HUIS EN PEERDESMIS
L. DEHEffl,
BOUGIES DE LA COMÈTE.
3 HOFSTEDEN
DEPOT
D'HUITRES ANGLAISES,
3
ÉTAT CIVIL D'YPRES,
Au Grand Aigle d'Or, Grande Place, Ypres,
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sudorifique énergique ei d'une nature particulière.
Lors de l'épidémie cholérique qui vient de décimer
la Cochiiichine, le Cambodge et les autres contrées
de l'exliêtue Orient, la partie sud de Laos-Ama-
niste a été épargnée. Ou attribue ce résultat a
l'usage de la plante en question, que les mission
naires de Laos aidés de leurs néophites, ont ré
pandu et popularisé.
actes du gouvernement.
Par arrêté royal, en date du 36 août, le sieur C.
Deschryver docteur en droit h Bruges, est nommé
avoué près le tribunal de première instance d'Ypres,
en remplacement du sieur Vandaele, décédé.
Par arrêté royal de la même date, le sieur N.
de Rrauwer, candidat notaire Roulers, est nommé
notaire la résidence de cette ville, arrondissement
de Courtray, en remplacement de son père, décédé.
Par arrêté royal de la même date, le sieur
C. Forge, candidat notaire Aelheke, est nommé
notaire la résidence de Dottiguies, arrondissement
de Courtray, eu remplacement de sieur Bourgeois,
décédé.
FRANCE. Paris, 27 août.
Un incident qui mérite d'être relaté est venu
troubler Metz le cours des réceptions qui avaient
lieu l'hôtel de la préfecture. Les corps constitués
avaient défilé devant le Président j c'était le tour
des officiers de la garde nationale: six d'entre eux
s'arrêlant tout coup eu passant devant lui, se
mirent crier en levant la main Vive la Répu
blique rien que la République Les autres offi
ciers répondirent par le cri de: Vive Napoléon
fortement accentué.
C'était une infraction aux plus simples conve
nances. Elle fut immédiatement relevée par le
Président avec beaucoup de calme et de dignité.
S'adressant ces officiers, il leur dit d'un ton
ferme: Veuillez vous arrêter, Messieurs, et faire
un peu de silence. Il n'est pas d'usage de proférer
des cris dans la réception des autorités. Cependant
plusieurs d'entre vous ont crié vive la République,
et quelques autres ont répondu par un cri diffé
rent. Si ce sont des conseils que vous voulez me
donner, je n'en ai pas besoin, mes actes répondent
assez haut j si ce sont des leçons, je n'en reçois de
personne.
Quelques sévères que fussent ces paroles, elles
étaient méritées, aussi y a-t-on généralement ap
plaudi lorsqu'elles ont été connues de la population.
Il est difficile de raconter tous les épisodes qui
ont marqué le séjour de Louis-Napoléon Metz.
En voici uu néanmoins que nous devons repro
duire:
Deux mille officiers, sous-officiers et soldats de
la vieille armée attendaient, rangés sur deux files,
le Président dans les jardins de la préfecture. Le
prince les a passés en revue et s'est entretenu d'une
manière très-affable avec un grand nombre d'entre
eux. Un ancien officier de la garde impériale, pou
vant a peine se soutenir, s'est approché du Prési
dent, et visiblement dominé par son émotion, il
lui a dit:Je voudrais être encore jeune pour
vous servir. Le Président. Je vois en vous la
gloire du passé! Et moi, a répliqué ce vieux
brave, je vois en vous, mon prince, l'espoir de
l'avenir
On lit dans le Démocrate du Rhin, journal
de Strasbourg, du 24 août
Nous apprenons que le citoyen Gerber, mis en
arrestation, est détenu comme accusé de complot
contre la vie du président de la République. Tous
ceux qui connaissent le citoyen Gerber sont con
vaincus qu'il réduira facilement a néant une si
absurde accusation.
On lit dans Y Impartial de Nancy, du 25
La police a opéré hier encore une arrestation
dans le faubourg Saint-Pierre. Nous ne savons si
elle se rattache aux mêmes faits qui ont motivé l'ar
restation de la veille, et que nous avons annoncée.
Des nouvelles d'Altona annoncent que les
autorités du Schleswig-Holstein se montrent dis
posées maintenant a entrer en négociations avec le
Danemark.
Nous apprenons qu'à la nouvelle de la mort
de l'ex-roi Louis-Philippe arrivée ce matin Paris
un grand nombre d'orléanistes sont partis immé
diatement pour Loudiesafin d'assister a ses funé
railles. On sait du reste que l'ex-roi avait recom
mandé long-temps avant sa mort de supprimer
toute espèce d'apparat lors'de ses funérailles.
Le Moniteur du soir parle encore d'un
complot contre la vie du président. On écrit de
Metz ce journal
Deux malheureux, peut-être égarés par les
meneurs, viennent d'être incarcérés pour avoir fait
entendre des paroles de mort contre le président.
L'un s'est flatté de brûler la cervelle a Louis-Na
poléon. On a fait des recherches chez lui, et l'on y
a trouvé, en effet, un fusil nettoyé depuis peu, et
des papiers qui attestent ses relations avec d'autres
malfaiteurs. L'autre, avait inventé une machine en
fer, ou canon d'une très grande dimension, qu'il
destinait ôter la vie au prince. L'un et l'autre
sont au secret.
PARIS, «o août.
L'Événement d'hier soir et après lui plusieurs
journaux parlent ce matin d'une nouvelle propo
sition relative au rappel des lois de 1832 et de
i848 qui bannissent de France les Bourbons des
deux branches. Nous croyons savoir qu'aucune
nouvelle proposition de cette nature n'a été for
mulée et qu'il n'existe jusqu'à présent que la pro
position de M. Créton relative au rappel de ces
deux lois.
Le bruit s'était répandu hier soir que Louis-
Napoléon au retour de sou voyage dans l'Est de la
France avait l'iuteution de faire subir une modi
fication importante h son ministère et de remplacer
M. Baroche par M. Dufaure.
On assure que le comte de Chambord doit
prendre le deuil l'occasion de la mort de Louis-
Philippe son oncle.
Du 35 au 31 Août Inclus.
naissances.
5 Du sexe masculin
rx rolal. q.
4 Du sexe féminin
Uu mort né du st-xe masculin.
mariages.
1. MiunekeerAnge-Albert, âgé de 3a ans, maçon et Van-
becelaere, Hortence-Heiirietle, âgée de a? ans, couturière.
2. Duflou, Pierre-Jaecfues-Benoftâgé de 5t ans, tisserand,
et Delobel, Catliériue-Théièse, âgée de 44 ans» dentellière.
3. Deweerdt, Pierre-Jean, âgé de 27 ans, domestique, et
Sarrasin, Sophie-Catherineâgée de 27 ans, domestique.
4. Derasse, François, âgé de 36 ans, journalier, et Leroy,
Hélène, âgée de 36 ans, dentellière,
décès.
I. Verdoene, Marie-Françoise, âgée de 78 ans, dentellière,
veuve de FrauçoisDe Waele, rue de Lille.
enfants au-dessous de 7 ans.
tot
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PEERDESMIS, op het gehugte de Hoogstaede-
Lyndelangst den steenweg van Veurne naer
Elsendamme, ten gebruike van Albert Cor
nette, ora handslag ien Mey i85i.
Den ABSOLUITEN TOESTAG van het
zelve Goed, zal gebeuren op ZATURDAG 7"1
SEPTEMBER i85o, twee ueren naer middag,
in de herberg de Hoogstaede-Lynde, onder de
conditien die berusten ten kantoore van den
Notaris FLOOR te Loo, en vvegens dewelke,
aile inlichtingen te bekomen zyn, by M" FEYS,
Notaris te Rousbrugge. (2)
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RÉCOMPENSE NATIONALE.
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S'adresser au dépôt, rue de la Putterie, n. 3obis-
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Grand'Place, n° 16, k Ypres. (1)
by den
NOTARIS Y-fc.nDSSM333S.SCH,
TE YI»RE,
Kantoor van den Notaris CHRISTIAEN, te
P IM ILI o
VAN
i°Op Donderdao 5en September i85o,
ten 4 ueren na middag, ten dorpe van Passchen-
daele, ter herberg Sint Eloy, bewoond by sieur
Lamaire, O VERS LA G van
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Passchendaele, in en aen het dorp.
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En 2° Op WoENSDAG ll,n SEPTEMBER
i85o, ten 5 ueren na middag, ten dorpe van
Passchendaele, ter herberg bewoond by sieur Pol-
lefeyt, OVEBSLAG van
A. Eene HOFSTEDE, groot in Erve, 7
hectaren 10 aren 84 centiaren, gelegen op Pas
schendaele, in en aen bel dorp, by affiche verdeeld
in 18 koopen, gebruykt tôt den i0,,October 1853,
door Jean Verhelle.
En B. Eene schoone en goede HOFSTEDE,
groot in Erve, 11 hectaren 76 aren 28 cent", ge
legen op Westroosebeke en Langemarck, alsmede
eene party Meersch op Staden, verdeeld in 20
koopen, gebruykt, door sieur Jean Bogaert met
regt van pagt tôt ien October i85g.
De kondilien berusten by dito Notaris CHRIS
TIAEN. (1)
