Tiens immeubles
CIMIBRE l)E COMMERCE
D'YPRES ET DE DIXMUDE.
VERJDRE.
3
ANGLETERRE. Londres, 19 février.
ESPAGNE. Madrid, 15 février.
SUISSE.
ITALIE.
Studie van den Notaris TZ.1T 22322
TE YPEREN.
ARRONDISSEMENTS
Bixschote.
Boesinghe.
Brielen.
Dickebusch.
Elverdinghe.
Glieluveldl.
Kemmel.
Langemarck.
S' Jean.
Vlamertinghe.
Voormezeele.
Wytscliacte.
Zillebcke.
Zonnebeke.
et
Zugdschote.
COMMUNES
D'EGGEWAERTSCAPPELLE ET AYECAP-
PELLE,
(Arrondissement de Furnes.)
COMMUNE
D'EGGEWAERTSCAPPELLE.
COMMUNE DE BULSCAMP.
Trois membres de la Chambre des Pairs se ren
dront au banquet ce sont MM. le duc d'Harcourt,
d'Alton-Shée et de Boissy.
Le bruit courait le 20 au matin qu'une lettre
de Naples annonçait que le Roi Ferdinand avait été
poignardé par un des officiers de sa maison.
Jamais, écrit-on des Basses-Alpes, les loups
ne s'étaient montrés, comme celle année, affamés et
menaçants. Dans la nuit du 20 au 21 janvier, trois
jeunes gens, se rendant de Riez b Digne, furent
assaillis, sur la plaine de Puimoisson, par quatre de
ces animaux, et u'eurent d'autre parti b prendre
que de se réfugier sur les amandiers qui bordent la
route. I^es loups se postèrent au pied de ces arbres,
attendant patiemment l'issue de leur attaque, et
insensibles aux cris, aux menaces et aux projectiles
lancés contre eux. La diligence de Marseille arriva
environ une heure après en ce lieu, et le postillon,
trompé par l'obscurité, crut reconnaître au loin
quatre hommes postés sur la route. Son erreur ne
fut pas de longue durée les voyageurs avertis
poussèrent des cris et lancèrent des alumettes
enflammées contre les loups. Tous leurs eflorts
n'aboutirent qu'à écarter momentanément ces qua
drupèdes, qui revinrent se placer au pied des arbres.
Enfin, après une nuit d'angoisse et de terreur, les
trois jeunes gens, transis de froid, purent quitter
leur demeure aérienne, les loups ayant gagné le
large b l'apparition du jour.
Il y a eu lundi conseil des Ministres. M. De-
lessert, préfet de police, M. le baron Pasquier, M.
le duc Decazes, ainsi que plusieurs députés, ont été
appelés b ce conseil. Le commandant de la place de
Paris a été appelé chez M. Ducbâtel.
On disait le 21 en haut lieu que le ministère
donnerait sa démission anssitot après le banquet
terminé, ce qui fait que tout le monde compte sur
des élections générales, imminentes et prochaines.
Une inquiétude très-réelle règne dans Paris.
Toutes les affaires sont suspendues. Beaucoup d'é
trangers désertent la capitale,et la meilleure preuve
en est dans ce fait que, depuis quelques jours, le
prix de l'or a haussé de trois Jrancs.
Les journaux des départements qui nous par
viennent chaque jour attestant que l'émotion est
générale en France.
Rouen se fera représenter par plusieurs officiers
de la garde nationale; Orléans veut prendre part
aussi au banquet Arras envoie 1111 chef de bataillon
et d'autres officiers; le commandant de l'artillerie
de la garde nationale de Metz est arrivé b Paris pour
se joindre au cortège.
Les gardes nationaux de Montmartre, de Belle-
ville, de Vaugirard, de Sceaux, de S1 Denis, de S'-
Germain, de Bercy, etc., etc., de toute la banlieue
de Paris enfin, ont déjà fait connaître leur intention
de prêter un concours pacifique b cette grande dé
monstration.
Paris compte ouze députés parmi les 95 qui ont
accepté immédiatement l'invitation de prendre part
aune manifestation éclatante. (National.)
La Reine, le prince Albert, le prince de Galles
et le duc et la duchesse de Saxe-Cobourg-Gotha
sont allés hier b Clareraont.
On lit dans une correspondance particulière
adressée de Paris au Timesque le duc de Nemours,
consulté ces jours derniers sur le parti que le gou
vernement devait prendre dans les circonstances
difficiles où il se trouve engagé, aurait fortement
insisté pour la dissolution de la Chambre et l'appel
au pays.
On lit dans le Clamor Publico que des bruits
de crise ministérielle continuent b circuler, et que
d après ces bruits, le duc de Valence cesserait de
faire partie du cabinet.
Les journaux suisses nous révèlent aujourd'hui
un fait sur lequel ils avaient cru d'abord devoir se
taire, dans la séance de la Diète du i5. Il paraît
que, dans cette séance, le général Dufour, auquel
MM. les radicaux voulaient, il y a quelques se
maines, élever une statue, a donné sa démission.
Sa demande a été accueillie par la Diète.
L'adoption par la Diète suisse de projet ré
digé par M. Ferrer, en réponses la Dote collective
des trois puissances, est un fait important. La
Suisse paraît vouloir maintenir par des actes comme
par des paroles son droit de modifier b son gré le
Pacte constitutif. Une commission nommée pour
s'occuper de celte révision a déjà commencé son
travail, nonobstant l'opposition de trois cantons.
Si les puissances signataires de la note maintien
nent ce qu'elles ont dit, qu'elles ne reconnaîtraient
les modifications introduites qu'autant que ces mo
difications seraient votées'a l'unanimitédescanlons,
il y a dans la résolution de la Diète le germe de
graves complications.
On n'a pas oublié le décret d'amnistie du
grand conseil de Fribourg voici qu'à son tour le
grand conseil de Lncerne vient nous fournir un
nouvel échantillon de ce qui peut être une amnistie
radicale.
Sont exceptés de l'amnistie: i° Tons les membres
de l'ancien grand conseil 2° les membres du con
seil d'Etat 5° les corporations religieuses; 4° les
curés qui ont travaillé pour l'appel des Jésuites ou
pour le Sonderbund 5* tous les fonctionnaires, les
membres du comité central et même des comités
locaux de l'assooiation catholique qui ont,en 1 847,
signé et provoqué l'Adresse du peuple en faveur
du Sonderbund 6 toutes les personnes qui ont
travaillé, en i844, pour l'appel des Jésuites, ou
depuis pour le Sonderbund, d'upe manière effec
tive 70 enfin toutes les personnes qui continue
ront l'opposition dans ce sens et qui impêchent ou
retardeut la pacification du canton.
C'est, on en conviendra, un singulier décret
d'amnistie que celui qui excepte précisément tous
ceux qui pourraient en profiter.
On lit dans le Journal des Débals
Nous avons reçu aujourd'hui de nombreuses
lettres de l'Italie méridionale; nous nous bornerons
b en extraire les faits principaux.
La Constitution a été promulguée b Naples;
elle a paru le 11 février dans le journal officiel de
Naples, et a été accueillie avec enthousiasme par la
population.
D'après ce qu'on nous écrit, les négociations
avec la Sicile se poursuivent activement, et il y a
lieu d'espérer qu'elles aboutirent b un heureux ré
sultat. Il paraîtrait que certaines villes considérables
de la Sicile auraient manifesté l'intention de s'en
tendre avec le gouvernement napolitain, sans pous
ser les choses b l'extrême, comme on avait voulu le
faire b Païenne.
S'il faut en croire le Corriére Mercantile de
Gênes, le bruit aurait couru dans cette ville qu'une
estafette arrivé de Turin y aurait apporté un traité
d'alliance entre la France, l'Angleterre et le Pié
mont.
Il n'est rien passé d'important b Naples depuis
la publication de la Constitution. Une trêve a été
consentie a Messine entre les troupes royales et la
population. Plusieurs autres villes considérables de
la Sicile ont également manifesté l'inteotion de se
rapprocher du gouvernement napolitain. Les négo
ciations se poursuivaient activement au départ de la
Fille de Marseille, et il y avait lieu d'espérer
qu'elles aboutirent b un heureux.
L'Ila/icu annonce qu'un agent diplomatique
des Etats-Unis est arrivé b Rome le 2 février
chargé de concerter les bases de l'établissement
d'une légation nord-américaine près le Saint-Siège.
'M
HT S «2L 26'" FEBRUARY EN
CT2P.SIiZ.3- li6" MAERTE 1848,
lellens len 4 uren naer middagin het Zweerd
te Yperen; Vameen HUIS en ERVE
te Yperen ter noordzyde van de Oude Houl-
marktN" 27gebruikt door S' Désiré Pilgrem
fr3 216-00 by jaere. (2)
DES
La Chambre a l'honneur d'informer les in
dustriels de son ressort, qu'aux termes de l'ar
ticle 1" de la loi du 24 décembre 1847, les
lettres simples dont le lieu d'origine et celui de
destination sont desservis par le même Bureau
de Poste, soit de perception soit de destination,
ne devant être taxées que du port d'un dé
cime, les Communes formant le Canton Postal
du Bureau d'ïpres, sont celles dont les noms
suivent:
ÏPRKN le tl février ISI».
Ce jJrcsibrnt île In Cl)itmbrr.
(1) Signé J.-B'" VANDEN PEEREBOOM.
Bv Mr POUPART-VIENNE, Notaris ter resi-
dentie van Zonnebeke, is er Geld in leening te
bekoomen mits goed bezet.
Le MERCREDI 1" MARS t848,b 2 heures
de relevée, au cabarêt portant pour enseigne les
Trois Tambours (Dry Trommels), tenu par le
sieur F'élix Schottey, sis en la ville de Furnes,
Vieux Marché au Bois, il sera procédé b Y AD
JUDICATION DÉFINITIVE des Biens Im
meubles suivants.
i° Une FERME amassée contenant i4
hectares 28 ares 16 centiares, consistant en
Verger, Pâtures et Terres b Labour, tenant de
l'ouest au chemin vicinal dit Oude Zee-Dyk-
straet, conduisant d'Avecappelle a Zoutenaye,
b environ un kilomètre sud-est de l'Eglise du
dit Avecappelle.
20 Une PATURE GRASSE contenant 5
hectares 76 ares 75 centiares, située au sud-
est de l'assiette des bâtimens de la Ferme susdite.
3° Un PRÉ de la superficie de 62 ares
5i centiares, situé au nord-ouest de l'Église,
près le Canal d'Enceinte ou Ringslot des Moëres.
Ces divers Biens, ensemble de la contenance
de 18 hectares 66 ares 42 centiares, occupés
par le sieur Charles-Louis Declercq, l'un
des co-propriéiairesjusqu'au 1" Octobre 184.8,
moyennant 1,2 36 francs 4o centimes par an,
outre l'impôt, seront exposés en plusieurs lots
et en niasse, par le ministère de M" CUVELIER,
Notaire, a Furnes.
Pour avoir des renseigneiuenss'adresser soit
au dit Notaire, soit a M" FEYS, Notaire, a
Haringhe. (2)