iniulm m iiiïsiued, VENTES E. SMACGKE, ADJUDICATION DÉFINITIVE, MISE-A-PRIX, VEItKOOPIiNGE BEESTIALEiy, FQURAGEN, Mais il ne se croit pas autorisé établir une espèce d'inquisition dans toutes les maisons religieuses, alors surtout que l'honorable membre n avait pas fait con naître le but auquel il voulait arriver au moyen de ces renseignements. Quant la liste des étrangers, elle existe au ministère et pourra être déposée sur le bureau. M. Verhaegen prétend que M. le Ministre de la justice, depuis son avènement au ministère, s'est fait le serviteur du parti catholique. Il lui reproche l'affaire Kelsin, la protection dont il a entouré les établis sements de main-morte, la mise en doute de la chose jugée, des nominations aux fonctions de juge-de-paix d'hommes qui ne connaissent pas les lois. Il prétend que ces nominations aussi bien que celles des notaires, ne sont plus que des ressorts électoraux. M. le Ministre donne des explications dont il résulte qu'il n'y a aucune espèce de fondement au reproche qui lui a adressé M. Verhaegen d'avoir consulté des mem bres de la cour de cassation sur la qnesliou de la main-morte. Abordant la question de la nomination de certains juges de paix, M. le Ministre fait remarquer que dans la loi relative aux juges de paix la Chambre n'a pas voulu introduire une disposition d'après laquelle ilaurail fallu être non pas docteur en droit, mais candidat en droit, pour pouvoir être nommé juge-de-paix. J'ai, dit-il, partagé l'opinion qui a guidé la Chambre en celle circonstance lorsque j'ai nommé Ilerzele un juge-de-paix qui n'était pas docteur en droit, mais qui était reeommandable sous tous les rapports et qui demeure Ilerzele, tandis que les au tres candidats étaient des jeunes gens de Gand qui se seraient bornés, comme la chose avait eu lieu jusqu'alors, se trans porter un jour par semaine Ilerzele, et qui auraient considéré la place de juge-de- paix comme un marchepied pour arriver d'autres fonctions. En ce qui concerne les mutations de notaires, les nominations de notaires qui auraient été différées, M. le Ministre donne des explications dont il résulte qu'à cet égard il a agi exclusivement dans l'intérêt du service. ANGLETERRE. Londres, il janvier. On dit que les collectes faites hier dans les diverses églises et chapelles catholiques de Londres au profit des pauvres irlandais ont produit de 4 5,000 1. st. La reine douairière vient de verser 1,000 I. st. au fonds de secours pour l'Irlande. Pendant la semaine dernière, plu sieurs essais de l'emploi de la vapeur de l'élher pour rendre les malades insensibles la douleur dans les opérations de chirur gie, ont été faits avec succès dans divers hôpitaux de Londres. Un des plus grands patriotes de la Grande-Bretagne,sir William Hillary, vient de mourir dans l'île de Marc l'âge de 78 ans. A la reprise de la guerre avec la Fran ce en 1803, sir William leva ses frais et commanda en personne la première légion du comté d'Essex composée de 1,400 hom mes. En récompense des grands sacrifices qu'il fit cette époque pour la défense de son pays, Georges 111 le créa baronnet. IRLANDE. Aux dernières dates de New-York, il s organisait dans cette ville une compagnie pnissanle qui se proposait de mettre pro fit la détresse laquelle est en proie la malheureuse Irlande, pour donner de nou- veloppements et de nouvelles facilités l'immigration des Irlandais sur le terri toire des Etats-Unis. Cette compagnie doit affecter ce service au moins dix grands navires qui navigueront incessamment en tre les côtes d'Irlande et de New-York. Il pourra être ainsi transporté chaque année, au moins dix mille émigrants. On donnera chaque famille cent acres de terre, des instruments aratoires et tous les fonds né cessaires l'installation et la subsistance d'une année. La rétribution de cette colo nie envers la compagnie sera répartie sur plusieurs années, de manière a faciliter le remboursement des avances faites aux colons. Depuis plusieurs années, on n'évalue pas moins de 50 mille, en moyenne an nuelle, le nombre des Irlandais qui vont demander aux Etats-Unis un asile et du pain. Dans les circonstances actuelles, il n'est pas douteux que la plus grande par tie de cette malheureuse population ne soit prête s'expatrier, si on lui en donne les moyens. ÉTAT CIVIL D'YPRES, PROFESSEUR A MONS ÉTUDE DU NOTAIRE R E N T Y 7?MS. Mise-à-Prix 800 francs. Mise-à-Prix 1,000 francs. Mise-à-Prix 575 francs. Mise-à-Prix 3,300 francs. Pour plus amples renseignemens s'a- dres audit Notaire RENTY. (2) GEMEENTE DICKEBUSClÉ LAIS DROUWERS IIALLAEM, Séance du 13 Janvier. |)u ta au IV Janvier Indu. NAISSANCES. 8 Du sexe masculin. 0 Du sexe fémininr°ta' '4" MARIAGES. i. Semenet, Albert Joseph, âgé de o3 ans, tailleur, et Hof, Colette-Marieâgée de 3o ans, deutejliere. a. Chevalier, Heuri-Jeauâgé de ans, cordonnier, et Douchy, Joséphine-Prudence, âgée de 38 ans, dentellière, 3. Duprez, Pierre-Joseph-Emanuel, âgé de ans, tailleur, et Candeel, Marie-Thérèse, âgée de 'j4 ans, dentellière. DÉCÈS. i. Dehollauder, Lucie-Isabelle, âgée de 56 ans, dentellière, célibataire, rue de Menin. a. Sperwer, Catheriue-Rose, âgée de 56 ans, journalière, veuve de Séraphin Rytlet, rue de Meniu. 3. Verhaeghe, Marie-Thérèse-Colette, âgée de So ans, lileuse, célibataire, rue de Lille. 4« Lauwers, Martin-Liévin, âgé de 71 ans, journalier, veuf de Constance brûlé, époui. de Marie-Thérese Mattelaer, rue de Meniu. ENFANTS AU-DESSOUS DE 7 ANS. Masculin 1 t XoU,6> reunniii. 4 3 A l'honneur d'informer MM* les souscripteurs que le tirage pour sou ALBUM a eu lieu en pre'sence d'un grand nombre de souscripteurs le 10 Jauvier 1847 au Café Royal teuu par M. François, et que c'est le N° 297 pris par M. SANDERS, Directeur de l'École d'Industrie et de Commerce de la ville de Turnhout qui est sorti de l'urne le premier. (1) DE Le JEUDI 21 JANVIER 1847 a 2 heures de releve'e Hollebeke, au cabarêt occupé par la veuve Duriez D'une MAISON et 3o ares g5 centiares parmi Fonds bâti, Verger, Pâture et Jardin Hol lebeke au nord-est de l'Église, occupés par le co-propriétaire François Dieryck jusqu'au 1" Octobre 1847, sans redevance. D'une PATURE au sud-ouest de l'Église a Hollebeke de 70 ares o4 Centiares par titre et 71 ares 10 centiares selon le cadastre. De deux parcelles de TERRES aussi Hol lebeke, non loin de la précédente Pâture, en semble de 1 hectare 20 ares 77 centiares par titre et 1 hectare 21 ares 94 centiares selon le cadastre Et d'un PRÉ Wytschaete de 23 ares 4o centiares d'après titre et det 25 ares 5o cen tiares selon le cadastre. Le tout occupé par la veuve du sieur Fan Becelaere a Hollebeke jusqu'au premier Octobre 1847, au prix de i5o francs l'an au dessus des contributions. Le MARDI 26 JANVIER 1847, 2 heures de relevée a Voormezeele, le long du pavé Kemmelau cabarêt occupé par le sieur Fran- çois Dieryck D une MAISON, sise sur 2 ares 91 centiares de Fonds Voormezeeleprès de l'Église, qui appartiennent k M. le baron De Joigny de Pa- mele, occupée par le sieur Dieryck. De deux parcelles de TERRES d'après titre de 85 ares 56 centiares, et d'après le cadastre, de 82 ares 10 centiares, occupées par la veuve de Pierre-Jean Dieryckpour 3, 6 ou 9 an nées commencées le 1" Octobre 1847, moyen nant 68 francs 5o centimes l'an au-dessus de l'impôt. GAIN DE MISE-A-PRIX 1 fi P. °/0. ADJUDICATION DÉFINITIVE Le JEUDI 28 JANVIER i847 a 3 heures de relevée Warnêton, au cabarêt le Soleil, occupé par le sieur François Lambin D une parcelle de TERRES de la contenance d'après le cadastre de 1 hectare 1 are 60 cen tiares, occupée par le sieur Louis Begein et af fermée a M. Boedt Warnêton jusqu'au 1" Octobre 1848 moyennant i38 francs l'an, au- dessus des contributions. OP DE PUAETSE. van ENZ., ENZ; AFHANGENDE VAN DE ERFEN1SSE van Op Donderdag, 4'" February, 1847, ten 9 uren voor iniddag, precies, daer zal, ten sterf- huyze van genaemde Juonna Fan Eecke, ter plaetse van Dickebusch,doordeu Notaris LAMBIN, geprocedeerd worden tôt de openbaere Verkoo- piug van de MOB1LIA1BE GOEDEREN door de zelve overledene nagelaten, bestaende Damelyk A. In stoelen, tafels, kleederkassen, bed- bakken met bebangsels, coffre, buffet met glazen deure, slaghorlogie met kasse, koper-,\in-, yzer-, blik-, glas-, gleys- en aerdewerk seboone wollen inalrasseiipluymeu bedden hoofdeynden en oorkusseus; wollen sargien

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1847 | | pagina 3