UNE MAISON, NOUVELLES DIVERSES. âaisacas. BELLE BRASSERIE ET EN CABARÊT; WOONHUIZEN, FRANCE. Paris, 17 mai. ANGLETERRE. Londres, 16 mai. PRUSSE. Berlin, 15 mai. ?3ÏI2>2i!S BIEN ACHALANDÉE EN BEZETTE OBLIGATIE, OPENBAER TE KOOPEN DIP P&SSïMliaD&lSlbl» Van wege de eygenaers, kragtens oktrooy en met het houden van 2 Zittingen, zal den Notaris CHRISTIAEN by openbaere, vey- ling verkoopen de volgende onroerende Goederen staende en gelegen op PAS SCHENDAELE, alsmede eene bezelte Obligalie verdeelt in 7 koopen, als volgt: by het kroontjen. west aen den wallemolen. quelques détailsqui lue sont connus encore. Comme la vérité n'a poiut besoin d'un air insolent et hai neux je nie suis borné aux observations que je viens de faire, persuadé qu'elles suffiront pour éclairer le public. Agréez, etc. N. «r-TKW)lT- On se préoccupe pas moins en Angleterre qu'en France de l'affaire anglo-grecque. Il résulte des explications fort embarrassées, obscures et vagues que donnent en tâtonnant les ministres que le ca binet anglais n'ose pas affronter l'opinion publique par des aveux nets et catégoriques. L'un des mi nistres, lord Landsdowne, a déclaré dans la cham bre des lords que M. Drouin de Lhuys n'avait pas présenté ses lettres de rappel; lord John Russell dans la chambre des communes, a dit, au contraire, non sans quelques cmbages, que l'ambassadeur n'avait pas, selon l'usage, déposé une copie de la lettre; cependant il a avoué qu'il l'avait lue a lord Palmerston. Il a dit d'ailleurs que M. de Lhuys était parti avec des explications satisfaisantes. Comme un membre lui demandait si lord Normanby avait reçu l'ordre de revenir Londres, lord John Russell a répondu d'une manière presqne inintel ligible et on n'a pu savoir positivement si l'ordre de retour avait été exdédié k l'ambassadeur bri tannique a Paris ou non. Enfin il parait que le ministre a déclaré que ce diplomate n'avait pas reçu ses lettres de rappel et que l'affaire n'aurait pas d'antre suite. D'après ces explications tout se bornerait au départ de l'am bassadeur français, qui avait été envoyé'a Londres pour s'occuper des négociations spécialement rela tives k la question anglo grecque. Tout cela, comme on le voit, est excessivement obscur, et il paraît en résulter que le cabinet anglais et fort désappointé de la tournure qu'k prise cette affaire et de la vi gueur avec laquelle le général de Lahitte l'a per sonnellement conduite. On remarquait k Londres, dit une correspondance, l'altitude de réserve et presque d'hostilité diplomatique qu'avait prise \I. Brunow, ambassadeur de Russie, k la suite du dé part de l'ambassadeur français. Les ministres lâ chaient de pallier cette tenue de l'ambassadeur russe. Une partie de la presse anglaise attaque lord Palmerston avec vivacité; sa conduite n'est dé fendue en réalité par personne k Londres. Un journal flamand, le Broederminannonce encore une fois, et cela dans les termes positifs, la prochaine retraite de M. Rolin. Cette nouvelle, jetée au public pour la vingtième fois au moins, sera-t-elle enfin plus vraie que ses nombreuses aînées? Un bataillon delà 2' légion, commandé par M. le major Prové, revenait de l'exercice, tambours et musique en tète, lorsqu'il rencontra, rue de Flandre, le saint viatique qu'un prêtre de l'église Sainte-Cathérine allait porter k un malade avec le cérémonial ordinaire. Le commandant fit faire halte. Le bataillon se rangea en bataille et rendit les honneurs prescrits par les règlements militaires, tandis que le ministre du culte donnait la bénédiction du Saint-Sacre ment. Tous les témoins de cet épisode ont approuvé hautement la conduite du major commandant. Samedi matin, k 11 heures, a été célébré en l'église de St-Jacques sur Caudenberg k Bruxelles, le service funèbre pour M. Bourgeois, conseiller honoraire k la cour de cassation, officier de l'ordre de Léopold. L'assistance était nombreuse, on y re marquait la cour de cassation en corps, en robe rouge; une députation des membres du tribunal de 1" instance, une députation des membres de la cour des comptes, des avocats et avoués et di vers autres fonctionnaires des diverses administra tions, etc. v On lit dans la Patrie: On a distribué k l'Assemblée le rapport fait par M. de Vatimesnil, au nom de la commission chargée d'examiner la proposition de M. Pougeard, et le projet de loi du gouvernement sur les privi lèges et hypothèques. Ce rapport indique et justifie les nombreux changements que la commission veut introduire dans les dispositions du code civil sur le régime hypothécaire. Nous ne pouvons que faire connaître sommairement les principales innovations, ce sont: i° La suppression de l'hypothèque judiciaire; 2" L'introduction d'une disposition qui auto rise les obligations hypothécaires transmissibles par la voie de l'endossement 5° La nécessité de la transcription pour opé rer, k l'égard des tiers, la transmission de la pro priété 4" La nécessité de l'inscription de toutes les hypothèques légales, doot le titre sera fixé par l'inscription 5° La prolongation k trente ans de la durée des inscriptions hypothécaires. La commission doit compléter son œuvre en ce qui concerne la célérité de l'action de la justice et la réduction des frais, en s'occupant de la pro cédure de surenchère et de celles d'expropriation et d'ordre. Les orateurs inscrits pour et contre le projet de loi, dont le rapport a été fait aujourd'hui 'a l'As semblée, sont au nombre de 43; 6 pour et 37 contre. Pour MM. des Rotours de Chaulieu, de Mon- taleinbert, Thuriot de la Rozière, Béchard, de Greslan, Hubert-Delisle. Contre MM. le général Cavaignac, Charles Lagrange, Pascal Duprat, Canet, Emm. Arago, Soubiés, Grévy, Banne, Bourzat, de Moslowa, Slint Romrae, Noè'l Parfait, Mathieu (de la Drôme), Delebecque, Anglade, Montagu, Barthélémy Saint- Hilaire, Cassai, Dain, Arène, E/Quinet, Ennery, Baudin, de Lavalade, Madier de Montjau, Th. Bac, Détours, Charamaule, Savalier-Laroche, Riga!, Sage, Lavergne Dupont (de Bussac), de Lamartine, Jules Favre, Gleizal, Chavoix. On lit dans le Globe: Un journal de Paris prétend qu'une des conditions du traité signé k Londres entre lord Palmerston et M. Drouyn de Lhuys portait que si, avant l'arrivée de ce traiié k Athènes, le différend avec la Grèce avait été réglé, l'arrangement intervenu serait mis de côté et que les stipulations du traité en question seraient seules appliquées. C'est Ib une erreur. Il était convenu que si le traité arrivait après l'arrangement il serait considéré comme nul et de nul effet. Le Congrès des princes, dans sa séance d'hier, a décidé que tous les cabinets de l'Union adresse ront en même temps k Vienne une note identique, où l'on fera ressortir les points suivants: Les Étals de I' 'union prennent part au Congrès de Francfort pour témoigner de leur sincère empressement k coopérer k la réorganisation de l'Allemagne. Mais ils protestent expressément d'avance contre la pré tention de l'Autriche k l'exercice du droit de pré sidence éteint avec la Constitution fédérale; de même que contre l'idée que le Congrès de Franc fort représente l'ancienne Diète; les gouverne ments de l'Union n'y reconnaissent qu'une libre assemblée de 35 gouvernements de l'Allemagne. Ils protestent aussi contre la prétention que ce Congrès peut prendre des résolutions obligatoires pour les États qui n'y sont pas représentés. Enfin, les États de l'Union ne reconnaîtront pas de réorganisation de la Confédération qui ne donne pas k l'Union la place k laquelle elle a le droit de prétendre. Indépendamment de ces résolutions au sujet de la Confédération étendue, le Congrès s'est occupé dans sa séance d'hier de la constitution définitive de l'Union. Tous les gouvernements veulent tenir k l'alliance et faire les démarches communes au sujet de l'Allemagne. La Hesse-Electoralele Mecklembourg-Strelitz et le Schaumbourg-Lippe ont encore élevé quelques scrupules contre la for mation immédiate du gonvernement de l'Union. Demain aura lieu une dernière séance des princes pour prendre des résolutions définitives, k insérer au procès-verbal, sur tous les objets discutés. Le ii dernier procès-verbal sera publié. Réjorme ail.) AVEC LE DROIT DE LIVRAISON DE BIERRE DANS CINQ CABARÈTS. Lé tout situé daDS une commune de l'arron dissement d'Ypres. Pour plus amples renseignements s'adresser en l'étude du,Notaire BOEDT, rue du Lombard k Ypres. (a) Eersten Koop. D'en westkant van een HUIS van twee woonsten met Sehuer en afhan- gelykheden en 22 aren 80 centiaren Erf, onder bebouwden Grond, Hovenierhof en eene party Zaeyland, zynde den noordkant van meerder per- ceel, raakende te zamen eene verhappende partye, paelende oost op paelen, den volgenden koop, koop 3 en het land van Sr Bossaert, zuyd de groote Rousselaerstraet, west de weyde van M. Dnjardin, en noord het land van sieur Pieter Delanghe. Ge- bruikt door Engel Breyne mits 5o francs boven de laslen by de jaere met pagt tôt ieB October 18Ô0. Tweedkn Koop.De Oostwoonst van het zelve HUYS, afhangelykheden en 16 aren 64 centiaren Erf, onder bebouwden Grond en Zaey land, paelende oost het huys en land van M. Van Eecke, bnrgmeester te Zonnebeke, zuyd de groote Rousselaerstraet, west en noord den voorigen koop, gebruikt door Jean Duforrest. mits 5o francs boven de lasten by de jaere met pachtrecht tôt i*° October i85o. Derden Koop. Oost aen koop een, eene goede party ZAEYLAND, groot 3g aren 10 cen tiaren, paelende west en noord het land van sieur Pieter Delanghe, oost en zuyd het land van sieur Bossaert en koop een, thans gebruykt door sieur Samyn en andere met pagtregt toi 1" October i85o. Vierden Koop. West by den voorgaenden koop, een perceel GROND, groot 4 aren 97 cen- tiareo, met de oostwoonst van een Hnys van twee partyen, waer van de weslwoonst zonder chens noch pagtregt aen den grond toebehoort aen Pieter Vermeerscb, paelende noord en oost scherp het land van sieur Pieter De Langhe, zuyd de groote Rousselaerstraet en west den bebouwden grond van sieur Carrein, thans gebruikt met om irent 9 aren Erve, uyt koop dry, door Jean Du- jorrest, mits 48 francs 96 centimen, boven de lasten, met recht van pacht lot i°n October i85o. Vyfden Koop.Den oosikanl van een HUYS, zynde twee-woonst, afhangelykheden, en 4 aren 60 centiaren Erve, onder bebouwden Grond en

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Le Propagateur (1818-1871) | 1850 | | pagina 3