OPKOEP1NG. TE PACHTEN, VENTE D ARBRES, IMMOBILIÈRE. Belle 31 AlSOIV 3 Le 14 de ce tnois, la barque de Gorcum Woudrichem, une heure après son dé- Êart, a tout coup fait eau et coulé fond. es dix personnes qui se trouvaient Sur cette barque, malgré la promptitude des secours qu'on s'efforça de porter l'aide de petites barques, une seule a été sauvée. On ne sait quelle cause attribuer ce malheur. Un collège de Jésuites va s'établir pro chainement Montréal (Canada) l'aide de souscriptions volontaires. Une seule per sonne a souscrit pour 1,600 liv. (40,000 fr.) Plusieurs faillites ont eu lieu la se maine dernière Glascow. Le passif d'une des maisons en faillite qui était engagée dans le commerce des fers, s'élève, dit-on, 100,000 liv. Dans une nombreuse réunion qui a eu lieu samedi Londres, on a arrêté le plan d'une association formée dans le but d'établir des maisons de travail dans les quelles on recevra les condamnés libérés et on leur fournira les moyens de gagner honnêtement leur vie par le travail. Une souscription a été ouverte immédiatement et des dons considérables ont été recueillis. Un comité nommé dans l'assemblée a été chargé de recueillir les.souscriptions et d'adresser une pétition aux deux chambres du Parlement pour appeler leur attention sur cette institution philanthropique la tête de laquelle est placé l'évêque de Lon dres. Une baleine a été prise vendredi der nier dans la baie de Carnarvon (côtes du pays de Galles) et a été touée jusque dans le port de Liverpool par le steamer Cam- bria. Elle s'était trouvée engagée sur des rochers, ce qui a permis l'équipage du Cambridge de la prendre sans danger. Elle a 41 pieds de longueur. Ik geef, jonne en légateere, te weten aen de descendenten van mynen vaderlyken 00m JOANNES TERRIER, overleden te Merc- kem, te zamen een duizend acht iionderd francs, om onder hun staekswyze verdeeld te worden en drie duizend twee honderd francs, aen aile de descendenten van PIE- TER-FRANCISCUS SAMYN by MARIE- MAGDELENA YERSCHAVE beide over- leden te Langemarck en dit 00k om onder hun staekswyze verdeeld en genolen te wor- den A nation qui a été agrée par S. Em. le Cardinal- Archevêque de Matines. On écrit de Madère en date du 11 février dernier: La maladie qui a sévi en plusieurs pays de l'Europe sur les pommes de terre a éclaté aussi dans notre île, et, si elle se prolonge, Madère, loin de pouvoir continuer ses exportations, sera force de s'approvisionner l'étranger On écrit de New-York le i4 février: Les États-Unis, qui possédaient déjà, comme on le sait, des hôtels garnis flottant et même un théâtre flottantc'est-à dire établis sur des bateaux vapeur, ont maintenant aussi une usine flottante: c'est une grande verrerie, qui se trouve sur le steamer l'Ohio, lequel pârcourt le fleuve de ce nom. Les travaux dans cette verrerie s'exécutent en grande partie pendant la nuit, durant laquelle le bâtiment est mouillé le jour est consacré aux voyages, afin de vendre les produits dans les loca lités sur les deux rives de l'Ôhio. On assure que M. le prince de Joinville va prendre prochainement Toulon le. commande ment de l'escadre d'évolution de la Méditerranée. On lit dans YAkhbarUn de nos prison niers, qui a eu le bonheur de s'échapper de la deïra d'Abd-el-Kader, a donné quelques détails sur la situation de ses camarades. Leur moral se soutient toujours, grâce l'énergie du lieutenant colonel Cognard qui leur montre l'exemple du courage dans l'adversité, comme il le leur avait montré sur le champ de bataille. Ils ont besoin de force, en effet, car les marches continuelles de la deïra leur Causent de grandes fatigues. Malheur a ceux qui, ttop faibles ou malades, restent en arrière Bou- Hamedi, khalifa d'Abd el-Kader, les fait exécuter* Six de nos pauvres soldats ont déj'a été massacrés pour cette cause par ordre de ce féroce Kabyle. HOLLANDE. La Haye, 16 mars. ANGLETERRE. Londres, 18 Mars. On écrit de Jersey, le 8 mars: Un crime vient d'être commis par une Française sur la personne d'un des officiers de justice les plus estimés de Jersey. Vendredi vers trois heures après midi, M. Le Cronier accompagné de M. Hetiri-Luce Manuel, officier du Connétable, se rendit'a Mulberry Cot tage résidence d'un Français nommé Pierre Le Gendre, afin d'arrêter sa femme, aussi native de France, pour la faire comparaître le lendemain devant la cour royale, au sujet d'une scène dégoû tante qui s'est passée dans sa maison, fort mal famée, cinq ou six jours auparavant. Lorsque M. Le Cronier arriva près de la maison la femme qui était en dehors, lorsqu'elle le vit, rentra aussitôt, et s'assit dans un petit parloir. M. Le Cronier lui fit part de sa visite, tout en lui disant qu'il ne la mettrait pas en prison si elle pouvait fournir caution de se reproduire le lende main l'audience de la cour. La femme Le Gendre répondit que son mari n'étant pas la maison, elle ne pouvait fournir caution et que d'ailleurs elle ne se laisserait pas saisir. M. Le Cronier lui fit observer qu'il agissait en vertu d'ordres de l'auto rité supérieure, et l'engagea ne pas faire de résistance. Sur quoi, celte femme se retourna subi tement, et sélançant sur M. Le Cronier, elle lui enfonça un Uouteau dans le bas-ventre! Elle a essaya ensuite de porter un coup du même couteau M. Manuel, qui fut assez heureux pour esquiver le coup. M. Le Cronier, aussitôt qu'il se sentit frappé, s'écria qu'il était blessé mort. En entendant celte exclamation, la femme Le Gendre prit la fuite et jeta le couteau par dessus le mur, M. Manuel avait appelé du secours, essaya de conduire M. Le Cro nier chez lui; mais arrivés près de la maison de M. Jean Binet, Sand street, le blessé se sentit défaillir, et on le plaça sur uu sofa dans un appartement de cette maison, où les médecins ne tardèrent pas 'a lui donner des soins; ils reconnurent que la bles sure était fort grave. Mm° Le Cronier se rendit auprès de son infortuné mari dès qu'elle fut infor mée du malheur qui lui était arrivé, afin de lui prodiguer ses soins. M. Le Cronier, quoique en proie de grandes souffrances et un certain épuisement par la perte de son sang, n'en a pas moins conservé la jouis sance de toutes ses facultés, il était tranquille et résigné. Il a dicté lui même ses volontés 'a MM. Godfray et Le Sueur, qui furent rédigées au milieu des pleurs et des lamentations des parents et des amis du mourant. M. Le Cronier fut transporté chez lui sur un sofa dans un état désespéré, et midi et demi, le lendemain, il rendit le dernier soupir. Les navires dans le port, depuis ce moment, ont eu leur pavillon eu berne, et presque toutes les boutiques de la ville ont été fermées jusqu'à lundi en signe de deuil. L'enquête ayant été reprise lundi, le centenier Chevalier, officier de police, s'étant rendu la prison, de compagnie avec le docteur Joues, trouva la femme Le Gendre dans sa cellule, assise sur son lit, ayant la Bible sur ses genoux, et lui ayant dit: Malheureuse femme, si vous aviez toujours lu de pareils livres, vous ne seriez pas là où vous êtes maintenant. Elle répondit: C'est vrai; mais malheureusement j'ai lu d'autres choses. Lundi, 3o Mars 1846, 5 heures de rele vée, l'estaminet l'Eléphantrue de Dixmude, Ypres, il sera procédé I'Adjudication préparatoire, avec béuéfice de paumée, d'une Belle MAISON, située au sud de la rue au Beurre, n° 20, en la même ville et tenant dç l'est la rue de la Bouche: présentement occu pée par le sieur Charles Moraelavec droit de bail jusqu'au 1" Février 1847, moyennant 4oo francs par an, outre les contributions. Le Notaire VANDERMEERSGH Ypres est chargé de celte vente. (1) KAROLINA-JOSEPIIINA TERRIER, Overleden retltCDierster te Langemarck de# 3i'° Januarius i846, heeft by haer geheim Testament, gedéponeert ten kautoore van den Notaris COMYN te gezeyde Langemarckon- der ander gemaekt de volgende beschikkingen. Gevolgentlyk worden gemelde descendenten verzogt hun vèor den 3i®4 Septembre aen- staende, te bégCven ten kantoore van den Notaris COMYN te Langemarckvoorzien van genoeg- zame bewysstukken vaststellende hun regt van maegschapby gebreke dies zal de gifle ten aenzien der nalatende, komen te onderhlyven en moeten aenscbouwt zyn als niet gedaen. (1) Om seffens in gebruyk te tredenop zeer voordeelige conditien, eene PEERDE-SM1SSE, gelegen ih het gehuchte de Gnoote* Veurslraele, gemeenle Kemmel,het Htiys, eygen tôt woonste, hebbende een Keuken, verscheyde Kainers, groo- ten Kelder met Voûte daerboveu, stallingen, Scheur, Broodoven, grooten Waermoezierhof, eene schoone Weyde, .beplant met allerhande schoone fruitboomen ailes ten zy ten geheele of ten deele. Zich te adresseren in de Rysselstraet, n° 48, te Yperen. COSHNES-TEN-BRIELEIY. Le LUNDI, q3 Mars, i846 10 heures du matinil sera procédé une belle vente d'ARBRES, Comines-teri-Brielen,sur la Ferme occupée par le sieur Vancanneyt, peu de distance du cabaret nommé le Vieux Cruys Eyk consistant en 100 MARCHÉS DE CHÊNES et 18 MARCHÉS DE PEUPLIERS. Le Notaire VAN EECKEYpres, est chargé de cette vente ainsi que de la recette. (1) Qu'on se le dise. Le Samedi 28 Mars i846, 3 heures de relevée, en la Maison de Ville Ypres, il sera procédé par le ministère du Notaire RENTE Ypres, la MISE A PRIX avec gain de prime i° D'une FERME, d'origine patrimoniale de la contenance d'après titre de 8 hectares g5 ares 73 centiares, et selon cadastre 8 hectares, 75 ares, située Kemmeldernièrement oc cupée par feu les frères Caslryckactuellement en partie par Pierre Castryck et en partie par Pierre Dugouckietous deux sans droit de bail, divisée aux affiches parcellaires en onze Lots; 20 D'une parcelle de TERRES aussi Kemmel, d'après titre de 28 ares 52 centiares et selon cadastre 27 ares 10 centiares, occupée par Basile Thooris sans droit de bail 3* D'une PATURE, située Dranoutre de la con—

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Le Propagateur (1818-1871) | 1846 | | pagina 3