MEUBLES
BOSCHTAILLIE
ANNONCES.
LIVRES, GRAVURES
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PENDIT IE
BOSCII VAN IIOlJTniLSTy
deux militiens, et vos lecteurs porteront ensuite
Ipnr internent.
Voie? d'abord celle de Pollevydt fils d'un
père n'ayant pas encore atteint sa cinquantième
année et d'une mère h peu près du même
a„e il a un frère âgé de dix ans qui travaille
avec ses auteurs.
Le père est maître charpentier très repute
pour les ouvrages concernant les moulins
surchargé de besoignegagnant force argent
et possédant en propriété la maison qu il occupe.
De son côté De Coninck est fils unique,
son père, âgé de soixante onze ansa une
jambe tellemant malade, qu'elle finira néces
sairement par l'emporter et le met dans 1 im
possibilité de se livrer au travail; la mère âgée
de soixante neuf ans, ne peut gagner en filant
de quoi faire panser son époux. Ces malheureux
ne possèdent rien et n'ont d'autre resource
que le travail de leur fils; si cet enfant leur
était enlévé, ils seraient réduits 'a la plus affreuse
misère.
Voila, Monsieur, et la position de votre
protégé et la mienne, car c'est moi, qui suis
ce De Coninckdont vous parlez dans votre
journal. Que maintenant l'on juge k qui des
deux, l'exemption était due.
Et ne mettez plus en doute, le résultat du
conseil de milicç de i84o, pour ce qui me
concerne; ce conseil avait délibéré avant la
publication de l'article auquel je reponds, et
une position aussi malheureuse que la mienne,
entièrement semblable k celle de i83g, n'avait
pas besoin de protecteurs et ne réclamait que
la justice pour assurer mon exemption; aussi
a t-elle été immédiatement prononcée par les
hommes justes et éclairés, qui devaient prononcer
sur mon sort et par suite sur celui de toute
une famille.
Comme il m'importe que la vérité soit
connue et qu'il faut que la réputation des
hommes probes et intègres que vous attaquez,
soit k l'abri de toute atteinte vous voudrez
bien insérer la présente réponse dans votre plus
prochain numéro, et faire en sorte que le
journal de Bruges ait connaissance de son
contenu afin que l'on détruise ainsi jusqu'au
germe, de la calomnie, et que l'on puisse rendre
justice k qui de droit.
J'ai l'honneur de vous saluer
bon et APPROUVÉ
ïïïïSïïlilS DlEfiDiUÏISS»
Conformément l'art. 5i du décret -
loi sur la Prisse, du ao juillet, i83i Bull,
ojfic., n° 185 nous avons inséré textuellement
la lettre ci-dessus! malgré sa diffusion et son
inconvenance.
Nous nous serions abstenus d'y répondresi
la publicité ne s'y trouvait mise en jeu car,
en présenee des quelques lignes insérées au n°
2334 Propagateurl'écrit du sieur Thomas
Deconinck bon et approuvése réfute de soi-
même.
Même d propos de bottes comme s'exprime,
si élégamment, ledit sieur, en style digne de
lui, ou de ses officieux conseillers-rédacteurs),
nous ne ferons pas, nous, la gaucherie d'entrer dans
le fond d'une question encore soumise aux pou
voirs constitutionnels du Roi, et la décision
de M. le ministre des travaux publics seul
compétent, quoi qu'en disent ou insinuent les
conseils du milicien T. D. C.en matière de
milice nationale.
Résumons-nous. Nous n'avons ni tempsni
e»pace perdre, faire de la controverse, de
la polémique avec le sieur Thomas Deconinck
et consorts.
Qu'avons-nous fait? Nous avons avancé
des faits nous avons émis une opinion des
doutes. Nous étions dans notre droit. Nous y
resterons.... 11 ne s'agit la ni de protégéni de
protecteur il s'agit de la loi et d'un principe.
Libre, sans doute, au milicien T. D. C. de
tracer, ou plutôt de faire tracer son autobio
graphie, la monographie de la famille Pollevydt;
en un mot, d'établir, volonté, des positions
réelles*... Pour nous, la question n'est pas
là, et nous ne sommes pas solidaires des hési
tations, des tergiversations etc.des magistrats
certificateurs des témoins, contre—témoins, etc.
Philanthropiquement parlant nons félicitons
le réclamant que sa position de iS5g, ait été
maintenue en 1840.-.. Mais nos remarques, nos
réclamations sur cette position de i83g, n'en
subsistent pas moins. A nos yeux, elles ne seront
légalement hors de cause qu'à la décision des
pouvoirs supérieurs compétens.
Nous n'avons nullement attaquéque nous
sachions (c'est-à-dire, si nous comprenons et
savons le français aussi bien que le sieur lhomas
Deconinck et que ses secrétaires-rédacteurs),
et la réputation des hommes probes et intègres -
cette imputation serait odieuse, si elle n'était
souverainement absurde.... comme presque toute
la teneur de la lettre)!...
On nous assure que le réclamant est valet de
ferme c'est en cette qualité et par habi
tude, coup sûr, qu'il prend le Propagateur
pour son valet'....
Que le sieur Thomas Deconinck sache que
nous ne sommes pas faits, nous, sa simple
réquisition, pour tt faire en sorte que le journal
■o de Bruges ait connaissance de son contenu, alin
que l'on détruise ainsi jusqu'au germe, de ,a
calomnie, et que l'on puisse rendrp justice
qui de droit. {Sic. style—modèle de l'épitrc—
modèle.) Qu'il s'adresse lui-même ce journal,
si bon lui semble.
Mais nous nous sommes laissé entraîner.... F.n
vérité, c'est déjà beaucoup trop d'encre gaspillée
avec de tels logiciens
Pour le surplus, nous nous en référons nos
précédens articleset ceux parus dans le
Journal de Bruges articles contre lesquels
il eût été, tout la fois, et plus rationnel, et
plus opportun de réclamer dans le temps.
Pour ce qui nous concerne, nous en resterons
là- Nous attendrons, le cas échéant, la décision
royale ou ministérielle.
CIIAIl A DE.
Mon premier est poisson, -- mais ce n'est pas un phoque;
Mon dernier est époque
Mon tout est bâtiment, est rabot, est fourneau,
Insecte, crustacé.... bref, en un mot, râteau.
Sphinxiphile.
Le mot de la dernière charade, est
Épi-bat.
ÉTAT CIVIL.
Du 18 au 21 Févrieri84o.
ÏÎ&ÏS811SÎŒŒS»
Masculin, 4; féminin, o total, 4.
sa A iiÊCîs,
Pierre-Jean Ghyseleu filtier4o anset
Barbe-Françoise Verguldesooneouvrière, 42
ans.
ID 3
Françoise van Lede71 ansjournalière
veuve de Jean PautvelsPlace de la Prison
militaire, n° 4. Le'opold Slosse, 7 ans,
St-Jacques lez Ypres, n° 124. Jacques-
Emmanuel Carpentier, avocat, 85 ans, 6 mois,
veuf d'Amélie-Sylvie de Dours, époux de
Louise-Isabelle-Marie Bouten, rue d'Elverdinghe,
n° 54. Sophie-Thérèse Yandenbussche5
mois, rue de Bailleuln° 28. Florence-
Clémence Lebrun rue des Tuilesn° 2.
Thérèse Burggraeve, 1 mois, rue de Lille, n° io4.
VENTE
de
anciens et modernes
en feuilles et encadrées,
Sculptés en Chêne, Bas-reliejs en Marbre, ete
Qui aura lieu le LUNDI 24 Février, i84o,
k 10 heures du matin et deûx heures de
relevée, Grande-Place, n° i5, k Ypres.
VAN SCHOONE
IN DBX
TE
Donderdag i2en Maert i84o, 's middags
precies, zal'er in het Domaniael-huis het
Munneken bewoond door Vincent Courtens
in den bosch van Houthulstbinuen de ge-
meente Langemarck voortgevaeren worden
tôt de openbaere verkooping van i4obestekken
alderschoonste boschtailiie op stam, ten meer-
deren deele zeer gedienstig voor bakkers
alsook voor kuylsmoordersal staende in de
partien genaemd Camermulle-beke, Haende-nest,
etc., in gemelden bosch van Houthnlst, zynde
de loten 1, 2, 6, 7, 8, 9 en 10 van den
hauw van 't Gouvernement, voor het ge-
Woon i84o.
Nota. De gegadigde zullen kaerten dezei-