MSIOatiaB. FA1HILIE GOEDEREN: LUST-HOF HUYS EN ERVE OMROERERDE GOEDEREN, OPENBAERE VERKOOPING PATROIONIEEL OPENBARE VERKOOPING VLA MER TIN G HE EN ELVERDINGHE, GEÎHEENTE VEAMERTINGHE. EXPOSITION DE LOAUltKS. On lit dans le Morning- Chronicle du 12 Les étrangers commencent devenir nom breux dans les salles de l'Exposition. Parmi le nombre, nous citerons le colonel Morin, directeur du Conservatoire des Arts-et-Métiers, Paris; M. Mimerel, qui a longtemps dirigé avec éclat, au mi nistère de la marine, le service important des constructions navales; M. Ebelmen, le directeur de la manifacture de Sèvres; M. Leplay, l'un des hommes de France qui a le plus voyagé hors de son pays pour étudier l'Europe minéralogique; M. Wolowski, représentant du peuple Paris; M. Michel Chevalier, de l'Académie des sciences mo rales et politiques. Le koh-i-Noor avait aujourd'hui un cercle moins épais de courtisans. La parure de la reine d'Espagne, faite par un bijoutier de Paris, nommé Lemonnier, lui faisait une concurrence sérieuse; l'un est une merveille de la nature; l'autre est un chef-d'œuvre de l'art qu'ils se partagent les honx' mages. Le banquet offert par les artistes anglais aux artistes étrangers ayant concouru l'Exposition universelle, a eu lieu hier soir, sous la présidence de sir Charles Eastlake, directeur de l'Académie royale. La reunion était nombreuse; elle se com posait d'environ quatre-vingts célébrités artisti ques des diverses nations. Le président a porté la santé des exposans étrangers. MM. Kiss et Du- seigneur ont répondu. M. Wiesbahu, commissaire prussien, a aussi prononcé un discours en français. Sir Charles Eastlake a ensuite porté un toast en l'honneur de l'Exposition. M. Scott Russell se crétaire de la commission royale, a répondu d'une façon très heureuse. A une réunion de la municipalité de Londres, il a été décidé qu'une série de fêtes et banquets se raient offerts dans Guild-Hall aux étrangers de distinction présens Londres, a l'occasion de l'ex position universelle. Un comité a été institué pour s'occuper d'organiser ces fêles d'une manière digne de la corporation de Londres, a laquelle il faut reporter eu grande partie le succès pratique de la conception du prince Albert. La compagnie des marchands drapiers, a la quelle appartient le présent lord maire de Londres, et dont le très honorable dignitaire municipal étai, le président lors de la fête offerte sir Robert Peelt se propose d'inviter prochainement, a un grand banquet, les étrangers présens I.oudres l'occa sion de l'Exposition. Les autres corporations sui vront, dit-on, cet exemple, et rivaliseront de magnificence dans leur hospitalité. Le nombre des visiteurs, attendu sans doute l'état peu favorable de l'atmosphère, n'a pas été tout a fait aussi considérable et la recette des bil lets d'entrée h cinq shellings n'a guère produit que 1,600 liv. sterl. (4o,ooo fr.) Quant aux billets de saison, il en avait été pris 27,000 jusqu'à hier, ce qui donue 81,000 liv. sterl. (2,025,000 fr.) Voici, du reste, l'état des recettes pour les bil lets journaliers, non compris ceux de saison 2 mai, 1 liv. ster., 56o liv.; 3 mai, 482 liv.; le 5, 5 shellings, 1,3,62 liv. 10 d.; le 6, i,458 liv. 10 d.; le 7, 1,790 liv. i5 d.; le 8," 2,018 liv.; le 9, 1824 liv.; le 10, i843 liv.; le 12, i5g? liv. 10 d. Total, 12,937 liv. 10 d., ou 3 i3,425 fr. FRANCE. Paris, 48 mai. On lit dans VUnion: La Réunion des Pyramidescomposée des diverses nuances du parti élyséen, a tenu séance, hier soir, sous la présidence de M. Broglie. Il ré sulte de la discussion ou plutôt des entretiens qui ont eu lieu, que des ouvertures seront faites la Reunion de Rivoli et la Réunion de l'Univer sité, présidée par M. Molé, pour que chacune des trois réunions présente une proposition identique tendante la révision totale de la Constitution. d Ces diverses propositions seraient signées par quatre ou cinq représentants, et chaque fraction de la majorité défendrait sa proposition, en se plaçant son point de vue spécial. Le but de la Réunion des Pyramides est d'établir une sorte d'accord préliminaire eutre les partis, au moment où les opinions qui se partagent le pays, vont exposer librement leurs principes et leurs espérances du haut de la tribune. Depuis quelque temps, Abd-el-Kader a reçu l'autorisation de faire des promenades dans les environs d'Amboise. Un détachement du 70 chas seurs a été envoyé dans cette ville pour l'accom- pager dans ses excursions. Mais le temps pluvieux et froid qui règne depuis la fin d'avril, avait em pêché l'émir d'user de cette permission. Mardi dernier, pour la première fois, il sortit du château où il réside depuis trois ans. Il a dirigé cette première promenade vers le château de Che- nonceaux moins attiré toutefois, comme il l'a dit lui -même, par la beauté de cet antique manoir royal, aussi brillant qu'au temps de François Ier et de Henri II, que par le désir de rendre visite aux hôtes actuels de celte magnifique résidence. Il y avait dans cette démarche d'Abd-el-Kader un sentiment déiicat qui mérite d'être apprécié. En effet, dès les premiers temps de son arrivée Am- boise, il avait reçu la visite de M. et Mm" de Ville neuve; et souvent, depuis cette époque, les pro priétaires de Chenonceaux avaient envoyé l'il lustre captif des fleurs et des fruits les plus rare que produisent leurs serres, et qui pouvaient lui rappeler son pays. Arrivé au château, Abd-el-Kader a été reçu par M™ de Villeneuve, qui a fait les honneurs de sa demeure avec son urbanité et sa grâce habituelles. Elle a accompagné l'ex-émir dans tous les appar tements, et lui a offert, ainsi qu'à sa suite, uue col lation qu'il -s'est empressé d'accepter. Abd-el-Kader était accompagné de deux de ses fils, de quelques-uns des principaux Arabes de sa suite, de M. le capitaine Boissonnet, et d'un inter prète. Avaut de se retirer, M""1 de Villeneuve a pré senté le livre des étrangers, en le priant de vouloir bien y inscrire son nom. Abd-el-Kader s'est em pressé d'acquiescer cette demande, et aussitôt il a tracé en arabe les lignes suivantes, dont voici la traduction Louange Dien unique. J'ai vu le monde réuni dans ce château. Il est comme un morceau du jardin éternel Le salut ceux qui prendront connaissance de mon écrit. El inoi,jesuis Abd-el-Kader ben Mal-hi- Eddin, l'an 1267, le mârd. 10 radz de (10 mai 1851 Suivent les signatures des deux jeunes enfants de l'émir qui a surveillé avec un touchant intérêt la manière dont ils traçaient leurs noms. Au moment du départ, Mmo de Villeneuve ex prima l'émir le désir et l'espérance de le revoir Chenonceaux. Pour vous revoir, madame, ré pondit-il, j'y reviendrais plutôt pied. door het ampt van den Notauis OASTSIaSIlT te Meenen, vay de volgexde Onder den i0" koop. Een schoon en gerie- velyk WOONHUYS met Stallingen, Scheur, ver- dere Gebouwen en zeven aren negentig centiaren, in Cour, Bolletraede en Graspleyn zynde eene aloud gekalante herberg genaemd hkt Kanon, staende en gelegen op Meenen bnyten d'Ypersche poort zeer na by de stad, gebruykt door de we- duwe Sieur J. Bl° Delva tôt 1 october x85i. Onder den 2<m en 3°° koop. Een WOON- HUIS met Logting en eenen MOESHOF beyde houdende aen den eersten koop, gebruykt te weten den 2°n koop, door Augu Libert mits 7 fr' te maende, en den 5on koop door de gezegde weduvve Delva. En onder den 4'" koop. Een TVVEE WOONST met 8 aren 85 centiaren LAND op 't gemelde Meenen buyten langs den Hoogenweg naer Wervick, te samen verpagt i3 fr® te maende. INSTEL DYNSDAG 27 MEY 1 fl- OVERSLAG DYNSDAG 10 JUNY in de bovengemelde herberg het Kanon ten vier uren namiddag precies. lus tel eu Hoogpeiiningeu te wtnneii. De liefhebbers konnen 00k kennis neemen der veylings voorwaerden by den Notaris DELEFOR- TRIE te Gheluwe. (2) Studie van den Notaris ZadLMSliT, te ypren. Op WOENSDAG 28'- MEY i85i, ten 10 uren voormiddag ten huyze van d'heer pleter Smagghe, in de Lange Tourhout straete, open- baere Verkoopingmet gereeden geld,van Menbelen eu Effecten van menagie, bestaende in Stoelen, Tafels, Commoden, Secretairen, Buffets, Kleer- kassen, Ledekanten met behangsels, Matrassen, Sargien, Bedlakens, Pendule, Spiegels; Winkel- toogen, Koffy molen, Maten, Gewigten en meer andere voorwerpen. OP SINT JACOBS KERKHOF TE YPREN, OPENBAERLYK TE KOOPEN. Een HUYS met des zelfs Grond en Erve staende en gelegen te Ypren, aen de zuyd zyde van Sc Jacobs Kerkhof n° 9. Palende oost en west aen de huysen van M. Pyssonier-Titeca. Bewoond in gedeelten door Charles Maerten, Louis Doolaeghe, Pie ter Vercamer en de we duvve Basile Bekaert, te zamen aen 17 fraDcs 72 centimen te maende, de impositien ten laste van den eygenaer. INSTEL in de herberg S1 Laurens, Hond- straet te Ypren, VRYDAG 3oen MEY x85i, ten 5 uren na middag. 1 p* °jo voor Prcmle tau lustel. OVERSLAG ter zelfde plaetse en ure, VRY DAG i3en JUNY daer naer. De titelen berusten ten kantore van den Notaris LAMBIN, te Ypren. (1) Dat men het voorts zegge. van bestaende in een zeer schoon m et GARSLNGEN, ZAE1LANDEN EN BOSSCHEN, MITSGADERS TWEE ANDERE WOONHUISEN, GEI.EGE* MIYYEUi DE GEMEEVTEV PUBLIER TE KOOPEN BINNEN YPER. Eersten koop. een zeer schoon LUST-HOF met zeer schoon HUIS van twee stagien, hebbende beneden twee schoone Salons aen elkanderen zicht hebbende op de calchiede, twee ander Kamers zicht hebbende op den hof, twee Keukens en Kelder; zeven boven Kamers, toe dies Peerdestal, Koestal, Zwynstal,Remise en Hoppe keete met Bak- keuken; dit met de hoeveeiheid van 4 hectaren g5 aren 23 centiaren LAND onder bebouwden grond en bewalden Hof, Gars en Zaeilartden al al aen elkanderen, gelegen ter gemeente Vlamer-

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1851 | | pagina 3