m SCI100N G ROOT HUIS couvent. On sait que les filles de CAnnon ciationinstituées en France par la reine Jeanne de Valois, s'établirent Anvers sous le règne de Charles-Quint, et vinrent plus tard s'installer Bruxelles, dans la rue de Louvain. Les archiducs Albert et Isabelle posèrent la première pierre de leur église. f On lit dans le Journal de La Haye Nous apprenons de bonne source que toutes les nouvelles qui ont circulé sur l'état de santé de l'empereur de Russie sont complètement controuvées. Ce mo narque n'a pas même été indisposé. M. Gachard, archiviste général du royaume, vient d'adresser une lettre la commission royale d'histoire sur les docu ments concernant l'histoire de la Belgique qui existent dans les bibliothèques de Madrid et de l'Escurial. Voici propos des chefs arabes une anecdote qui a échappé jusqu'ici aux curieux. Après avoir assisté une repré sentation du phisicien Philippe, Paris les chefs arabes avaient fait avancer un fiacre. Ils étaient déjà montés en voiture, et le cocher fouettait ses chevaux, lorsqu'un des Arabes, l'auteur de quelques vers sur Paris cités dernièrement par les journaux, s'aperçut que la portière était restée ou verte, et s'écria en français Conducteur, fermez la porte! Dites donc la portière! répliqua vivement un gamin de Paris, qui les mains dans ses poches, contemplait les costumes des Arabes. L'Arabe sourit son maître de langue improvisé, en lui jetant une pièce par-dessus la portière Merci de cette leçon, mon enfant, lui dit-il avec bonté. Les nombreux specta teurs groupés autour du fiacre allaient sans doute applaudir ce trait de généro sité lorsqu'un coup de fouet du conducteur ravit les Arabes celte ovation inattendue. La Gazette de Lucerne du 7 janvier contient un article très-court, mais d'une haute importance, en ce qu'il révèle ce qu'aurait de critique pour la situation po litique de la Suisse le triomphe éventuel des factions qui se sont montées en armes sur le théâtre des derniers événements de Lucerne. Nous pouvons, dit cette feuille annon cer comme venant de sources assez au thentiques, que les grandes puissances européennes ont déjà clos les actes, leurs transactions relatives la Suisse. Si le sys tème gouvernemental des corps-francs parvient brandir sur la Suisse les tor ches de la guerre civile, la Confédération suisse cessera d'être un Etat républicain. La divine Providence, qui, le 8 décembre, a préservé le canton de Lucerne d'une révo lution meurtrière, a donc également pré servé la Confédération de sa ruine. Que les gouvernements cantonnaux y réflé chissent sérieusement, et qu'en mettant un frein puissant aux révolutionnaires, ils se déchargent de la grave responsabilité d'avoir coopéré la ruine de l'indépen dance suisse, ou du moins de ne pas s'y etre plus sérieusement opposés. Quant nous, il nous est difficile de croire qu en si peu de temps les grands fcabinets aient pu s'entendre sur une me sure aussi grave, aussi épineuse que la .transformation d'un Etat républicain en In ou plusieurs Etats de forme monar chique. i r* Un i°urnal de Louisville aux Etats- Unis, du 20 décembre, rend compte d'une «ouvelle et déplorable catastrophe arrivée sur le Mississipi, dans laquelle plus de frente personnes ont perdu la Yie. Le 14 décembre, minuit, le steamer Bell, de Chrksville, a rencontré le steamer la Loui- siana venant de Memphis. Le choc a été terrible. Le premier bâtiment a été mis en pièces; trente et une personnes ont péri. Toute la cargaison a été perdue. Un coffre en fer contenant 12,000 dollars a été sauvé. La cargaison était assurée pour 23,000 dollars. Voici le texte du projet de loi qui a été présenté la chambre par M. le ministre de l'intérieur Art 1". Le Roi règle par des arrêtés les mesures que la crainte de l'invasion ou de l'existence d'une maladie épizootique ou réputée contagieuse rend nécessaires, tant l'égard des provenances en destina tion de la Belgique, que sur les frontières de terre et de mer ou dans l'intérieur du pays. Art. 2. Les dispositions prises en vertu de l'arficle précédent sont publiées et af- fichéesdans les communesauxquelles elles sont applicables; elles ne sont obligatoires qu'après leur insertion au Moniteuret dans le délai déterminer par ces arrêtés. Art. 3. Le gouvernement fixe le chiffre de l'indemnité accorder, suivant les cir constances, aux détenteurs des animaux malades ou suspects qui sont abattus par suite des dispositions arrêtées en vertu de l'article 1er. Il n'y a pas lieu indemnité en cas de contravention aux règlements en vigueur. Art. 4. Dans les cas non prévus par les lois actuellement existantes, les contre venants aux dispositions auxquelles don nera lieu la présente loi, seront condamnés soit cumulativement, soit séparément, sui vant la gravité des faits, un emprisonne ment d'un mois cinq ans et une amende de 100 2000 francs. Monsieur le Rédacteur, - FRANCE. Paris, 14 janvier. Un journal prétend que le roi a consenti une dissolution des chambres pour le cas où le ministère Guizot n'obtiendrait pas la majorité dans la chambre des députés. M. le maréchal Bugeaud est attendu le 20 ou 22 Paris. Il assistera par con séquent la discussion de l'adresse la chambre des députés. La cour d'assises de la Seine juge en ce moment une nouvelle bande de voleurs. Cette bande, dite des Habits noirs, et qui se compose de neuf individus, diffère des autres en ce que les accusés appartiennent une classe au-dessus de la condition infime ou se recrute ordinairement cette espèce de malfaiteurs. Il y a dans le nom bre un agent d'affaires, un marchand de modes, un commissionnaire en librairie et un marchand de tableaux. La plupart ont été amenés sur les bancs de la cour d'as sises par les révélations de l'un des accusés, le nommé Pernet. Le roi de Sardaigne Charles-Albert s'occupe, dit-on. réunir ses états la principauté de Monaco. Le prince actuel Tancrède-Florestan-Roger-Louis Grimaldi ne demandrait pas mieux que de s'arran ger avec son voisin. Mais il est probable que la France s'opposerait la conclusion du marché. C'est pour hâter le succès des négociations, que le jeune prince hérédi- taire Charles-Honoré vient d'arriver Pa ris. Correspondance OF FIT ER IIAAD TE KOOPEN, MET GROOTEN HOF, Ter plaetse van Dickebusch langs den steen- weg leidende van Yper naer Reninghelst. 1 maladies contagieuses parmi les bestiaux. En fait d'administration, les intérêts d'une lo calité ne peuvent être entièrement étrangers a une autre; il y dans chaque difficulté qui s'élève des inconvéniens a éviter et des exemples salutaires a imiter, après ce court préambule explicatoire, vous permetterez que j'entre en matière. Il existe a Popei inghe une école primaire qui a pour instituteur principal le Sr Victor Bonté a la moralité et h la capacité duquel tout le monde rend justice. Il n'y a qu'une voix sur son compte. Mais l'âge et des infirmités qui se font sentir l'obligent souvent a confier ses fonctions son propre fils, jeune homme 'qui a déjà servi dans la carrière de l'enseignement public en qualité de sous-insti tuteur au pensionnat de S'. Jean-lez-Ypres. L'administration et jle public sont d'accord sur la bonne conduite de l'instituteur principal, mais ils diffèrent d'opinion relativement a la succession éventuelle de sa place a la tète de l'école primaire. L'un croit que le fils Henri Bonté devrait succéder au père, qu'il a remplacé ou aidé quelque fois, c'est la voix publique qui le porte a ce poste; tandis que l'administration semble pencher pour le Sr Dekeyser remplissant d'une manière irrépro chable les fonctions de sous-maître depuis six ou sept ans. La première question qui s'élève est, mon avis, de savoir s'il y a véritablement urgence pour le moment a donner sa retraite a l'instituteur prin cipal, ee point une fois admis, la stricte justice et l'équité s'accordent pour appeler le Sr Dekeyser la succession du Sr Bonté; tandis que les égards dûs aux bons services du père et du fils le désignent suffisamment aux fonctions de sous-maître en écar tant toute autre concurrence. n Il résulterait de cet arrangement que la famille Bonté ne perdrait presque rien de la démission de son chef pensionné, et qu'elle y verrait une car rière ouverte au fils, s'il continue a mériter la confiance du public et qu'il parvienne gagner celle de l'administration. Un de vos Abonnés. MIIe DOUVERE de Bruges, l'honrieur d'annoncer aux Dames qu'elle arrivera Ypres, Lundi 27 courant, a l'Hôtel de la Chatellenie, avec un assortiment de Corsets, elle espère par la bonne qualité et la solidité, mériter de plus en plus la confiance de personnes qui voudront l'honorer de leurs ordres. (i) om aenstonds in gebruik te treden GELEGEN Dit Gebouw, nieuwlyks hersteld, is, door zyne gelegendheid en menigvuldige gerieflykheden zoo als grooten Kelder, groolen nieuwgemaekteu Citerne, Poinp, enz., enz., voornamelyk gedienstig voor BrouweryHerberg ofle Fabriek. Het heeft daer en boven heUJÎQ^ç^èSK^an door zyne nitgestrekheid in Huizen te kunnen gesebeid Zich te adresM^i^ Boter straet, 7 4, te YjV^^sj-. (0 Een zeer schoon gm5^tyk HUIS, dienstig tôt aile slag van Koophandel, gelegen by de Markt tôt Dixmude; uit'er band te koopen met groot gemak van betaling. Zich te adres- seeren by dcm^îxSh^-^er. (2)

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1845 | | pagina 3