VRUGTEN, 2 PEERDEN, VRUCHTEN TE VELDE, 3 On annonçait hier soir dans une réu nion particulière de représentants qu'on avait reçu de mauvaises nouvelles de la santé de M. le maréchal Soull. Ses forces s'affaiblissent de jour en jour et commen cent donner des inquiéluds sa famille. Ce qui nous fait croire cependant que sa position n'est pas aussi grave qu'on l'an nonce, c'est que son fils M. Soull de Dal- malie n'a pas été appelé Soult-Berg, et qu'il est encore en ce moment Paris. Il est question d'un grand congrès légitimiste qui doit avoir lieu Ems et auquel le comte de Chambord doit assister en personne. Quant au bruit de la gros sesse de la comtesse de Chambord, il était tout fait sans fondement. C'est le 20 juillet prochain que le comte de Paris doit faire sa première communion, quelques fidèles orléanistes se préparent se rendre en Angleterre, afin d'assister cette cérémonie. Il paraît que le pacha d'Egypte s'op pose l'envoi d'Abd-el Kader dont il craint la turbulence et la rivalité dans ses Etats. Il a, dit-on, fait connaître ses intentions cet égard au représentant de la France Alexandrie, il y a déjà quelque temps, alors qu'à l'occasion de la maladie de l'émir on avait examiné la question de sa translation hors du territoire français. On disait samedi l'Assemblée que le gouvernement venait d'apprendre par voie télégraphique, qu'une quantité considéra ble de cartouches avait été saisie Per pignan, dans la soirée du 4 de ce mois, et que plusieurs arrestations avaient été opé rées. On ne donnait aucun détail. Le gouvernement a reçu ce matin de nombreuses dépêches de ses agents diplo matiques dans les échelles du Levant. On assurait aujourd'hui que le gou vernement anglais avait fait fermer les clubs et les lieux de réunions des réfugiés démagogues français et autres qui sont Londres. Il serait désirer que l'Angle- tqrre éloignât de la capitale et confinât en Ecosse, ces réfugiés qui essaient dans leur çxil l'abri de l'hospitalité britannique de bouleverser èncore l'Europe. On dit que la mort du brave général Mollière est le résultat d'un empoisonne ment provenant soit des cuivres de sa cui sine, soit de l'emploi des champignons ou d'autres aliments vénéneux. La famille du général a été atteinte aussi par l'effet de ce topique, mais on dit qu'il a été le seul qui ait succombé ses effets. On lit dans la Patrie Il résulte de toutes les informations que nous avons recueillies sur le jeune Walker, arrêté aux portes de l'Elysée, qu'il doit être considéré comme un insensé moins digne de colère que de pitié. 11 ne faut donc voir dans le criminel projet, dont il s'est lui-même ac cusé, qu'un fait isolé, sans lien avec les sentiments d'aucune fraction du peuple. La journée d'hier a prouvé, du reste, combien le Président de la République avait peu redouter de semblables tenta tives. 11 a assisté, sans escorte, au milieu d'une population de deux cent mille per sonnes, l'ascension de l'aéronaute Poite vin avec autant de sécurité que s'il eût été dans le palais de l'Elysée. Ce fait remar- quabletémoigne suffisammentdu peu d'im portance qu'il convient d'attacher au lan gage d'un fou, dont on fera bien de confier la garde un médecin plutôt qu'aux gen darmes. On nous assure que le jeune Walker a été examiné hier par plusieurs médecins, qui se sont accordés reconnaître qu'il est atteint d'aliénation mentale. Aujourd'hui Walker sera, dit-on, trans féré Bicêlre. Les journaux de Marseille annoncent que le parti de l'ordre vient de remporter une éclatante victoire dans le scrutin de l'élection des membres du tribunal de commerce d'Arles, auquel les démocrates attachaient, on le sait, une énorme impor tance. Sur 745 électeurs inscrits, 504 ont pris part au vole. M. Faucher a été élu prisident par 311 suffrages contre 191 donnés M. Guignet, candidat du parti démocrate. ANGLETERRE. Londres, 6 juillet. ITALIE. VENDITIE WllIEfElMî WAGENS, AKKERALLAEAl, ®[F> PAfamgtNMIL'IE, Noord by bel Dorp. ZOOL EN WAGEN ARNASCH LA1NDBAUWERS ALLAIS M, KLAVERHOY ENZ. par le gouvernement vénézuélien a vu dernière ment sa peine commuée en celle du bannissement. C'est le 24 mai que la frégate a vapeur, le Libe- rador, a débaïqué l'illustre vétéran 'a S'-Thomas. On vient de jalonner dans la plaine de Ca- nonville, dans-le bois de Vincennes, le tracé d'un camp sous tentes pour 20,000 hommes, dit-on; ce camp s'ouvrirait vers la fin de juillet et ne serait levé que le 1 o septembre. PAHIK, le H juillet. Hier soir, a six heures, un corbillard attelé de quatre chevaux et suivi d'une seule voilure de deuil est allé prendre ff hilehall-Gardens le corps de sir Robert Peel pour le conduire la station du Norlh Western raillway. Une foule considérable a suivi le cortège funèbre jusqu'à l'embarcadère. La compagnie du chemin de fer avait consenti, chose inusitée, transporter la dépouille mortelle de l'illustre homme d'Etat sur un convoi de voya geurs. Le corbillard fut placé sur un waggon, et le départ eut lieu l'heure habituelle, 8 heures 45. Le vicomte Hardinge, sir James Graham et M. Goulburn ont assisté au départ. M. Frédéric Peel a seul accompagné la dépouille mortelle Tam- worth où l'enterrement aura lieu mardi. On écrit de Rome, le 24 juid, Y Univers Les dernières lettres de Rimini n'annoncent rien de bien particulier. On se préparait la neuvaine, qui a du commencer le 20. L'enquête épiscopale continuait* trois Evêques ont déposé sous la foi du serment avoir vu le prodige de leurs yeux. Il vient toujours de tous les pays environnants un nombre infini de processions, de confréries, de députations envoyées par les villes, par les chapitres, par les corporations. La procession de la ville de Cesena a dû s'y rendre ces derniers jours pour y attendre son Êvêque, qui, après avoir été témoin du mi racle, comme je l'ai rapporté dans une de mes lettres, était venu Rome. On a formé une com mission, composée en grande partie de laïques, et daus laquelle ont refusé d'entrer par discrétion les Pères du Précieux-Sang. Deux ecclésiastiques français, partis de Rome pour aller faire un pèlerinage Loretie, ont voulu pousser leur voyage jusqu'à Rimini pour voir par eux-mêmes. Ils sont convaincus de la vérité du prodige, et j'en ai reçu l'aveu de la bouche de l'un d'eux. Une circonstance les a surtout frappés. Voici comment ils ine l'ont racontée: Pendant que l'un des deux célébrait la messe l'autel de la Madone, son compagnon de voyage, qui y assistait, se tenait derrière, une distance très-rapprochée de l'autel. Au moment de l'élévation de la sainte hostie, il vitclaireineul le mouvement merveilleux, mais par prudence il n'en dit rien. Dans le courant de la journée ils allèrent ensemble faire visite Mgr. l'évèque de Rimini, et pendaDt qu'ils étaient avec le prélat, survint un curé de la ville qui venait dé,- poser que pendant la messe dite le matin l'autel de la Madone par un ecclésiastique français, au moment même de l'élévation de la sainte hostie, il avait vu avec évidence le mouvement des yeux de la très-sainte Vierge. Le jeune prêtre français, en tendant cette déposition, déclara alors que lui aussi, dans le même moment, avait vu le prodige. On m'a raconté une particularité qui n'est pas sans intérêt, et que je tiens de la source la plus respectable. Lorsque Mgr. Marchetli, Archevêque d'Ancvre et administrateur du diocèse de Rimini, a eut fondé, en 1824, la maison du Précieux-Sang dans le monastère de Sainte-Claire, il donna cette église une des Madones si nombreuses qui, en 1796, avait opéré le prodige d'ouvrir et de fermer les yeux. Celte madone, remarquable d'ailleurs comme objet d'art, est toujours demeurée dans l'église Sainte-Claire, où elle était entourée d'une grande vénération et d'hommages extraordinaires qu'explique suffisamment le miracle qui s'était opéré dans ses yeux bénis. La pauvre image, con nue sous le nom de Mater miserieordiœ, étai t bien éclipsée, comme vous pensez, par ce voisinage; mais Dieu est venu la tirer lui-même de son obscu rité en la choisissant pour une nouvelle manifes tation de sa puissance. van en iP U&U (m OpVRYDAG 19JULY i85o, te beginnen, ten 11 ueren s'morgens,zal dep NotarisCHRISTIAEN, by venditie verkoopen, op Passchendaele, noord by het Dorp, ter hofstede al waer Jacobus Pattyn overleden is; Werkepeerd met Harnassure, 2 goede Wagens, 2 Karren, 2 Ploegs, Kegge, Eggen, Aelkarteelen, Aelkuypenen verder Akkerallnem. Voorts de Vruchten te velde, als 4 Hectaren Tarwe, Lenlekoorn en Messeljoen. 2 idem Rogge. 1 id. Boonen. 2 id. Haver. 1 id. Maeygras, al verdeeld in koopen. Op gewoone konditien en tyd van betaeling mils goede borg stellende. De Vergaedering, ter gemelde hofstede en in de herberg het Handbogen Hof, bevvoond by sieur Duthoy. (1) "VRTWILL1GEN KOOPDAG van en ander 11 w i&Mimiimtiai, Op DYSSENDAG 25°" JULY i85o, om 12 uren 's middags, precies te begineri, zal men open- baerelyk verkoopen ter hofstede gebruykt door. sieur Laurenlius Vanhoete, gelegen langst de Casselstraete tôt Vlamertirigheweynig znyd vau de calchiede en van dé»herberge Sint Andries, 2 schoone Werk Peerden inet Arnassuren, eenen grooten Waegen met breed beslag 2 andere Wae- gens, 2 Karren, Wielzoole, Hoeselaere, 2 Ploegs, Rolle, Eegden, Bauwcarteelen, Aelpompe, Hau- wen, Rakels, Windmoleu, Koolstekken, Ketetts, ReepeD en nog eenige andefe I.andbauwers Al- laem. Voorts de Veldviugten bestaeude, in

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Le Propagateur (1818-1871) | 1850 | | pagina 3