS Mai 1839.
Les soumissionnaires inscriront en toutes let
tres, sur papier timbré, le prix en Francs
et centimes, auquel ils s'engagent fournir,
Le Pain blanc par kilogramme.
a® La Viande par kilogramme.
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