FABRIQUE ANNONCES. Dissche-Goederen, ÉTAT CIVIL* sr ii a s s w s s s« m qbs* VENTE D'UNE BELLE RUBANS DE FILS. VERPAGTING On lit dans l'article, Bourse d'Am sterdam, du Handelsblad, que les dernières nouvelles portant que les communications de la conférence sont telles que notre gouvernement ne pourra d abord le prendre eu considération, ont donné lieu, le 18, beaucoup de ventes dans les fonds hol landais, surtout dans les intégrales et les kansbiljetten. On lit dans une lettre de Constan- tinople, en date du 33 août, publiée par la Gazette d'Augsbaurg Suivant les nouvelles les plus récentes reçues de la Perseen date des premiers jours de ce mois, l'étendard de la révolte contre le shah a été déployé par l'un de ses neveux qui arrive d'Angleterre. Il s'est mis la tête des rebelles, Schiraz. Cette nouvelle paraît certaine, et l'on assure que que M. Mac-Neil, le ministre anglais, a été invité par le- shah se rendre auprès de lui. ALLEMAGNE. Francfort 1 20 septembre. On écrit de Munster, 8 septembre i La lettre que l'archevêque de Cologne a envoyée le 34 août par estafette au roi, ne contient pas une syllabe de tout ce que la lettre datée de Berlin 3 septembre et insérée dans le Correspondant de Ham bourgmentioune. Au coutrrire, l'arche vêque y demande pour lui-même et pour l'archevêché qui lui est confié, la justice cl l'application des lois.(G\ de Ham.) Oo écrit de Rome, 6 septembre L'échange des couraiers avec les cours du Nord est redevenu fort actif. Oo dit que le cardinal Lambruchini s'occupe de négociations importantes relatives aux af faires religieuses. Tant que ce prélat jouira de toute la confiance du pape on peut être sans inquiétude pour l'avenir. On loue beaucoup ses capacités et ses procédés. On écrit de Gœllingue, 11 septembre Des lettres arrivées de Celle portent que samedi passé le tribunal de seconde et dernière instance a prononcé le jugement contre les détenus politiques de cette ville, et n'a réduit presque aucune des peines prononcées eu première instance, et qui consistent dans des détentions vie ou long terme dans des forteresses, et comme tous sont condamnés solidairement aux frais, ceux qui ont quelque fortune seront tout fois ruinés. On a communiqué aux prison niers qu'ils peuvent s'abstenir d'avoir recours une demande en grâcecar elle serait inutile, la chancellerie de justice de Stade s'étant déjà adressée S. M. pour cet objet, sans que la demande ail produit un ré sultat favorable. Les scènes qui doivent s'être passées au sein des familles des malheureux détenus, doivent avoir été des plus attristantes; ou s'attendait généralement une forte ré duction de peine# 1). (C. Allemande.') (1) Il s'agit ici d'un procès qui remonte des troubles poliques déjà anciens, et qui ont eu lieu avant l'avènement du duc de Cumbcrland au trône de Hanovre. On lit dans le Mercure de Fran- conieen date du 7 septembre Nous recevons par voie extraordinaire la nouvelle qne le prince royal de Suède s'est éloigné de Stockholm avec l'autorisation du roi, dont il n'a par partagé l'opinion sur les derniers attroupemens qui ont troublé la tranquillité publique. Le roiqui a l'expérience des désordres et des excès qu'a produits la révolution française, veut adopter des mesures sévères et énergiques le prince royal prétend au contraire que fla douceur et "la modéretion produiraient uu meilléur résultat. Les désordres qui ont éclaté ne se bornent pas de simples tumultes de rues; l'émancipation des israélites en a fourni le prétexte et d'ailleurs, une puissance mystérieuse (1) semble mettre profit toutes les occasions d'influencer l'opinion du peuple de Stockholm, qui est très-impressionnable. On lit dans la Gazette Universelle Russe Un courrier expédié de Téhéran par le colonel Duhamelministre de S. M. I. près le shah de Persearrivé ici le 3 apporte une lettre de ce prince, qui de mande formellement l'intervention russe. Un nouveau courrier, porteur de cette demande, a été immédiatement expédié l'empereur, dont on attend les ordres en attendant le ministre de la guerre a pris ses dis positions pour renforcer de i5,ooo hommes le corps d'armée stationné dans l'Arménie. On a intreprété et commenté, de diverses manières y les quelques couplets chantés dernièrementau théâtre y la représentation de clôture. Nous nous les sommes procurés. Nous croyons faire plaisir nos Lecteursx en les leur mettant sous les yeux. Ils pourront se convaincre de la modération disons de Iinnocuité de ces rimes (3).... Les voici Castigat ridendo monres Oui, le théâtre est la vivante école Des mœurs! Utile la société, Même en riantil apprend (3) le symbole De la justice et de la liberté! Le voyez-vous, frondant, partout, le vice, D'une main ferme, arracher, tour tour, Le masque impur la vertu factice. Aux Tartufes du jour?... Au spectacle, est une saine morale Si, quelquefois, de trop hardis pinceaux, (4) Du hideux crime ont tracé le soandale, Uu grand penser inspirait leurs tableaux! Que voulaient-ils? de frappantes images,; Offrir, aux yeux, de terribles leçons Nous rendre, enfin, et meilleurs, et plus sages!... Et nous, applaudissons! Parlez!'Ici même, sur cette scène, Malgré lès cris d'illibéraux censeurs, Qu'avez-vous fait? exploité ce domaine Blâmé le viceet corrigé les mœurs Honneur vous, la magistrature (5)1... De vos efforts vous obtenez le prix Oui, (lu théâtre, oui, la morale est pnrel... Nfflis vous avons compris! —"■On répète le ier couplet. (1Serait-ce, par hasard, la Russie?... (2) Air du ic Dieu des bonnes gens, de Etranger. (3) Sous-entendantpar ellipse, nous. V. les poètes modernt s. (4) Allusion aux drames de Victo^flugo, Alexandre Dumas, etc. (5) La magistrature municipale;, c'est-à-dire, le collège des bourgmestre et échevins, et le conseil communal, lesquels ont parfaitement su comprendre la- poi yât du <1 castigat ridendo moresd'Horace. Art. 97 de la loi communale -- 1 t Ru 19 au 3t Septembre y i838. Masculin5 j féminino total3. Philippe-Jacques Leparcke, garçon boucher, 5i ans, et Anne-Thérèse Demarez, servante, 55 ans. 2) (B S S» Jeanne-Thérèse Mellevelle, 58 ans, jour nalière, épouse de Jean Derveaux, S'-Jacques lez Ypres, n4 76. Joséphine Masterleet, 80 ans, journalière, épouse de J.-Bu Pinte, rue de Notre-Dame, n° 4. Barbe Beele, 24 ans, dentellière, rue de Ménin, n° 20. Edmond Yandecasteele2 moisrue de la Bouche, n° 57, Amélie Creus, 4o ans, jaurnalièrecélibataire. Jean Mahieu5g ans, tonnelier, époux de Bçnoîte Knaepelynck, rne de Ménin, n° 20. Prudence Dequeker, 56 ans, dentellière, épouse de Henri-Jean Chevalier, rue de Ménin, n° 20. Ut B JrU ItJ'ièi ty 1 C&* r UJJ »fli Hp i t9 Le Notaire LAMBIN, résidant Ypres, ce commis par lq Tribunal de première instance séant Ypres, et l'intervention de M. le Juge de Paix compétent, procédera l'Hôtel de la Maison de Ville, audit ïpres, le Samedi 6 Octobre i858, 5 heures de relevée, 1 jodicition Définitive de la belle e i an'de FABRIQUE DE RUBANS DE FILS, feu M. de Poorter-Rojjïaen et des Maisons dépen dantes de sa succession bénéficiaire, le tout litué Ypres. La Maison et Fabrique avec les deux Mai- sons y attenantes sont Mises prixen masse seulement francs 55,420. zfë. - 1 "VAN Burgmeester en Schepenen der gemeente Proven, verwittigen het Publiek dat'er op den i5en Oc- tober i858, ten 2 uren naer middag te beginnen,

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Le Propagateur (1818-1871) | 1838 | | pagina 2