3 tourne sur ses pas, accompagné de la foule, il veut lui montrer la riche fontaine qu'il avait dissimulée qui fut surpris? La sour ce a disparu l'hydroscope l'avait arrêtée dans sa coure au milieu du champ du pau vre cultivateur. Notre homme jura, mais m peu tard, qu'on ne Cy prendrait plus. NOUVELLE-ZELANDE. On a reçu Londres par lavoie de l'Inde des lettres de la Nouvelle-Zélande jusqu'au 12 juillet. Un échec, plus grave que les précédents, a été essuyé par les troupes anglaises. Un corps de cinq cents hommes appuyé de l'artillerie ayant voulu empor ter le fort dans lequel s'était retiré le chef zélandais Hekidevenu depuis quelque temps la terreur des colons, a été repoussé après être revenu plusieurs fois la char ge. Des pertes cruelles ont été le résultat de cette tentative infructueuse elles con sistent en 42 tués, parmi lesquels se trou vent le lieutenant du brick de guerre an glais le Hasard, et le capitaine Grant, du 58" régiment et plus de 60 blessés, dont un grand nombre très-grièvement. Cette fâcheuse affaire a eu lieu le 2 juillet. REPUBLIQUE ARGENTINE. Les nouvelles de Buenos-Ayresla date du 4-8 septembre, annoncent que les escadres française et anglaise ont forcé l'entrée de l'Uruguay et de Parana. Guari- baldi, commandant les forces montevidé- ennes, a occupé l'île Martin-Garcia qui commande l'embouchure de l'Uruguay et passe pour être la position militaire la plus importante de l'Amérique du Sud. Une partie de l'estrade a remonté J'Urugnay et devait occuper les îles voisi nes de Montevidéo sur la rivière. Le gouvernement de Buenos-Ayres pu blie décrets sur décrets pour empêcher toute communication avec les escadres alliées. Aucun habitant de Buenos-Ayres ne peut obtenir de passeport pour quitter la ville qu'en donnant une caution et en prenant l'engagement de n'avoir aucun rapport avec Montevidéo. Nous, LÉOPOLD premier, Roi des Belges. DES HUÎTRES FRAICHES, A raison de fr. 4-50 p. °/0 A L'HOTEL DU PARNASSE, A YPRES. 11 Kl TOI! M H INI©. brave Jacques Plougastec, venez ici, et voyez ce que vous voulez faire de ce chevalier qui a, au mépris de la trêve, brûlé votre ferme, tué votre femme et vos enfants, et vous a amené ici prison nier poings et pieds garottés. Prenez une dague, et donnez-lui le coup de grâce ou bien mettez-le rançon, aussi fort qu'il vous plaira. Son sang seul pourrait payer le sang de mes enfants et de ma femme, mais qu'il ait la vie sauve, répondit Jacques Plougastec. J.e chevalier Thomas de Cantorbéry se releva enfin, au milieu des huées et des cris insultants de tous les spectateurs le duc de Lancastre lui intima l'ordre de sortir de la lice et de retourner en Angleterre. Le duc de Lancastre voulut en outre que la maison de Jacques Plougastec lût rebâtie aux frais du sire de Cantorbéry, et il donna ordre a ses troupes de la respecter, n'importe les chances de la guerre. Elle subsistait encore deux siècles après la mort du chevalier avec cette inscription en anglais, en français et en bas-breton Sous la protection du chevalier Bertrand Duguesclin. A tousprésents et h venirfaisons savoir que le Tribunal de première instanceséant k Ypres, Province de la Flandre Occidentale, ju geant commercialement a prononcé le jugement suivant L'an mil huit cent quarante cinq, le huit du mois de Novembre; je soussigné François- Louis-Joseph Laheyne, écrivain, demeurant et domicilié k Ypres, Syndic provisoire k la faillite du sieur Félix Van Roosbroeck, ci- devant fabricant de noir d'Ivoire Ghelu- veltdéclare par ces présentes, que, bien que les Créanciers k ladite failliteaient été con voqués en conformité de l'article cinq cent trois du Code de Commerce k l'effet de me déclarer k quel titre et pour quelles sommes ils sont Créanciers dudit failli et de me remettre leurs titres de Créance ou de les déposer au Greffe du Tribunal de première instanceséant k Yprescontre récipisséainsi que pour com paraître le vingt Octobre mil huit cent qua rante cinqk neuf heures du matin en la Chambre du Conseil dudit Tribunal, pour l'af firmation des Créances en conformité de l'ar ticle cinq cent trois dudit Code de Commerce; Les délais et jour fixés sont expirés sans que les Créanciers ci-après nommés ce soient pré sentés ou aient comparus pour faire vérifier et affirmer leurs Créance savoir veuve Pierre LéonardLesaffre, François Becquaert Wolf- carius charpentier et Bovyn Rernbrynégo ciant tous a Menin De Clippe et Vanhum- beeck négociants drogistes AnversVandaele cordonnier et J. Catrytous deux Ghe- luvelt; P. Vanhoutte cabarelier Gheluwe, et Viseurchaudronnier a YVevelghem. De tout quoi j'ai dressé le présent procès verbal qui a été clos par monsieur le Juge Commissaire k la faillite conformément k l'ar ticle cinq cent dix du Code de Commerce, k telle fin que de droit, les jour, mois et an que dessus. (Signé) L. Laheyne. Yu et clos le présent procès verbal par nous Juge Commissairele hnit Novembre mil huit cent quarante cinq. (iSignéF. De Codt. Enregistré contenant un rôle sans renvois k Ypres le dix neuf Novembre mil huit cent quarante cinqvolume soixante six, folio soixante dix sept versocase premièrereçu trois francs quarante centimesfesant avec les trente pour cent additionnels quatre francs quarante deux centimes. Le Receveur, {Signé) H. Nagels. LE TRIBUNAL de première instance, séant k Ypressiégeant en matière de Commerce. Ouï le Rapport de monsieur De Codt, Juge Commissaire la faillite du sieur Félix Van Roosbroeck, ci-devant fabricant de noir d'Ivoire k Gheluvelt. Vu les articles cinq cent dix et suivants du Code de Commerce. Attendu qu'il conste par le Rapport de mon sieur le Juge Commissaire que tous les Créan ciers k la faillite du sieur Félix Van Roosbroeck ont été avertis dans les formes prescrites par la loi, que la vérification des Créances aurait lieu en Cham bre du Conseil du Tribunal de première instance, séant k Ypres, le vingt Octobre mil huit cent quarante cinqa neuf heures du matin avec invitation k se présenter dans le délai de la loi par eux ou par leurs fondés de pouvoir au Syndic de la faillitelui déclarer k quel titre et pour quelle somme ils sont Créanciers et k lui remettre leurs titres de Créance ou k les déposer au Greffe de ce Tribunal. Attendu que nonobstant cet avertissementne se sont pas présentés les Créanciers dont les noms suivent veuve Pierre Léonard, Lesaffre, Fran- y> çois Becquaert YVolfcarius charpentier et Bovyn Rembry négociant, tous Menin De Clippe et Vanhumbeeck négociants drogistes Anvers Vandaele cordonnier et Catry, tous deux Gheluvelt', P. Van- houtte cabaretier Gheluwe et Viseur chaudronnier Wevelghem. LE TRIBUNAL accorde pour la vérification de leurs Créances et de celles des Créanciers qui ne sont pas connus jusqu'à ce jour, un nouveau délai jusqu'au vingt deux Décembre mil huit cent quarante cinq. Ainsi fait et prononcé en audience publique Commerciale du Tribunal de première instance, séant k Ypres, Province de la Flandre Occi dentale le dix neuf Novembre mil huit cent quarante cinq; Présents messieurs De Codt Juge faisant les fonctions de PrésidentDe Gheus et De Coninck Juges, De Patin Procureur du Roi et Van Den Bogaerde Greffier, [Signé) F. De Codt et Tu" Van Den Bogaerde Greffier. Mandons et ordonnons tous Huissiers, k ce requis, de mettre le présent Jugement k exé cution. A nos Procureurs généraux et k nos Procu reurs près les Tribunaux de première instance, d'y tenir la main et k tous Commandants et Officiers de la force publique d'y prêter main forte lorsqu'ils en seront légalement requis En foi de quoi le présent Jugement a été signé et scellé du sceau du Tribunal. ptl'r expédition t Délivré au Syndic provisoire de la faillite. Le Greffier du Tribunal de première ins tance séant k Ypres, Province de la Flandre Occidentale. {Signé) Th" Van Den Bogaerde Greffier et scellé. Enregistré contenant cinq rôles, sans renvois k Ypres le vingt Novembre mil huit cent qua rante cinqvolume soixante sixfolio quatre vingt versocases quatre et cinqreçu pour droit de jugement trois francs quarante cen times, fesant avec les trente pour cent addi tionnels onze francs trente un centimes. Le Receveur {Signé) H. Nagels. Pour Copie Conforme: LE SYNDIC PRÉNOMMÉ (t) L. LAHEYNE. a prendre de jour a autre, IL - - 9 Maendag i°n December i845, te beginnen om een eur namiddag, op de Hofstede gebruikt door Josephus Vermeersch te Zonnebeke, agter de herberg den Haen, zal'er door het ambt van den Notaris POUPAERT, opeubaerlyk Verkogt worden omirent de 100 hoopeu drooge Ruening Blokken en eene groote vumrae Eeken SluiteD, al geleid in koopen t'elks gerieve. (i

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Le Propagateur (1818-1871) | 1845 | | pagina 3