HOFSTKDEN, EEN HOFSTEDEKEN. n Yy PATRIMONIEELE TE PACHTEN EEN HERBERG ESPAGNE. SUISSE. ROYAUME LOMBARDO VÉNITIEN. DEUX-SICILES. ÉTATS ROMAINS. ÉTAT CIVIL D'Y PRES, i r..ui, .4. ALDERSCHOONSTE EN At.DERBESTE POPEIUNGIIE, Lyssenlhoek. CROMBEKE, by den Keerzelaere. Kantoor van den Notaris V^IT SSCZ2 T'Y Pil OPENBAERE VERKOOPING HET KLEYN STADHUYS, OP DE GROOTE MARKT TE YPEREN. arents ace degré ne pourront être l'un magistrat, autre avoué a la même cour ou au même tribunal. Dans les autres cours ou tribunaux, les ma- islrats ne pourront connaître des affaires dans lesquelles leurs parents a ce degré auront occupé oniiue avoués. Le pouvoir exécutif, en instituant la nouvelle îagistrature, fera cesser ces incompatibilités. Le numéraire afflue d'une telle manière h ille, depuis quelques jours, que la banque oblige e recevoir, dans les paiements qu'elle effectue, une rande partie en espèces. Quelques désordres ont eu lien Saint Cloud parmi les bataillons de garde mobile qui y sont casernés. Au nombre de 7 a 800 ils parcouraient le 28 les rues de Saint-Cloud en criant sur l'air des Lampions Un mois de solde ou du plomb.» A Courbevoie le désordre aurait été plus com- let. Un fort détachement de dragons y aurait été nvoyé pour rétablir l'ordre, mais en vain. Le bruit court que l'autorité militaire est décidée employer la dernière rigueur pour soumettre les a mi I Ions de gardes mobiles, s'ils persistent, comme n l'assure, ne pas vouloir se laisser désaimer. Avant que la Chambre entrât en séance, on isait que la Montagne, réunie dans un des bureaux, vait délibéré sur la mise en accusation du Piési- ent de la République, raison du concours ferme et persévérant que le chef de l'État aurait garanti au ministère, quelle que fût k son égard l'attitude de la majorité. Cette manière de résoudre par le fait la question de responsabilité soulevée par M. Proudhon, n'a pas été accueillie, assure-t-on, par la majorité de 'extrême gauche. Nous ne pouvons résister au désir de citer le passage suivant d'un discours remarquable pro noncé a la tribune des Corlès par M. Douoso Cortès Il y avait k Rome sur le trône le plus éminent, et il n'y est plus, l'homme le plus juste, l'homme le plus évangéliqne de la terre. Qu'a fait Rome de cet homme évangéliqne, de cet homme juste? qu'a fait celte cité où ont commandé les héros, les Cé sars et les Pontifes? Elle a changé le trône des Pontifes pour le trône des démagogues; rebelle k Dieu, elle est descendue k l'idolâtrie du poignard. Voila ce qu'elle a fait. Le poignard, le poignard démagogique, le poignard ensanglanté est l'idole de Rome. C'est cette idole qui a renversé Pie IX. C'est celte idole que promènent dans les rues des troupes de cannibales. Que dise-je, de cannibales? l'expressiou n'est pas juste; car les cannibales sont féroces, mais les cannibales ne sont pas ingrats. Je me suis proposé de parler avec toute fran chise, et c'est ainsi que je parlerai. Je dis qu'il est nécessaire que le Souverain de Rome revienne k Rome, ou qu'il ne reste pas k Rome pierre sur pierre. Le monde catholique ne peut consentir, et il ne consentira pas k la destruction virtuelle du christianisme pour une ville seule, livrée k la fré- nésie de la folie. L'Europe civilisée ne peut con sentir, et elle ne consentira pas, k ce qu'on ébranle la coupole de l'édifice de la civilisation européenne. Le monde ne peut pas consentir, et il ne consen tira pas, k ce que dans la ville insensée de Rome 'accomplisse l'avènement au trône d'une nouvelle et étrange dynastie, la dynastie du crime. Et qu'on ■ne dise pas qu'il y a ici deux questions, l'une tem porelle et l'autre spirituelle; que la question était entre le souverain temporel et son peuple, que le Pontife a été respecté, que le Poitife existe encore. Deux mots sur cette question, deux mots, et ils ex pliqueront tout. Sans aucun doute, le pouvoir spirituel est le principal dans le Pape; le temporel est l'acces soire, mais cet accessoire est nécessaire. I.e monde catholique a le droit d'exiger que l'oracle infaillible de ses dogmes soit libre et indépendant le monde catholique ne peut savoir de science certaine, comme cela est nécessaire, que cet oracle est indé pendant et libre, s'il n'est pas souverain, parce que le souverain seul ne dépend de personne. Par con séquent, la question de souveraineté, qui est par tout une qustion politique, est k Rome, en outre, une question religieuse; le peuple, qui peut être souverain partout, ne peut l'être k Rome; les as semblées constituantes, que peuvent exister par tout, ne peuvent exister k Rome; Rome, il ne peut y avoir de pouvoir constituant que le pouvoir constitué. Rome, les États pontificaux n'appartien nent pas k Rome; ils n'appartiennent pas au Pape; les États pontificaux appartiennent au monde ca tholique; le monde catholique en a reconnu le Pape possesseur, pour qu'il fut libre et indépen dant, et le Pape lui-même ne peut se dépouiller de cette souveraineté, de cette indépendance. Des lettres de Berne, en date du 25, annoncent que des troubles ont éclaté k Saignehgier, district des Franches-Montagnes, canton de Berne. Le grand-conseil ayant décidé d'abolir le couvent des Ursulines et d'expulser celles-ci du canton, où leur présence était un sujet continuel de division entre le gouvernement et ses administrés, la population a pris fait et panse pour elles et a maltraité le préfet, chargé de l'exécution des ordres du conseil. Informé de cet état de choses, celui-ci a immédiatement dirigé sur le district des Franches-Montagnes une compagnie de carabiniers et un bataillon d'infan terie; en tout 1,000 hommes k peu près. L'on croit que les troubles suscités viennent du désir de quelques hommes de détacher le Jura de la partie allemande du canton de Berne. C'est ce qu'une enquête éclaircira. On lit dans le Messager de Tyrol Ce que nous avons récemment annoncé de Vérone se reproduit maintenant a Milan. Les gen tilshommes quipar ordre du commissaire autri chien comte Montecuculli, avaient été invités k émettre leur opinion sur l'élection des députés qui devront se réunir k Vienne pour y élaborer les ha ses futures de la Constitution et l'administration du royaume Lomhardo Vénitien, non seulement n'ont pas répondu k cet appel, mais ils ont déclaré for mellement qu'ils ne voulaient pas rester sons la domination autrichienne ni accepter la Constitution que l'Empereur avait l'intention de leur octroyer. La levée de 18,000 hommes, ordonnée par le ministère napolitain et qui devait se faire par le sort, n'a pu avoir lien presque nulle part. A Naples, le gouvernement a étéobligé de suspendre le tirage, et dans plusieurs provinces, on a brisé les urnes et protesté solennellement. Le ministre des finances a échangé forcément i4,ooo piastres k l'hospice de la Trinité des Pè lerins contre la même somme en billets Gai ibaldi et sa légion, ainsi que les légions revenu"sde Ve nise, ont été appelées pour remplacer les troupes de la garnison actuelle. Les brigades de carabiniers de Subbiacco et de Frosinone sont allés rejoindre le Pape. La garde civique, appelée a élire son gé néral, a donné ses votes au duc Sforza Cas ini. Le ministère a refusé de reconnaître celte nomination. Du t§ Janvier au 3 Février Inclus. naissances. 7 L) 11 scXi1 t'-miinu .mariages. I. VancAttendyck, l.oui.s-B«Miiaid, âgéita 37 ans, joumalior, et Follet, Mrtiie-Siiloui«*-Soj>liie. âîjée de £5 ans, deutellière. décès. I. VandnimmeFidèle, âgée de 3g ans, religieuse, rue de KHUWikind. T t've, Thomas Nicolas, âgé «le 71 ans, portier, époux de Jehïiue-Tltéies»' Lecompte, iu de Meiiiii. 3. Buyie, Charles-Henri, âgé de 24 «us, cordonnier, céliba taire, rue «le «Vlfijiu. 4. Decnetiv» I, Oct.ivie, âgée de 20 ans, deutellière, célibataire, Vieux Ma relié au Buis. 5. Sagonlsab« !le-( laireâ«ée de 7 ans, dentellière, veuve de J«*an l.enpe, rue «ie K*U"ikiu<i. Bergliof. Loui-, àjié «le 5 aus, journalier, célibataire, Maiché au l'ê-es enfants au-dkssois de 7 ans. î1":»!'" a i\LI reuuuiu. - IN PARTIEN OF IN MASSEN, t£ ko>©piik) T3 ?Y-?2?.:iT<3-E3 iîtft Ijft gcroiit Dttn Tnâtflpcnntnck van i ten iiondeuden. Door bot amht van don Notaris GHELEIN, dies den INSTElplaetszal hehben den MAEN- DAG i2en FEBRUARY i84gten 1 ure na middag, in d'hei lnuy bel Hof van Cassel, in de Casselstrael lot 't gemelde Poperinghe. Primo: Eene beliuvsde HOFSTEDE met jonge geplante bnnmkensgront onder Gars, Zaeiland. Meers<h en een weinig Bosch, volgens cadaster 21 hectaeren 47 arcn 20 ceriliaren gebruykl door sieui Moi fin us Verdonck tôt ien Oclober i855, ten prvze van 1,096 francs 5o centimen by jaere hoven de lasten. Secundo Eene andere behuisde HOF STEDE, groot onder Gars en Zaeiland 5 hec- taeren 2 aren 70 ceriliaren, gelegen in den zelven Lyssenlhoek van Poperinghe, gebruykt door Pie- ter Denys lot i*n October 1853, ten pryze van 38o francs by jaere boven de lasten. En tertio Eene behuisde HOFSTEDE groot onder Gars en Zaeiland 7 hectaeren 46 aren 46 centiaren, gehruykt door Pieter Bout- tecaer lot i'n October i854, ten pryze van 554 francs by jaere boven de lasten. De voorwaerden dezer Verkooping met de titelen van eigendotn en plans figuratif berusten ten inzage van een ider, ten kantoore van den bovengenaemden Notaris GHF.LEIN tôt 't voor- noeinde Poperinghe resideerende. (2) elk zeg h et voorts. van In tweezitdagen den eerslen voor den INSTETj op 1 3e" FERRUARY' 1849 en den tweeden voor den OFERSLAG op 27" FEBRUARY i849 t'elkens oui dry uren natniddag ter herberg be- vvoond door Francis Fanl.iuwe te Oostoieuw- kerke van een alderbest HOFSTEDEKEN aldaer gelegen, groot 4 hectaren 9.3 aren 58 centiaren, gebruykt door Jacobus Mobouck zonder pagt. 1 0/0 voor nOOGSTEN INSTEL PENNINK TE winnen. EIL zegge hei voorls. genaemd Le LUNDI 5 FÉVRIER i849, k 4 heures après midi, au cabaret la Tête d'Or k Wytschaete, près de Messines, occupé par Willemyns, il sera procédé par le ministère de M" NEFEJAN, Notaire k Messines, k I'Adjudication défini tive, d'une belle et grande MAISON située a Messines, rue de Gatid dernièrement occupée par Dclu Mari f.-Louise De Coninck. (2) Seulement mise prix 2,300 francs.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1849 | | pagina 3