MOBILIER, TE PACHTEN EEN HERBERG DE STAD YPREN, D'UN BEAU ET GRAND BERJGT. namon tissa* TE POPERINGHE. HET KLEYN STADHUYS, OP DE GROOTE .MARKT TE YPEREN. STUDIE VAN DEN NOTARIS LAMBIN, laroiïi m mm OPENBAERLYK TE KOOPElN. LENTE MARKT. ien Koop. Eeu schoon groot HUYS met des zelfs GROND en ERVE, ruyrae Kelders, zeer groote Zolders, mitsgaders Koetspoort ko- mende in het beluyk genaemd het Schotje of Schotland; staende en gelegen te Ypren aen de weslzyde van de Leet of Lente-Marktnu ge- teekend N° 11. IN HET SCIIOTJEN. ©ES TEE3U Chirurgien-Oculiste. p>©yis ©aysi e>i BÉ©fe§, A MEUVE-ÉGLISE. Dans les de'partemenis, c'est le parti légiti miste qui semble faire d'immenses progrès. Plu sieurs de ses candidats ont encore été e'ius aux dernières élections. M. Goudcbaux, ministre des finances, frappé enfin de l'insuffisance des moyens ordinaires pour remédier l'affreuse pénurie de l'agriculture et du commerce, saisira, dit-on, prochainement l'Assem blée d'un décret relatif a l'organisation du crédit foncier et industriel. Le Journal, qui passe pour recevoir les in spirations du président du conseil, apprécie eu ces termes le banquet du 22 septembre Nous ri avons rien dire contre ce dîner, sinon c/uil s'est terminé par un discours un peu trop vif de M. Ledru-Rollin. Nous n'aimons pas, même au dessert, le style des circulaires. M. Molé a dîné hier chez M. A. Marrast président de la Chambre des représentants. On se rappelle que c'est M. Molé qui a rendu l'amnistie en vertu de laquelle M. Marrast condammé politi que est rentré en France. Le procureur de la République a interjeté appel manirna du jugement qui condamne M. Doulcel de Pontecoulaut a 5oo fr. d'amende, pour détournement de papiers dont il était dépositaire. Cette affaire sera portée devant la cour dans la première quinzaine du mois prochain. On écrit de Bourgueil au Journal de Maine- et-Loire Il vient de se passer sur les bors de la Loire, dans le Jardin de la France, Chouzé, un fait horrible qui montre tout la fois en quel état de sauvage barbarie vivent encore certaines popula tions, et quelles colères profondes ont enfantées ces agitations incessantes de Paris, auxquelles est venue mettre le comble l'insurrection communiste de juin. Un homme d'assez mauvaise mine, parlant mal le français, traversait Chouzé l'un des jours de la semaine dernière. Son aspect jette la défiance; on le prend pour un insurgé de juin on l'entoure, on le menace; il tire son passeport, qui constate qu'il est Polonais; il cherches'expliquer; on ne l'écoute pas dix douze hommes se précipitent sur lui, le renversent, lui lient les mains et les pieds, le sus pendent une potence élevée, et, le laissant retom ber comme le billot destiné enfoncer les pilotis, lui infligent, pendant une demi-heure, a grand renfort de vociférations fort peu républicaines, le supplice de l'estrapade. Ce n'est pas tout: les femmes surviennent, lut crachent au visage, le frappent, lui arrachent les cheveux et la longue barbe qu'il portait et de cette barbe et des cheveux, pétris dans uu pot de pom made que le malheureux avait dans sa poche, font une boullie affreuse qu'elles lui enfoncent dans la gorge et le forcent d'avaler. L'autorité arrive enfin, mais trop tard, et ce n'est plus qu'un corps inanimé qu'on arrache aux mains de ces furieux, pour le porter l'hôpital de Chouzé, où le Polonais expire immédiatement. Paris, 25 septembre. Le National annonce l'arrivée a Paris de M. Louis Bonaparte. D'un autre côté, on lit dans le Journal que M. Louis Bonaparte a fait retenir pour aujourd'hui un train spécial de Boulogne a Paris. Le voyageur arriverait de Londres a Bou logne, et quitterait cette ville assez tôt pour venir assister a la séance. On dit enfin que M. Louis Bonaparte est des cendu chez M. De Menneval, rue Blanche. On annonce que quatre frégates a vapeur portant 4,000 soldats français sont arrivées a Ve nise. {National.) Nous devons dire qu'à l'Assembléecet après- midi, un ministre, ancien rédacteur du National traitait cette nouvelle d'affreux canard. (Sic.) L'Événement publie aujourd'hui, en faveur de Louis Bonaparte, le premier article qu'ait ob tenu le prétendant dans la presse parisienne, de puis le 26 juin. Le même article est très-vert l'endroit de M. le général Cavaignac; un des crimes que l'Évé nement reproche celui qu'il appelle le colonel c'est d'avoir désavoué Lamartine et indigné Vic tor Hugo. STUDIE VAN DEN NOTARIS Tl.lT2aiT2CCC-1.2?.r3, VRYDAG 20» OC.TOBER 1848ten 3 neren nae middag, in d'afspanning den Gouden Appel, te Poperinghe, zal den Notaris VANDENBOO- GAER.DE, resideerende binnen de zelve stad Poperinghe, procedeeren lot de DËFINITIVE TOEIVY ZING van eene Behuisde en Beplante HOFSTEDE te Watou, digt aen de Cappelle- straet, groot 4 hectaren 5o aren (to G. o L. 10 R.) gebruikt door sieur Joannes Billiaert tôt ieu Oclober 1854, aen 272 francs by jaere. 1 GENAEMD TE YPREN. BINNEN AFHANGENDE VAN DE BANKBREUK VAN BRUNO DE BOUCK, ALDAER Bewoond door gezegden De Bouck. Orn door den kooper in reel gebruyk te treden met den dag der définitive toewyzing. Dit Huys door zyne groote en zeer voordeelige gelegenheydis geschikt tôt het uytoefenen van allen koophandel en bedryven. 2,n Koop. Een HUY'SJE, houdende vvest aen het voorgaende, geteekend N° 1, palende zuyd aen de Koetspoort van den i,B Koop. Gebruykt een deel door Jan Bagin, en een deel door Fidelis Gryson elk aen 4 francs te maende. P. VOOR TREMIE VAN HOOGSTEN INSTEL. JNSTEL, den 5e" OCTOBER i843, en FINALE TOEIVYZING den 19" der zelfde maend, in de estaminet den Gouden Arend op de Groote-Markt te Y'pren, telkens ten 5 uren des naer middegs. (1) Dat men het voorts zegge. «- M. IIENRl VAN LERBERGHE, On peut le consulter tous les Samedis a Ypres, hôtel de la Tète d'Or rue de Lille, les autres jours a Courtrai place de la Station du Che min de Fer N° 2. Les pauvres sur la simple exhibition d'un certificat signé par un des mem bres du bureau de bienfaisance de la commune qu'ils habitent sont traités gratis. (79) MARDI 24 OCTOBRE 1848, et jours suivants, neuf heures du matin, il sera Vendu publi quement, en la maison mortuaire de Madame veuve de Monsieur le notaire Glorie, Neuve- Église, un très beau MOBILIERconsistant principalement en Secrétaires, Commodes, Garde- Robes, Armoires, Coffres, Bois de Lits, Tables a coulisses et autres en acajou et bois ordinaire, Chaises, Fauteuils, Pendules, Vases, Quinquets, Chandeliers, Glaces et Estampes encadrées; Objets de Table et de Cuisine en Porcelaine, Faïence, ÉtainCuivre, Fer et autres; Verres, Cristaux et Poêles; Lits de plumes, i4 Matelas, Traversins, Cous sins, Oreillers, Courte-Pointes, Tapis et Cou vertures; Une forte partie de Nappes, Serviettes, Ri deaux de croisée et de lit, Draps de lit et autres Linges. Les Literies et Linges seront vendus le troisième jour. Il sera accordé long terme de crédit pour les marché de 5 francs et au-dessus, moyennant cautions connues et solvables. Le Notaire VAN EECKE, h Neuve-Église, est chargé de la vente et de la recette. (1) Qu'on se le dise. De Generale Associatie voor de aenmoediging van den Militairen dienst te Brussel opgerigt, oiïder de bescherming van Z. M. deu Koning, en Waer van de agenten zyn De heeren Joos-Ferschaeve, gemeente secre- taris tôt Y'pre, Inghels de Thilly tôt Brugge, Mestdaghgemeente secret* tôt Iseghem Parel, agent van affairens tôt Dixmude, Morael, avoué tôt Veurnen Hamman, gemeente ontvanger tôt Ostende, Vandenherggemeente secretaris tôt Thielt, ontvangt by voortduring de inschryvingen in de kas van voorzienigheid of assurantie voor de jongelingen die tôt den Militairen dienst der mili- tie kunnen geroepen worden. Geinelde Associatie steid 00k plaetsvervangers by de militie, voor de mililiens die tôt den dienst goedgekeurd zyn, dit op de voorwaerden welke bovengenoemde agenten aen de belanghebbende zullen mede deelen. (67) M tHCIIK DE TEHVIOADE. Du l5 Septembre 1848. HUILES (l'aime de no pots ou 137 litres a;5,ou au poids fixi de 128 pour Lia, 127 pour Chauvre et 126 pour Colza eu hiver et 127 id. 126 id. 125 id. en été.) Huile de Lin, comptantfl. 45 i/4 45 i/2« de Chanvre 49 '?2 oo 0/0. de Colza 53 1/2 53 3/4* Tourteaux, de Lin par t,2i5 kilos116 118. de Chauvre 95 00. u de Colza 11 96 97» Graine de Lin, l'hectolitre9 1/2 10 171. de Chanvre8 0/0 8 178. de Colza11 172 12 0/0. de Lin Semer La tonne. 00 ojo 00 0/0. de Navette00 0/0 00 0/0. Froment indigène par sac de Termonde, i3 1/2 14 Seigle u 8 0/0 8 ij\» Froment étranger, 80 kilos9 0/0 10 Seigle, 70 5 1/2 6 0/0. Orge, par hectolitre4 3/4 5 0/0. Avoine, 100 kilosfr. 12 00 i3 00. Ypres, Imprimerie-Librairie de Désiré Lambin-Mortier, éditeur-propriétaire, rue de Lille, io, près la Grand Place.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1848 | | pagina 4