"a.2t2tosiqa9r GROND EN IIOVINGE, OPENBAERLYK TE KOOPEN, VERKOOPING ZWAERE BOOMEN VGORMEZEELE, demain. Discussion du projet relatif au contingent de l'ar mée pour 1848. M. Osy est décidé faire tout ce qui dépeudra de lui pour obtenir des économies sur le budget de la guerre. C'est là son unique but; il ne veut pas faire une opposition personnelle au ministre actuel de la guerre qu'il reeounait jour bou administrateur. L'honorable membre de- maude la révision de la loi sur l'organisation de l'armée et la réduction du contingent 60,000 hommes. Le ministre de la guerre ne peut pteudre l'engagement de proposer la révision de la loi encore récente sur l'organisatiou militaire. 11 faut attendre qu'elle ait complètement fonctionné |>our savoir s'il y a lieu de la réviser. Quaut la force de l'armée, elle est réduite sa plus simple expression, la réduire eucore, ce serait l'énerver. M. Del fosse partage les vues de M. 0>y relati vement la réduction de l'armée j il croit celte réduction dans le vœu du pays, surtout depuis que le gouvernement a cru devoir demander de nouveaux impôts. MM. De Decher, Delà CostePirson. De Garciafout eutendre encore quelques paioles, les deux derniers pour démontrer riuopportuuité et le dauger de la lévision, en ce moment, de la loi organique militaire. MDe Mrode en répondant M. Deltosse qui avait dit que si ou n'était venu demander de nouveaux impôts on se serait peut-être abstenu de demauder la diminution de l'armée, fait remarquer qu'il n'est pas certain qu'il faille ces nouveaux impôts. M. Coyels votera la loi actuelle tout en fesaut ses léserves pour la discussion du budget de la guerre. Plusieurs orateurs disent encore mots et le projet de loi fixant le contingent de l'armée pour 1848 au maximum de 70,000 hommes est adopté par 7a voix coutre 7. (Out voté coutre, MM. Castiau, David, De Clippele, De Meester, Eloy de Burdiuue, Osy et Bricour. jçéancc du il Décembre. (Présidence de 11. Lledts.) 11 est fait hommage la Chambre i° par M. Jobard, de 110 exemplaires d'un nouveau projet de loi sur les brevets d'invention, rédigé a la demande du ministère de l'intérieur; u° par la Confédération des Notaires eu Belgique, de i!\5 exemplaires d'un recueil contenant le texte de la loi du î5 Ventôse au XI, les motifs de ce texte, les discussions auxquelles il a donné lieu et les modifications proposées Distribution aux membres et dépôt la bibliothèque. La Chambre entend la lecture de quelques rapports sur diverses pétitions et se forme ensuite en comité secret pour la discussion de son budget. Ordre du jour de lundi: discussion du budget de l'iuléiieur. Séance du 19 Décembre. (Présidence de VI. Lledts.) Des habitants des communes de Champion, Renueville Ren- deue, Reausaiut, Marcourl, Hodister, et des membres des administrations communales de Fay, Vauxchavanue et Erezée adressent des pétitions jkjut prier la Chambre de rejeter le projet de loi relatif au droit de succession et toute augmenta tion de dépenses ou d'impôt qui lui serait proposée. Renvoi la seoliou centrale chargée de l'examen du projet de loi sur les successions. Les sieurs Fievel, Verherslraeteu et Lesenne, membres dirigeants de la société agricole et des lions ouvriers, établie S1 Sauveur, ayaut pour but de venir au seepurs des indigents en les formant au travail et d'extirper la mendicité, exposent la Chambre leur manière d'agir et leurs intentions et demandent l'appui et les secours des Chambres et du Gouver nement. Sur ja proposition de MM. Rodenbac.h et Lejeune celte pétition est renvoyée la section centrale qui a examiné le projet sur les dépôts de mendicité. Discussion du bud get de l'iulérieur. M. Eloy de Burdinne demande qu'on porte 5oo,ooo fr. le crédit pour la voierie vicinale. M. De Garcia désirerait que le cabinet donnât des explications sur les motifsqui l'ont diiigé dans les destitutions des fonction naires et eu particulier dans celle de l'honorable gouverneur de Nainur un des hommes qui ont rendu le plus de services notre indépendance. Le ministre de l'intérieur soutient qu'à cet égard le gouvernement usé de sou droit dans de justes limites, non pour des motifs personnels, mais par des nécessi tés politiques. MDe MèrodeJusqu'ici on avait considéré les fonctionnaires comme appartenant au gouveinemeut et non point comme les séides de telle ou telle politique. Puis qu'il n'en est plus ainsi avec le nouveau ministère, c'est un système nouveau sur lequel ou doit des explications. M D'I/uart ne veut pas se poser en victime, il prie la Chambre de s'occuper d'à flaires plus importantes que de sa position personnelle. Cependant comme il a été l'objet d'insinuations malveillantes, il croit devoir demander M. le ministre de l'intérieur l'iuserliou dans le Moniteur, de la correspondance qu'il a eu avec lui, pour qu'amis et ennemis puissent le juger. Le ministre de Cintérieur ne peut poser uu tel précédeut mais il engage l'honorable piéopinant publier lui-même cette correspondance. M. D'/Iuart suivra l'avis donné par le ministre. MM. Deman <TAtienrode et Orban insistent pour l insertion de cette correspondance daus le 31oniteur. M. VJJuart engage les honorables membres ne pas insister sur ^e poiut. M. Orban demande quelle est la position deg fonctionnaires qui font partie de la Chambre et fait remarquer les inconséquences de la politique destitutiounelle du cabinet. Ee ministère tout en ayant la prétention de sanctionner le sy.-tème que les électeurs avaient fait prévaloir au 8 juin a destitué des fonctionnaires élus membre de cette Chambre, et eû a nommé d'autres qui avaient été repoussés par les élec teurs. Le ministre de l'intérieur déclare que les fonctions de gouverneurs et des commissaires d'arrondissement sont avant fout des fonctions politiques, et que les procureurs du Roi sont jusqu'à un certain poiut dans le même cas. Quant aux fonctionuairt-s qui font partie de la Chambre et n'approuvent P&s la politique du cabinet, ils se trouvent dans une fausse position. M De Theux trouve que d'apiès les déclarations successives des ministères précédents, les fonctionnaires, membres des Chambres, ne peuvent être recherchés pour leurs vertes parlementai! es ceux étrangers aux Chambres ne peu veut l'être pour leurs opinions politiques moins qu'ils ne les tra duisent en actes hostiles au gouvernement. Après quelques paroles de MM. De Mèrode et Orban la discussion générale est close et la séance est levée. DENRÉES ALIMENTAIRES. MOUVEM*COMMERCIAL. Du 5 au 10 décembre, il est entré au port d'Anvers, cinq navires chargés en totalité ou en partie de denrées alimentaires. Les importations effectuées se sont élevées i,ii3,75o kilog. froment; 6,too kilog. fèves; 870 kilog farines, et 544,900 kilog. riz. Les diverses céréales en entrepôt au 5 décembre présentaient une quantité de 17 millions 99,576 kilog.; lesquanlitésentreposéesont été de 44o,823 kilog. il est sorti pour la consommation 863,7o3 kilog. pour le transit, néant. De sorte que le res tant en entrepôt était, au 10 décembre, de 18 mil lions 666,696 kilogrammes. BOURSE DE BRUXELLES DU ti DÉCEMBRE 18i7. Eu»pl 5 °jo i3jo. .98 A. id. 5 °]o i8j^. 98 3/8 P. id. 4 9a» id. 3 0/0 838. 67 1 p A. id. 1 1/2 i844* 5o 7/8 P. FRANCE. Paris, 11 décembre. M. le prince de Joinville prépare, dit-on, en ce moment un travail sur la marine qu'il se propose de lire la Chambre des Pairs. Il paraît bien positif qu'Abd-el-Kader a fait sa soumission, non pas la France, mais 'a l'Empe reur de Maroc, et qu'il consent a se laisser interner dans les environs de Fez. Si cette nouvelle se con firme, il faut n'y voir qu'une nouvelle feinte de l'Emir. 11 profitera de sa retraite pour nouer de nouvelles relations dans un pays où il compte autant de partisans que le souverain lni-mème et reparaîtra certainement un beau jour plus fort que jamais. ANGLETERRE. Londres, 11 décembre. La Banque de Nevvcastle va reprendre ses opé rations en doublant son capital social au moyen d'une nouvelle éinissiou d'actions. L'ordre est arrivé Woolwich d'augmenter de onze le nombre des compagnies d'artillerie, ce qui portera chaque bataillon dix compagnies, comme aux époques de guerre. En outre, dès que les cadres le permettront, un nouveau bataillon sera organisé. Les lettres particulières de Liverpool annon cent la faillite dans celte ville de la maison Blaiu et fils, marchands de grains. Le steamer de la marine française le Comte d'Eu, après avoir lutté contre le gros temps pen dant plusieurs jours et avoir reçu de fortes avaries, est arrivé hier en sûreté a Deal. 11 doit être conduit a Ramsgate pour se radouber. NOUVELLES DE SUISSE. La Suisse annonce que M. Siegwart-Muller est arrivé a Donrodossala (Piémont). Sir Stratfort Canning est passé le 7, h dix heures, a Neuchâtel, se rendant Berne. La Nouvelle Gazette de Zurich assure de son côté que M. de Salis, commandant des troupes de Lucerne et le prince de Schwartzenberg, qui était allé comme volontaire offrir ses services'ace canton, sont arrivés a Milan. Les lettres de Berne, en date du 9, annoncent que la note de la Prusse est parvenue au président de la Diète. C'est, disent ces lettres, la reproduction textuelle de la note de la France. On mande de Neuchâtelle 9 décembre, au Conservateur Le canton de Neuchâtel est le seul qui donne encore quelque inquiétude au radicalisme triom phant. Aussi est-ce en lui que tous les conserva teurs semblent concentrer leurs espérances, quand de leur côté les révolutionnaires tournent contre lui toutes leurs fureurs. Chaque jour, les feuilles radi cales signalent notre gouvernement aux passions subversives excitées par les derniers événements, et cherchent, en inventant des crimes absurdes qu'ils lui prêtent, soulever contre lui la popu lation de notre canton. ITALIE. Les nouvelles du royaume deNaples sont graves. La Sicile est en feu. On a proclamé dans toute l'île la Constitution de 1812, garantie a cette épo que par l'Angleterre. LA MINERVE, l'un des plus anciens établisse ments d'Assurances mutuelles sur la vie, autorisé par ordonnance du Roi des Français, qui compte déjà près de quarante mille souscripteurs, demande des représentants de tous grades dans la Belgique. S'adresser directement la Direction spéciale de la Minerve, 353, rue S' Honoré, a Paris. EEN SCHOON MET DES ZELFS GELEGEN TE PÛIUD&PPILLI, ALD.1ER IN 1" Z1TDAG. Op DONDERDAG, 23e" DECEMBER, 847, ten 2 uren naer middagter lierberg bewoond by Pieter Markey, ter plaelse van POEL- CAPPELLE, gemeenle Langhemarck, zal er door den Notaris LAMBIN, te Ypren reside- rendegeprocedeerd w or den lot de openbare Verkoopingin een en ztTD ag van Een schoon onlangs nieuw gebouwen HUYS met groule Iiemise, en andere gerievelykheden, en den nomber van 2 aren 77 cenliaren G rond en medegaende Hovinge, slaende en gelegen ter plaelse van POELCAPPELLEpalende oust aen het liuys en erve van Augustin Ferrez, zuyd aen M. den graej de Diesbach, west het huys en erve van Augustin Clarebout, de doorne liage met gewoon vrydom hier medegaende noord de calchiede van Ypren naer Brugge. Laetsl bewoond by Joseph Vandamme, nu ledig om in reel gebruyk te komen met de geld- telling. 1 VOOR PREMIE IIOOGSTEN INSTEL. De condilien berusten ten kanlore van den zelven Notaris LAMBIN. (1) Elk zegge het voorts. VANSCHOONE EN TE ©lin! y© Y H ©l E L©Ha Op WOENSDAG 29'» DECEMBER i847 ten 12 uren 's middagszal men openbaerlyk Verkoopen 66 koopen BOOMEN meest al Ca- nadan; Wilgen en 1 Eike van 2 m' 16 c' dikte, dienstig tôt timmer, wagenmakers en andere wer- ken, staende ter hofstede gebruikt door de we- duwe van sieur Six-TaJJîn, by het gehugte S' Eloi, nevens den steenweg van Yper naer Meessen, dus gemakkelyk voor den transport. De Verkooping zal gebeuren met redelyken tyd van betalinge behoudens stellende goede borge en onder andere conditien dau voor te houden. (1) Elk zegge het voorts.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1847 | | pagina 3