pitriDws RHUMES," HUEIURVEN HOFSTEDE HUIS COMPOSITION DU CONSEIL SCHOONE YPRE, BEIll'YSDE es DEPLANTE TE VLAMERTINGHE BI-NIYEN YPEREN. pour l'exercice de 1849. ALDAER OPENBAERLYK TE KOOPEN. I*® Koop. Een HUIS a/s nu len diensle van herberg, genaemcl le Pavillon Belge, met GROND en ERE F* grooten Cour en Acbler- gebautv daermedegaende gestaen en gelegen aen de westzyde (1er Ryssel-straet, N" 136. Gebruikt door sieur Francisons Lambin, meester timmerman. en waer aen den kooper zal mogen handslaen en in gebruikt komen met de beta/ing van den koopprys. 2*° Koop Drie aen een houdende HUIZE- KENSmet butine GROND EN en EREE- KENSEoorhoofdende vp bel Niettiv-kerk- straetje, geteekend N" 1, 4, en 6 palende noord aen bel voorgaende. 5e® Koop Een HUIS met dtszelfs GROND. genacmd den Zueteu naeui Jésu, aen de zuidzyde INSTEL PREMIE TE WINNEN. Ministre lui même. Madame de Montmorency veut faire don a la commune de Vlaniertinghe, en Flan dre de 80 mesures de bonnes terres, y compris un ancien château que la bienfaitrice convertirait 11 bospice et qui conviendrait parfaitement cette ouvelle destination. Conformément l'art. 84 de a loi communale, madame de Montmorency entend onstiiner une administration spéciale et réserver ses héritiers ou d'antres personnes qu'elle dé- igne, cinés ou bourgmestres, le droit de nommer es administrateurs de cette fondation. Rien de plus équitable qu'une clause pareille. Elle est toute au piofii des pauvres, et l'exigence de la donatiice est par faitement raisonnable; ainsi en juge l'opinion publique. Néanmoins M. le Mi nistre de la justice a une manière de voir tout antre. 11 oppose son veto administratif h la libéralité projetée, parce qu'elle doit être, suivant lui, faite ans condition aucune. Si le don n'est pas aban- onné la discrétion de l'administration civile des ieus des pauvres, il n'en veut pas En effet, les ureaux de bienfaisance, etc., ne sont pas institués our gérer les biens donnés aux pauvres, mais les ieus donnés aux pauvres existent tout exprès pour u'il y ait des bureaux de bienfaisancedes ad ministrations des hospices, etc. Par conséquent, dès qu'un don lie doit pas passer par les mains de .ceux-ci, il vaut mieux que le don soit repoussé, sauf aux pauvres b mourir de froid et de faim a la belle étoile ou dans leur chaumière quand ils en ont une. Tel est l'esprit des lois sur la bienfaisance pu blique comme les interprète M. le Ministre de la justice. L'honneur lui eu revieut si bien lui seul, que ce sera l'acte le plus mniquant de sa carrière ministérielle. Les débats qui ont eu lieu eu 1 847 ont marqué son initiative dans cette voie. Le refus du don magnifique offert une pauvre et popu leuse commune flamande, privée d'hôpital jusqu'à présent, est le corollaire de ce système nouveau. Nouveau, en effet! Car, sous l'empire de la même .législation, alors que M .Lebeau était Ministre de la justice, les libéralités faites sous les mêmes con ditions étaient acceuillis avec empressement. Il est digue de remarque que le modèle d'acte de dona tion fourni par le conseil de M"" de Montmorency a été puisé dans les rétroactes. On a copié textuel lement un acte de donation fait par un ancien séna teur M. de Coninck, b la communcde Wylschaete, approuvé par le gouvernement sous le ministère de M. Lebeau. 11 est vrai qu'en donnant sa sanction b cette libéralité M. Lebeau ne se préoccupait que de l'esprit et de la lettre de la loi, du bon sens et de l'iniéièt des pauvres. Depuis, on a changé tout cela comme- Sganarelle improvisé médecin. On vient soutenir que l'article 84 de la loi communale, qui permet de nommer des administrateurs spéciaux, n'a d'effet que pour le passé, bien que l'article ne distingue point. On affirme que ces faits ont été posés par négligence 011 par inadvertance b des a époques où ces questions étaient bien moins comprises, moins étudiées qu'elles ne l'ont été depuis. Nous citons le Moniteur textuellement. Un raisonnement de cette force n'a pas besoin d'être discuté. Il paraîtra sans doute aussi peu con forme a la logique qu'à la politesse d'envelopper indistinctement la Belgique gouvernementale dans uu reproche d'ignorance qui ne cesserait d'être fondé qu'au moment où M. le Ministre de la justice a fait son entrée dans le cabinet. M. Haussy lui- même, qui est dans la législature depuis tant d'années, n'a pas entendu autrement que tout le monde les lois qu'il vient expliquer d'une si étrange façon. Il nous permettra de croire que ce n'est pas l'étude qui lui a donné tout fraichemeiit de nou velles lumières. L'inqualifiable faiblesse de sa ré ponse aux arguments solides de M. le comte de Theux le prouve surabondamment. Au surplus, si réellement la législation belge sur la bienfaisance publique était aussi absurde qu'elle l'est devenue sous le ministère de M. le baron de Haussy, le premier devoir d'un homme de bon sens serait d'en provoquer la réforme. A Dieu ne plaise que nous voulions faire violence aux scrupules qui s'appuient en appatence sur une base aussi honnête que celle de la légalité. Mais dès lors, changez-lb, saisissez la législature d'un projet raisonnable qui facilite les actes de libéralité au lieu de décourager les âmes charitables. Les vieux Romains entra vaient les donations autant que possible; les imiter sur ce point serait être triplement rétrograde. Le vice de notre siècle ce n'est pas un excès de géné rosité. Un gouvernement éclairé doit au moins se prêter b tout ce qui peut exciter le zèle et le dé vouement en faveur des classes pauvres. Nous ne craignons pas d'appeler sur ce point les études de M. le Ministre de la justice et plus lard, lions en sommes surs, il nous en saura gré. Jde Brux.) DE MM. Vanalleynes Louis Président. Verleure Louis Vice-Président. Vandecasteele-Pyssonnier, membre effectif. Gerste Frédéric id. Navez Victor id. lliunfant-Bourgois id. Hennion-Ducornez. id. Decoene-Annoot S membres suppléants. Laptete Louis s Vanden Bogaerde Auguste Secrétaire. Catarrhes, Coque luches et IR1IITA- ttons tle poitrine. Rien de pins efficace contre ces affections, le RACAHOUT et la PATE de NAF£ d'Arabie, dont les propriétés ont été officiellement constatées par les processeurs de la Faculté de Mé decine et par les médecins des hôpitaux de Paris. Dépôts dans les principales pharmacies, et en notre ville chez M. B arrier Coiffeur-Parfumeur, rue de Lille 85 b Ypres. 1 GESTAEN EN GELEGEN BIXNEN Deeze twee koopen worden 00k in masse geveild. van de Boler straetN° 3<); makende bel wes- terscbe hoekbuis van de moml-straet gebruikt door verscheide inwoopei's te zaemen aen 34 francs te maende. 4" Koop Een HUIS, met GROND en LAND daer medegaende. gruot 16 aren 89 cenliaren voormae/s Poudermagazyn, gestaen en gelegen aen den noordkanl der vesten straet, tegen de manège:gebruikt door Joseph R vrkière, i>oor 3 jaren ingegaen den ten Oclober i847, mils i 90 francs s'jaers, boven de belastingen. Den INSTFL zal gebeuren. binnen de stad Ypre in de Estaminet den Sultan op de Groote Markl. Zatf.roao 3en Fkbruary 849. om 4 uren numiddag. op bel gewin van Instel premien, ingevolge de vooi waerden berus- tende len kantoore. van den Notarié E AN DER ME ERSCH te Ypre. EK.NE AI.LEliBESTE CELEGEN L4!\G*T VIE PROVKN CALCHIKDE, IN OEN Eeckhoek van Poperinghe, In 't geheele groot onder GRAS, ZAEILAND en BOSCH i3 hectaren 17 aren 64 cenliaren, by plakbrieven verdeelt in 26 koopen; gehruykt zonder pachl door JaCobi'S-F.VPRBNTilts De- PUYDT, tôt i® Oetnher i84g, len geiinge pryze van 1,000 francs by jaere boven de lasien In eene en verscheide Massen npenbaerlyk te Koopen tôt het zelve Poperinghe. Ingeslcld in masse 31,100 francs. Wanof den OEERSLAG plaets zal hebben den M A END A G 5" FERRUARY .84g, ten 2 nren namiddag precies, in het Hôtel den Grooten Herl, op de Groote-Markt, te Poperinghe. De voorwaerden dezer Verkooping met de lile- len van eigendom en plans figuratif berùsten ten inzage van een ieder, ten kantoore van den Notaris GHFLE1N tôt getnelde Poperiughe resideerende. (1) Elk zegge het voorts. SCIIOON EN CROOT PATRI II ONIEEL OPENBAEKLYK TE KOOPEN Dit HUIS bestaende in verscheide beneden Plaelsenen Ramers ter eersle verdieping agte- re Gebouwen met der zelver Gronden inbou- dende volgens t'tel 16 aren y5 cenliaren en volgerts cadaster Sec lie R. N" i38, i5geu i4o: 17 aren 24 cenliaren gelegen ter p/aetse van Elamerlinghe ter zuidzyde van de calcbiede leidende van Yper naer Poperinghepalende van oosien de erve van de kindersd'beer Boone, van weslen de erve van d'beer Louis Paret en met een deel de weide van Mynbeer Jean- Bap tiste Eanden Peereboom Y Yper en van noorden voormelcle weide van gezegclen heer Eancien Peereboom. Het is legenwoordiglyk bewooncl door Ma dame de weduwe Paret en zal 1er bescbikking van den kooper zyn Yeinde de drie rnaenclen naer den overslag. Deze Eerkooping zal gesr.hieden in de af- spanning bel Kleine Yper binnen de stad Y per met bel bouden van twee zitti.ngen de eene lot den INSTEL op Zaterdag 3rn Febbuary i84q in de tweede tut den OVERSLAG op Zateroag 17en der zelve maend t'elkens ten 3 uren narniddag. De voorwaerden der E erkooping berùsten ten kantoore van den Notarié RENTY Y Yper Elvtrdingh-straetN' 2. (1)

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1849 | | pagina 3