jlMlfS DIVERSES. Agasagaa» VAN BOOMEN chemin de fer qui doit joindre notre ville aux chemins de fer de la Belgique et met tre Lille et Anvers cinq ou six heures de distance. Les premiers travaux seront commencés avant le 1er février. La station intra muros du chemin de fer de la frontière occupe autant Lille qu'à Valenciennes. Les emplacements sont as sez rares dans le populeux chef-lieu du département. M. Pascal, membre du con seil, vient de proposer au gouvernement de mettre la station dans la place du réduit et le fort St-Sauveur, qui est comme une seconde citadelle de Lille, et qui ne sert jusqu'ici qu'au logement de quelques officiers du génie. L'adoption de ce projet vivifierait tout le quartier St-Sauveur de Lille qui y gagnerait en importance et en valeur. xe langemarck. Nota. De vergaedering ter hofplacts van dito Doom, alwaer er lezing van de voorwaerden, lasten en bespreken zal gedaen zyn en de welke onder ander bevatten dat de koopers zullen ge houden zyn te stellen goede en wel bekende medekoopers ten genoegen van M1" COMYN, Notaris te Langemarck residerende. (1) œœMHiDHiAKii»©» VERPACHTING BURGERLYKE GODSHUIZEN, TE YPRE. On éctit de Gand, 3o janvier Samedi, la cour d'assises a condamné h la peine de mort la nommée Barbe Van Assche, âgée de ,28 ans, journalière Beverenaccusée de deux infanticides en novembre 1809 h Eyne, et h Beveren en octobre i84o. L'arrêt porte que ^exécution aura lieu sur une des places publiques de la ville d'Audenarde. Un employé comptable de M. Goeman, re ceveur des contributions directes de cette ville, vient de quitter furtivement la ville, laissant dans sa caisse un déficit d'au-delà de fr. 20,000, provenant de sommes qu'il était chargé de recuillir chez les contribuables et dont il n'a point opéré le versement. Une poursuite judiciaire a été in tentée contre cet employé. On lit a ce sujet dans l'Organe Il résulte des renseignements que nous avons recueillis que le bruit de la disparition de Joseph Impenscaissier de M. Goemanreceveur des contributions directes Gandest en effet très-fondé. Nous lisons dans la Gazette de Mons 3o janvier M11® Gilbert de Ghlin, est tombée dans la chaudière de la brasserie de son père d'où on l'a retirée horriblement brûlée. Elle a succombé la nuit deruière après d'horribles souffrances. Un journal de Lyon publie la lettre suivante, qui lui est adressée par un artiste de .Bruxelles, M. Valmore Il existe h .Bruxelles, dans la fameuse galerie du duc d'Arenberg, un objet qui n'est connu que des intimes initiés. Entr'autres raretés, le duc d'Arenberg possède la véritable tête du Laocoon. Voici l'histoire Ce groupe fut dé couvert en Italie, mais la tête du père et un bras de l'enfant ne se trouvèrent pas. Un sculp teur habile, d'après un bas relief antique qui représentait ce groupe, fit la tête du pere, celle qui se voit aujourd'hui. Quelque ternes après des entrepreneurs vénitiens découvrirent la vé ritable tête. L'aïeul du prince d'Arenberg en fit l'acquisition moyennant 4o,ooo sequins (en viron 160,000 fr.), et il emporta son trésor en Belgique. Lorsque le premier consul fit transporter en France le groupe de Laocoon, il n'ignorait pas que la tête véritable était en la possession d'un prince belge, et il en fit offrir son pesant d'or. On refusa. Mais comme Na poléon était opiniâtre quand il voulait quelque chose, le duc d'Arenberg, dans la crainte de quelque rapt gouvernementalfit cacher a Dresde ce chef-d'œuvre, qui y resta dans l'oubli pendant dix ans, Cette tête, qui est rendue au jour depuis que la Belgique est tranquille, est d'une expression admirable; c'est la doulenr morale et physique portée au plus haut dégré. La tête moulée en plâtre qui existe sur la statue, telle qu'elle est maintenant, se trouve placée a côté de celle-ci, ce qui permet d'en apercevoir toute la différence. On voit les dents, et la contraction de la mâ choire inférieure fait souffrir h regarder. Rien ne grimace dans cette immense douleur. Les yeux, dont les prunelles sont marquées, étincèlent sous le marbre, Le musée de Paris et celui de Lyon devraient bien demander un exemplaire moulé de cette tête pour la substituer h celle du Laocoon. On écrit de Munich, 22 janvier Le mariage de S. A. S. la jeune duchesse Théodolinde de Leuchtenbsrg avec S. A. R. le comte Guillaume de Wurtemberg se célébrera dans la première quinzaine de février, proba blement le 8. On écrit du Mein, 22 janvier Nons apprenons de Paris que le gouvernement français a fait une nouvelle démarche pour se rapprocher des grandes puissances et pour re prendre sa place dans leurs conseils. Le cabinet français a dressé dans une forme conciliatrice quelques questions aux cours alliées relativement a la position future de la Porte vis-a-vis de l'Europe. Ces questions sont relatives a la fermeture des Dardanelles et du Bosphore pour tous vaisseaux de guerre sans exceptiona la position de la Porte qui a l'avenir sera placée sous la garantie individuelle des cinq puissances, et aux rélations des populations de la Syrie avec la Porte. On apprend positivement de St-Pétersbourg que l'empereur Nicolas a aussi donné son ambassadeur Constantinople l'ordre exprès d'in sister auprès du diveau pour que l'on accorde a Méhémet-Ali l'hérédité de l'Egypte. On écrit d'Alexandrie, 7 janvier, la Gazette d'Augsbourg Un bâtiment marchand nons a apporté des nouvelles de Beyrouth du 23 décembre et de Damas du i4. Un corps anglais s'était mis en marche pour aller attaquer h Damas lbrahim-pacha, qui s'y trouvait encore avec son armée et qui avait des vivres pour deux mois. On s'attend ici a recevoir a chaque instant la nouvelle d'une attaque contre Ibrahim. Mébéiriet remue ciel et terre pour pouvoir faire passer des secours k son fils. On assure qu'il lui a envoyé une somme de 2,500,009 fr- Kurschid-pacha est parti pour Damiette; mais quelques personnes prétendent qu'il va k Gaza, où il trouvera une quinzaine de mille hommes, avec lesquels au besoin, il marchera au secours d'Ibrahim. D'après ce que dit Méhémet, la guerre n'en serait encore qu'k son début en Orient, et bien des gens pensent qu'il ne consentira pas k la restitution de la flotte. KOOPDAG Woensdag ioen Februarius i84i, ten 10 uren voor middagzal'er ter gemeente van Lange marck, met gewoonen tyd van betaelinge voor de principaele koopsommen de bespreken te betaelen met den Overslag). Gehouden worden koopdag van 124 koopen schoone Popelieren van de alderbeste soort voor de klompmakers en 00k voor timmerwerk, toedies nog schoone Iepen, Eyken, esschen en ander BOOMEN te weten i° Ter hofstede gebruykt door Hendrik- Constantin Doom te Langemarckop d'Haeze Weyde en digt aen de beke makende het ge- scheyd van 't zelve Langemarck naer Zonnebeke, 83 koopen. En 2° in de Garsingen en Boomgaerd der hofstede gebruykt door Andries Mylle te gezegde Langemarck, digt by Sint-Julianus Rappelle, 4i koopen. VAN TOEBEHOORENDE AEN DE Maendag, den i5'n February, i84i,ten negen uren 's morgens, in de gewone zittingskamer van het Bestuer der Burgerlyke Godshuizen binnen Ypre, in het Belle-Godshuis, in de Rysselstraetzal men openbaerlyk verpachten voor negen jaren, integaen den eersten October, i84i, de Landgoederen hieronder opgegeven, en aen dezelfde Godshuizen toebehoorende. Lampcrnisse en Oostlierke. Lot j Negen hectaren, 20 aren, 5o cen— tiaren, Weide en Zaeiland, gebruikt door Jan Bolle.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1841 | | pagina 2