HOFSTEDE PARTIE BOSCH 3 A LOUER. EXTÉRIEUR. FRANCE. paris, 2 mars. Il est question, dit un journal, de la création d'un nouvel ordre de chevalerie consacré uniquement aux régiments qui se distinguent en Afrique. Un des fils du roi serait nommé grand-maître de l'ordre. Cette nouvelle mérite confirmation. L'administration de la ville de Paris a décidé qu'il ne serait plus fait de pavage en bois dans les rues de la capitale. Il est probable que l'administration des paroisses de Londres va adopter la même résolution. Il a été prouvé que pendant les temps humides et les gelées les pieds des chevaux ne peuvent tenir sur ce pavé. PRUSSE. On écrit d'Aix-la-Chapelle, 27 février Pendant la nuit passée un vol considé rable a été commis, avec des circonstances aggravantes, dans l'église cathédrale de notre ville, et d'une manière très-auda cieuse; on y a volé les objets suivants 1° Une couronne en or, dédiée la S1*- Vierge, dite Notre-Dame, de la largeur de cinq pouces au diamètre inférieur et de la même hauteur, garnie la partie infé rieure de deux rangs de perles, le tout émaillé et richement décoré en pierres pré cieuses, notamment avec des brillants et rosettes en rubisdont le nombre ne peut être exactement indiqué. Cet objet est du poids d'environ trois livres et parvient d'un cadeau de l'infante d'Espagne Isabel le-Claire-Eugénie, donné l'an 1621. 2° Une couronne plus petite, dédiée l'enfant Jésus, confectionnée comme la précédente, ayant la partie supérieure quatre rayons qui se joignent ensemble, au-dessus desquels est placé un globe avec croix en or. Les deux couronnes étaient conservées dans une boîte de cuir noir doublée inté rieurement de velours bleu. 3° Un calice en or du poids de trois livres avec sapatèneetsapetitecuillère égal emen t en or, dont M. le doyen Cardol a fait ca deau l'église; au-dessous du calice est attachée une platine portant l'inscription suivante Une description plus exacte de ces bi joux ne peut être donnée; cependant on observe que les rubis sont la plupart de forme plate, les brillants sont taillés l'antique, c'est-à-dire plus pointus que les modernes. a l'étoile du soir. definitive toewtzing. HANDZAEME. lngesteld fr° 17,60000 c*. openbare openbaere verkooping LIVINUS VAN UXJ un calme pour ainsi dire plat, je le vis aussitôt prendre des précautions, auxquelles il n'avait pas même recouru, sur l'Océan, dans les plus gros temps. Eu effet, l'orage ne tarda pas de grossir; tantôt il semblait s'éloigner, et tantôt il se rapprochait de nous, lorsque soudain il fondit sur le bâtiment avec une impétuosité extraordinaire; le vent soufflait avec la plus grande violence; un instant après, il tourna tout-à-coup; les voiles du mât de misaine, qu'on avait né gligé de carguer, s'agitaient avec fureur sous les coups de l'ouragan, et se déchirèrent du haut en bas; ce moment, le navire fit je ne sais quel mouvement qui me sembla tout nouveau; l'équipage se regardait en silence et témoignait une vive inquiétudeQuelques minutes plus tard, la tempête avait cessé, et nous en étions quittes pour la peur. Cependant, sans les précautions du capitaine, il est tout au moins probable que notre navire aurait été privé de toutes ses voiles. Enfin, nous arrivâmes le a5, l'embouchure du Hongley, bras principal du Gange. Mais là de nouvelles difficultés nous attendaient. Les tempêtes, qui avaieut sevi dans ces parages pendant le mois de septembre, avait presqu'entiè- ment changé le cours de la rivière peu de jours avant notre arrivée, un navire superbe, le Madagascar, avait tduché sur un banc de sable qui s'y était récemment formé, et avait failli être mis en pièces; deux bateaux vapeur, arrivés son secours Calcutta, l'avaient remorqué dans le dock de cette ville pour y subir les réparations néces saires. Le récit de cette aventure, joint d'autres accidents plus graves encoie, les débris de navires que nous voyons flotter ça et là, nous inspiraient des inquiétudes, que la présence du pilote venu notre bord pour nous aider franchir la passe de la rivière, ne réussit pas dissiper entièrement. Nous avançions lentement et en usant de toutes les mesures que prescrivait la prudence. Il nous eût été, il est vrai, impossible d'aller vite; car la brise était souvent nulle. Quelles tristes journées nous passâmes l'à! Nous nous trouvions en face de l'île de Sagorque l'on dit peuplée de tigres; l'équipage se donnait toutes les peines du monde pour faire avancer le navire, nous louvoyions dans tous les sens; mais en vain. Cependant une vingtaine d'Indiens étaient venus joindre leurs efforts ceux de nos matelots. La vue de ces gens-là nous divertit un peu. Ils montaient des barques, qu'ils manœuvraient force de rames, et d'où ils s'efforçaient de remorquer notre bâtiment. Le pilote que nous avions bord, les excisait du geste et de la voix. Djoreckl Djoreck\ c'est-à-dire Courage! Courage! ne cessait-il de leur crier, et en disant cela, il leur montrait les poings et leur crachait au visage. (J'ignore si cette pratique est usitée en pareils cas parmi les habitants de ce pays.) Or, après avoir ainsi passé toute une journée, il se trouva que nous avions fait ui plus ni moins que deux milles anglais. Jugez si cela était réjouissant. Les quatre jours suivants, le vent nous fut un peu favorable, il nous arriva même de parcourirun de ces jours-làun espace de i 7 milles. Néanmoins l'enuui nous prit, et pour ne pas nous exposer le voir se prolonger peut-être longtemps encore, nous résolûmes de profiter de l'occasion qui nous était offerte par un agent d'affaires de notre capitaine, venu sa ren contre de Calcutta; nous prîmes donc les devants et nous arrivâmes en cette ville cinq ou six jours avant le Gange lequel ayant touché dans l'intervalle sur un banc de sable, dut subir une visite son entrée dans le dock. Il y avait 134 jours, c'est-à-dire environ quatre mois et demi que nous avions quitté Bordeaux. Nous étions partis un dimanche, et ce fut également un dimanche que nous débarquâmes alcutta. (la fin an numéro prochain.) CARDOL DECANUS DEDIT ALTARI B. M. V. 1800. Salut toi, salut, astre fidèle et pur! Ta lumière ressemble ces amitiés saintes, Qui se cachent parfois en nos heures d'azur, Et reviennent nous en entendant nos plaintes! Ta lumière ressemble l'oeil providentiel. Qui sans être aperçu veille sur notre route, Et quand nous nous courbons sous un destin cruel, Jette un rayon céleste au sein de notre doute! Oh! viens! viens de nouveau, tandis que je poursuis Mon chemin isolé vers un horizon sombre, Laisse-moi te revoir dans le calme des nuits, Laisse-moi contempler ton doux flambeau dans l'ombre! TRADUIT D'AADERSE*. VAN EENE BINNEN Den Donderdag i6en Maert i843, ten drie uren na raiddag precys, zal plaets hebben ter herberg bewoond door Charles Van de fValle op de dorpplaets te Handzaeme, de Définitive Toewyzing zonder verder uytstel van eene HOF STEDE, gelegen binnen de zelve gemeente Hand zaeme, zuyd van de kerk, groot onder Garzingen Zaeylanden, al t'eenen blokke, xo hectaren 90 aren 66 centiaren (24-1-96 R.) in pagte ge- houden door sieur Antoine De Coodtten pryse van fr* 67120 c5 s'jaers boven de contributien. De verkooping gescbied door het ministerie van den notaris HUYGHEBAERT te Hand zaeme; men kan ook aile inlichlingen bekomen by den notaris VERLEZ te Zonnebeke. (x) Une MAISON avec ÉCURIE pour trois che vaux, situe'e rue dite Weningstraete, n° 8. S'adresser pour les conditions, rue des Chiens, n° 90. (1) TD Maendag 20"n Maerte i845, ten tien ueren voor middag, in het Stad-Huis binnen Yper, zal'er van vvege de regeering en door de ambts- verrichting van den notaris BOEDT t'Yper, geprocedeerd worden tôt de openbare verpacb- ting voor eenen termyn van 6 of 9 jaren integaen den eersten Octobre i843, van i° Een HUIS ten dienste van herberg genaemd bet Exercitie Plein, gelegen te Vla- mertinghe, langs de calchiede van Yper naer Dic- kebusch, houdende aen het nieuw Exercitie Plein. 20 Eene partie MEERSCH groot 44 aren 80 centiaren. En 3" Een parlieken LAND groot 11 aren 80 centiaren al gebruikt door Louis Polderman. (0 VAN EENE GELEGEN BINNEN P^©©©!M] 11 [Kl M IL11 o Men bied in het openbaer te koop het volgende Goed. EENIGEN KOOP. Eene partie Taillie-Bosch gelegen binnen de gemeente Passchendaele west van de Kerk, pa- lende oost, zuid en west Mynheer Detranne- court noord Joufvrouw Louise Bouten, be- staen met schoone welwassende Booniengroot volgens cadaster H. 1-25-10 en by tytels 1 hectare 3î aren 3o centiaren om terstond in gebruik te koinen. Den Instel zal gescbieden op Maendag i5*B Maerte i843,ter herberg het Brauwershof be woond door sieur Van Lerberghe te Passchen daele noord by de plaetsen den Absolui- ten Overslag op Maendag 27" Maert i843, ter herberg het Schaerken in gebruike van Louis Rogier op de dorp plaels te zelve Pas schendaele om t'elkens te beginnen ten vier uren percys namiddag. De voorwaerden en tytels van eigendoni berusten ter inzaege van een ieder ten kan- toore van den notaris VERLEZ te Zonnebeke, met deze verkooping gelast. (1) Zep- het voorls. zaekwaerslâietoj, IN DE IIONDSTRAET, N° -«««, JÙT jpïtftw v bet Publie\&gpat^té^ieken, placeeren rreèït^tmts goed zet, too, kleyfifAals groote sommen. J ïjbelMeve net voort te zegge/u

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1843 | | pagina 3