i VILLE D'YPRES. outua f t)e? feu cFfauc)tc-0cci3eit<:a fo cio cV> loo L'abonnement ce Journal est, pour les villes et arrondissemèns de Couftrai et d'Ypres, de fr. 5 par trimestre, et de fr. 6 pour toute la Belgique, franc de port par la poste. Prix des Iusertions en Petit-Romain, 17 et. par ligne; et toutes celles au-dessous de 6 lignes, se paient un franc. OUVERTURE DES PORTES DE LA VILLE. Du 1 au 31 janvier5 1 p. heures FERMETURE DES PORTES DE LA VILLE. Du 1 au 3i janvier6 1/1 heures. FEKM. DÉFINITIVE DES PORTES DE LA VILLE. Du 1 au 3i janvier, 9 1 fi heures. BELGIQUE. Ypres, 19 janvier. ^3® Nous prévenons ceux que la chose concerne etA notamment, MM. les Notaires et A gens d'affaires, que, par sa lettre d'avis, en date du 1" Janvier, i83g, M. le receveur du [timbre extraordinaire, Bruges, nous fait connaître qu'aux ternies de la loi du 22-28 Juillet, 1791il ne timbrera plus cjue des papiers de couleur pour affiches. Par arrêté royal du 13, le sieur Verlez B. clerc de notaire, a Staden, est nommé notaire a Zonnebéhe, canton de Passchendaele arrondissement d'YpRES, en remplacement du sieur Delefortrieappelé a une autre résidence Haringhe. La 5œe batterie montée, du premier régiment d'artillerie, qui devait arriver dans nos mursle 20 du courantpour y tenir garnison, vient de recevoir une autre destination. Ou assure que c'est pour la frontière. Nous remarquons, surtout, séance de la chambre des députés, du io, ce passage du discours de l'honorable mon sieur Mauguin Les intérêts de la Belgique oui été sacrifiés. Les négociations sont terminées il n'y a plus qu'à signer et l'on n'a pas signé. La Belgique ne peut abandonner des populations qui se sout vouées elle. Si elle le fait, elle est perdue. C'est donc d'une question de vie ou de mort qu'il s'agit pour la Belgiqueou pour mieux dire, il s'agit d'une question de priucipes de savoir si l'Europe sera gouvernée par le droit divin, ou par le vœu des Nations!1 Il dit que l'exécution du tiaité des a4 ailiclrs, serait une duperie! La Prusse, la Russie et l'Autriche soot les enuemies de la Bel gique!!.... On a remarqué que, le to, le résultat du scrutin était Yutans, 4*5 m»jorité, ai3; pour l'amendement, 216; contre, 20g. Doue, une majorité absolue, de 3 voix; une relative de 6, les ministres députés y compris. Dans la séance du 11 tel était le scrutin Votans, 4^8; majorité, ai5; pour (boules blanches), 216, le même nombre slationnaire que le 10; contre ou boules noires, 212. Il en résulte que, du 10 au 11, l'immense force opposante s'était encore accrue de i voix Malgré les soi - disant triomphes, ou plutôt quasi - succès du ministère, cela n'esl-il pas signi ficatif?.... Au moment du scrutin du 11, ou a remarqué l'absence de M. Rosamel, ministre de la marine. Dans notre dernier numéroaux fariétés, nous parlions de la gcillophobie. Aujourd'hui, nous avons nous occuper de la cynophobïe. Voyez plutôt/ Nous lisons daus les journaux On a ptis des arrêtés, dans plusieurs communes du Nord, d'après lesquels seront piivés, de secours publicsles indigens qui s'ob stineront garder et nourrir des chiens/... Sout exceptés les malheureux aveuglas y en a-l-il d'heureuxpar hasard? -- qui se servent de leurs chiens, pour se conduireInfortunée race canine, fidèles amis de l'homme, diions-nous, notre tour, comme l'on vous traite, comme l'on vous traque et vous poursuit lngratis est durus labor!.... Longévité. Il existedans la commune de St-Roraaiu (i) Loire), village Labrosse, une femme nommée Copéré, née le 5 février, 1729. Quoique âgée d'environ 109 ans, sicou plutôt de presque 1 10 ans, elle se porte bien, file encore sa queuouille, et garde les bestiaux d. os les champs, quand il fait beau. (l) U y a, entre autres, deux St-Romain, Loire lequel des deux est-ce? St-Romain-en-GierLyonnais, ou St- Komaiu-eu-Jarrest5 1. N.-E. de St-Étienne (Forez. A propos de la prise de St-Jean d'Ulloa, le Corsaire dit Nos soldats sont absolument comme certains fonction naires publics. Pour ces gaillards-là, il n'y a rien d'imprenable Nous croyons que le Corsaire a raisoû, jeu de mots, calembour part. Le domaine du duché de Nassau est très-considérable. Son rapport aurait délivre les habitans presque entièrement de tout impôt, mais le duc revendiqua ce domaine comme bien ou apanage particulier. Eu vaut la seconde chambre s'opposa-l-elle cette prétention. Le duc, en véritable Nassau, sut trouver un moyeu d'anéantir l'opposition. Il prétendit qu'en ud cas si extraoïdinaire on devait ajouter la ma jorité de la première chambre la minorité de la seconde commelors de la votation de la prétendue Loi fondamentale, sons l'ex-roi Guillaume, il cumula, pour se créer uue majorité, les voix des absens avec celles de la minoritépar cette ar gumentation bien digne de lui; savoir -- Que qui rte dit rien, consent!! ce qui lui donna une majorité de quelques voix, parce que, pour en venir cette fid, il avait nommé le prince d'Orange, le prince Frédéric des Pays-Bas d'alors, enfin tous les Nassausmembres de la première chambre. Ceux de la seconde protestèreut, mais le duc répondit, leur protestation, en faisant poursuivre 1833 judiciairement les hommes courageux qui s'étaient opposés sa cupidité despotique!!... Depuis, il n'y a plus d'opposition dans les chambres du Nassau. Ces souvenirs histo riques ne sodi pas sans portée, sans â-propos, dans un moment, surtout, où il s'agit de traiter, peut-être, avec le chef d'une maison dans laquelle cette bonne foi punique est héréditaire, traditionnelle, et dans une époque où, a ce qu il parait, certaines recrudes cences d'impuissantes, d'autinationales vel-

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Le Propagateur (1818-1871) | 1839 | | pagina 1