- âiatagii. BOSCH VAN HOUTHULST. vaaaDDïiîït© UIIGEROEIDE STRU1KEN. BERIGT. PORTUGAL. SARDAIGNE. BAVIÈRE. xocvklles ni:§ .uabchks. van L'Inspecteur de la I'6 Division, (i) 7^1T LCC. empêcher la guerre civile. Nous ne savons quelle créance mérite ce dernier bruit. Une tentative d'assassinat, qui rappelle celle dont M. Leu d'Ebersoll, a été la victime, vient d'être commise sur la personne de M. de Salis- Saglio, commandant en chef des troupes du Son- derbund, au moment où il revenait de Zug. Heu reusement elle a avorté. Plusieurs des coupables ont été arrêtés et remis entre les mains de la justice. On assure qu'un de ces misérables a déclaré avoir reçu de l'argent pour se défaire de M. de Salis. Dans sa séance du 4 octobre, le Vorort suisse s'est occupé des expéditions d'armes faites, dit-on, de France pour les cantons de la ligne ultra-mon- taine. Des voix énergiques se sont élevées contre les procédés qu'on attribue en cette circonstance au gouvernement français. Cependant, l'opinion qui voulait qu'on adressât des représentations au cabinet des Tuileries n'a pas prévalu. Les cantons du Sonderbund ont tenu une grande conférence Lucerne le 6 octobre. La Landsgerneinde qui a eu lieu le 3 octobre, Zug, le plus riche et le plus éclairé des cantons primitifs, et qui comptait 3,ooo 4,ooo assistants, a décidé que dans le cas où les questions pendantes ne pourraient avoir une solution pacifique, Zug coopérerait toutes les mesures prises par la ligue. L'ouverture de la session extraordinaire du grand conseil du Valais, qui a eu lieu le 5 octobre, a été marquée par un accident qui produit une vive sensation en Suisse. M. de Courton, président du grand conseil, ou vrait la session par un discours où il cherchait enflammer l'ardeur belliqueuse des députés. Au moment où il les encourageait a répandre jusqu'à la dernière goutte de leur sang pour la défense de la religion, il tomba mort, frappé d'un coup d'a poplexie, sous les yeux de l'assemblée stupéfaite. Les lettres d'Oporto annoncent que la vendange a commencé en Portugal et qu'elle sera une des meilleures qu'on ait eues depuis des années dans ce pays, pour la quantité comme pour la qualité du vin. Le tableau de Raphaël connu sous le nom de la Vierge de Loreto, qu'on a cru pendant longtemps perdu ou volé, et dont un bon nombre de copies se disputaient l'authenticité, vient enfin d'être re trouvé h Gènes par le marquis Spinola, grand chambellan et présideut de l'Académie Alberline des beaux-arts. L'illustre amateur, au lieu de mettre a profit l'occasion d'une si précieuse découverte pour en richir sa collection, préférant assurer ce chef- d'œuvre un plus grand éclat et en même temps plus de chance de conservation, s'est empressé de le présenter au Roi Charles-Albert, qui en a fait l'acquisition. Ce tableau était dans le plus misérable abandon, il était presque entièrement recouvert de teintes noires et d'huile grasse, qui laissaient peine en trevoir la hardiesse des contours, la pureté des formes et ce cachet indéfinissable dont sont em preints les ouvrages du grand maître. Heureuse ment l'habileté et la religieuse patience de M. Orlandi, qui en a été confié la restauration, sont venues bout d'enlever toute la couleur qui le recouvrait, et, l'exception de quelques domma ges de peu de relief occasionnés par une gerçure de bois, les parties les plus intéressantes du tableau se sont trouvées conservées au-delà de toute espé- rance. La capitale du Piémont vient d'avoir son mouvemeut populaire. Le 3o septembre, jour an niversaire de la naissance de Charles-Albert, un grand nombre de musiciens obtinrent du gouver nement la permission de chanter le soir, sur la promenade des remparts de la ville, l'hymne Pie It. Cette nouvelle se répandit rapidement dans la ville. Aussi, plus de trente mille personnes se pres saient-elles le soir l'endroit indiqué. A sept heures, une centaine de voix entonnèrent l'hymne que le peuple en masse répéta en chœur et applau dit aux cris de Vive Pie IX! Vive Charles-Al bert! Mais d'autres cris succédèrent bientôt ceux-ci, et la foule prit le chemin de l'hôtel de l'ambassadeur d'Autriche. Vive l'indépendance de l'Italie! A bas les Autrichiens! Mort aux Autrichiens Ainsi criaient quelques centaines de jeunes gens, lorsque tout coup un grand nombre de carabiniers se portèrent leur rencontre et leur barrèrent le passage. 11 y eut sur ce point un com mencement de lutte, arrêtée bientôt par la vigueur de la répression. Une vingtaine de personnes arrê tées, parmi lesquelles se trouvait un avocat ont été aussitôt mises en prison pour être relâchées le lendemain. Lelendemain,la villerepritson calme ordinaire; cependant, après la grande revue des troupes, sur la place du château,un conflit déplorables'engagea entre les soldats et les artilleurs; plusieurs hommes des deux côtés sont restés morts sur le champ de bataille; une femme, cause première, dit-on, de cet épouvantable événement, a eu le corps traversé d'un coup de sabre; elle est morte immédiatement. Dans ce moment, l'ordre civil et militaire est rétabli. Dans la première séance de la Chambre haute, le prince de Wrede a protesté contre l'admission du comte de Reisach évêque de Munichattendu que ce prélat, ayant fait ses études au collège ger manique Romeappartient l'ordre des jésuites. S'appuyant sur les résolutions de la Chambre de l'année dernière, le prince a demandé que, l'ordre des jésuites étant défendu en Bavière, l'archevêque déclarât, avant son admission dans la Chambre, qu'il n'était pas membre de cet ordre. La Chambre n'a pas partagé l'opinion du prince, elle a déclaré n'avoir point examiner cette ques tion. L'admission du prélat a été résolue. L'arche vêque a déclaré alors qu'il n'appartient point l'ordre des jésuites, ce qui résultait d'ailleurs de ce que les membres de cet ordre ne pouvant être revêtus d'aucune dignité ecclésiastique, son entrée dans cet ordre lui eût rendu impossible l'acceptation des fonctions épiscopales. Des lettres de Wurtzbourg assurent que le Souverain Pontife a adressé au Roi de Bavière une lettre autographe au sujet des scandales de sa vie privée. Sa Sainteté aurait exprimé en termes tou chants ce prince la profonde douleur qu'elle en ressent. GRAMMONT, le 11 Octobre. La baisse s'est soutenue sur notre marché de ce jour. Elle a été de ^5 c. sur le froment, de i5 c. sur le seigle et de 5o c. sur le mélail. Les pommes de terre valaient fr. 6-a5. LO13VAIN, le 11 Octobre. Le marché était aujourd'hui assez bien approvisionné. La vente a été peu active, le fro ment et le seigle ont été écoulés en baisse. ANVERS, le 11 Octobre. Le marché de ce jour n'a pré senté aucuue affaire notable. 11 y a calme pour la généralité des principaux articles. Les céréales sont également station nai re. MARCHÉ DE TEHJIOADE. Du n Octobre 1847. HUILES (l'aime de 120 pots ou 137 litres 2/5, ou au poids lixé de 128 pour Lin, 127 pour Chauvre et 126 pour Colza.) Huile de Lin, comptantfl. 49 0/0 5o 0/0. de Chanvre 5o 0/0 5o 172. de Colza 55 ojo 55 1/2. Tourteaux de Lin par 1,215 kilos 148 154. de Chanvre a 120 121. de Colta 130 00. Graine de Lin, l'hectolitre 11 ojo 12 ij\m de Chanvre8 3/4 0 ojo de Collav3 173 14 ,?7. de Navette12 17a oo 070. Sarrasin8 070 9 070. Froment indigène par sac de Termonde, 17 070 19 070. ®e'g'e 9 070 10 172. Froment étranger, 80 kilos11 0.0 i3 172. Seigle, 70 8 070 o ojo. 0rge8 174 8 070. Avoine, 100 kilos/r. 32 00 00 00. MIAISTERIE TAN FIN AÏITIEN. ©i©T (UJ H K der RÉGISTRATIE, DOME1NEN EN BOSSCHEN. jOirrrtte uan {Ucstolacnkrfn. Op de hier na aengewezen dagen, respectievelyk te beginnen ten negen uren des voor middags, zal er overgegaen wordeu lot de openbaere Ver- kooping van uitgeroeide STRU1KEN (blokken) als 00k van eenige BUSSCHEN en ander HOUT, in koopen verdeelt in den domanialen Bosch vau Houthulst, le weten DINGSDAG 26°" OCTOBER 1847,raen zal be ginnen aen het Meunenken, langst de Potie dreef, van daer in den Haendenest onder Mercketn; in Boutens Vyver aen de Groendreef; in de Oosta- verne aldaer, van daer in de Melaene, Elzenkamer onder Merckem, en in Verlorengoed Veld eu Mostebedenen onder Clerckeu. WOENSDAG 2y" OCTOBER i847,men zal beginnen op Schravenseeke Hoogte onder Staden, van daer in het Gebrand langst de Schaepbaillie clreef ora te eindigen in de Braentbeke agter het Meunenken. De Verkooping zal geschieden met gereed geld en onder de voorwaerden berustende by den Ins pecteur der Wateren en Bosschen te Yperen. 1PEBE1V, October «842. COej .1tUpec tenir, 7i.1T &?.i73. Vu et approuvé par le Directeur de l'Enré- gistrementdes Domaines et des Forêts de la Flandre Occidentale soussigné A BlllGES, le U Ootohre 1842. Pour le Directeur susdit De Generale Associatie voor de aenmoedigiog van den Militairen dienst te Brussel opgerigt onder de bescherming van Z. M. den Koning, en Waer van de agenten zyn De heeren Joos- Verschaeve, gemeente secre- taris tôt Ypre, Inghels de Thilly tôt Brugge, Mestdaghgemeente secret5 tôt Isegbem Paret, agent van affairens tôt Dixmude, Morael, avoué tôt Veurnen Hamman, gemeente ontvanger tôt Ostende, Vandenberg, gemeente secretaris lot Thieltontvangt by voorlduring de inschryvingen in de kas van voorzienigheid of assurantie voor de jongelingen die toi den Militairen dienst der niili- tie knnnen geroepen tvorden. Gemelde Associatie steid 00k plaetsvervangers by de iriilitie, voor de militiens die tôt den dienst goedgekeurd zyn, dit op de voorwaerden welke bovengenoemde agenten aen de belanghebbende zulleu mede deelen. (27) Ypres, Imprimerie-Librairie de Boire I.ainbin-Morlier, éditeur-propriétaire, rue de Lille, 10, prés la Grand Place.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1847 | | pagina 4