s 111 tï 0 VER SLA G. VRUGTEN TE VELDE, rvi g i il 1 8.S ANGLETERRE. Londres, 20 juin. ALLEMAGNE. 5 cC 5* 5 te 5. i 1 I s I g -1 42^21389 I S S i i-ë 1.3 LANDGEREEDSCHAPPEN il i<: 2 o 3 G 05 g'! fi I ffE H - s I ©sa. i .s I s S* =r Staet op 14,500 francs. Staet op 1,200 francs. Staet op 900 francs. Staet sop 5,000 francs. Staet op 1,200 francs. Staet op 4,000 francs. Staet op 1,000 francs. TE M®PE (Kl Den Notaris FlaOCR, ter residentie van Veurne, ten overstaen van den be- voegden heer Vrederegter, zal op Don- derdag 24" Jcly 1851, ten twee uren na middag, in d'herberg het Stadhuis te Loo, overgaen tôt de openbaere verkoo- ping van On sait les ruses des débiteurs pour échapper aux conséquences de la contrainte par corps il est bon de faire connaître de temps en temps comment s'y prennent les créanciers pour mettre les rieurs de leur côté. Deux marchands, deux voisins, les sieurs Baron et Dubois, dont les boutiques sont en face l'une de l'autre, étaient depuis longtemps en relation d'af faires; le compte arrêté se soldait en faveur de Ba ron par une somme de huit cent et quelques francs. Dubois ne se pressant pas de payer, il fallut em ployer les grands moyens et arriver jusqu'à la contrainte par corps. Appuyé sur la légalité, le créancier n'en était pas plus avancé: partir du moment où il pouvait appréhender son débiteur, celui-ci, tant que le soleil était sur l'horison, de meurait invisible. Mais aussitôt qu'il avait disparu, le débiteur reparaissait sur la porte de sa boutique, faisant la nique son créancier. C'était n'y plus tenir; ce manège durait depuis plusieurs semaines; chaque matin le désolé Baron espérait une revanche éclatante, et chaque soir son espoir était deçu et il revoyait son cauchemar, debout sur la porte de sa boutique, lui distribuant la dose accoutumée de facéties. Il fallait devenir fou ou tronver moyen de se venger le moyen fut enfin trouvé. Un soir que Dubois, fier de ses succès passés, se pavanait sur le seuil de sa porte, semblant défier Baron de passer le Rubicon, ce dernier marche droit lui et le saisit au collet. Vous n'avez pas le droit de m'arrêter après le eoucher du soleil, dit Dubois, ferré sur son droit. Je le sais, lui ré pondit Baron, je ne veux pas vous arrêter, mais rien ne m'empêche de vous donner des soufflets. Des soufflets, des soufflets, reprend Dubois avec colère; savez-vous que je n'en reçois jamais sans en rendre? C'est ce que nous verrons, dit Baron, en entraînant toujours Dubois loin de sa boutique. Voulez-vous me lâcher? reprend Dubois, dont la patience est bout. Et si je ne vous lâche pas, que ferrez-vous? Je vous ferai ce que vous m'avez menacé de me faire. Vous me donnerez des soufflets? Mais! Vous? Pourquoi pas? Je parie que non? Je parie que si... Et cette foisjoignant l'effet la menace, Dubois lève la main. C'était là où l'attendait Baron; des soufflets sont échangés; il s'en suit une lutte sur la voie publique, les assistants sont nombreux. Baron crie la garde, il invoque l'assistance de la force armée. La garde arrive, s'empare des deux combattans, les mène au poste, et comme la soirée est avaucée, qu'on ne peut les conduire chez le commissaire de police, on les coffre pour la nuit dans le violon. Le lendemain matin, quand on leur ouvrit la porte pour comparaître devant le commissaire de police, les barreaux du violon reluisaient des rayons du plus beau soleil, la contrainte par corps pouvaient s'exercer dans la plus grande légalité. C'était ce qu'avait voulu Baron, et ce moyen lui réussit parfaitement, car un quart d'heure après il était payé de ses 800 fr., et chacun d'eux retour nait dans sa boutique.. Il fallait une fiche de consolation au débiteur forcé de payer il est venu la demander au tribunal correctionnel, devant lequel il a porté, contre Baron, une plainte en voies de fait. Les témoins entendus n'ont pu dire de quel côté est parti le premier coup; ils ont vu des hommes qui se battaient et que la garde a emmenés. Ce doute profite Baron, qui, riant sous cap, a été renvoyé de la plainte. [Gaz. des Tribunaux.) Ce matin, vers 9 heures 1/2 l'exposition a été honorée d'une nouvelle visite de la reine Victoria, du roi Léopold et du prince Albsert. Comme dans la visite d'hier, la princesse royale, le duc de Bra- bant, le comte de Flandre et la princesse Charlotte accompagnaient leurs augustes parents. LL. MM. et LL. AA. RR. ne sout pas restées plus d'une heure et demie dans le palais de Hyde Park. Elles ont visité une partie du département de l'exposition belge, mais sans s'arrêter devant aucun des articles exposés. Le roi a reconnu quelques exposants bel ges qui se trouvaient auprès de leurs produits et les a salués affectueusement, en leur annonçant plusieurs visites qui seraient tout entières con- sacréee la Belgique. Le petit état-major belge se trouvait son poste et eu l'honneur de recevoir LL. MM. et LL. AA. RR. 'a leur arrivée, et de les reconduire leur départ. Lorsques les jeunes prin ces ont quitté le quartier belge, on a entendu le duc de Brabant dire son frère An moins au jourd'hui nous avous vu des fignrps de connais- sance. On écrit de Munich, le i4 juin Nous venons de recevoir de S'-Pétersbourg un nouveau bulletin de la santé du duc de Leuch- tenberg, malheureusement, il donne une triste confirmation aux précédents. Le syst me nerveux du duc est entièrement dérangé, et les douleurs de potrineont dû beaucoup empirer, de sorte que son état donne les plus vives inquiétudes. b Z te llss'lxa A 2 S 1 s s 1 g «S - 8 2 S-4 ri g I "s. 3 g g s >r Po I 5 a T 5 - S *0 îo c* I "JS Sa? LJ^J I 3,1 6 g J g .S i©.— en 'S s 2 p-1 Zo^zct:™ 1 1 z "5 :2 1 1 1 Z n u g, 'O t c. o 5 2 T -=> s ©-a. -1 O u g o 2 çj S 'S H g te WZ Q s .2 1 .2 -© z -w S ri 2 '0 n c n rt O a 3 g .2 S. g e S o - -S2 - g S «3 y -, y C ZATERDAG 5,n JULY i85i, ten dry ueren naer middag in d'estaminet Antwerpen, op d'Esplanade binnen de stad Yper, door de ambts- verrichting van den Notaris BOEDT, der rési— dentie van Yper, zal'er geprocedeerd worden tôt de DÉFINITIEFE TOEfVYZING van i° Een schoon LUSTHOF, groot 4 hec- taren g5 aren 23 centiaren, gelegen ter gemeente Vlainertinghe, langst de calchiede van Vlamer- tinghe naer Poperinghe, gebruikt door den eige- naer M. Demey. 2° Eeue partie ZAEILAND, groot 44 aren 10 centiaren houdende aen het voorgaende. 3° Een HUIS met 3 aren 20 centiaren ERVE, houdende aen artikel een. 4° Eene partie BOSCH, groot 2 hectaren 4i aren 7 centiaren, houdende aen de Galge straete. o n 5° Eene partie BOSCH en ZAEILAND groot 7ô aren, houdende aen de Brander straete. 6° Eene partie BOSCH, groot 2 hectaren 3 aren 65 centiaren, paelende aen de Brander straete. 7" Een HUIS met 44 aren 10 centiaren LAND, houdende aen het voorgaende. De titels en het plan figuratif dér te verkoopen goederen àlsmede de voorwaerden der Verkoo- ping berusten ten kantoore van gezegden Notaris BOEDT, t'Yper Lombaerd straete n" 19. r) Eli zegge het voort. en andf.re BY DE DORPPLAETS VAN LANGEMARCK. rrarr Met zes maenden tyd van betaelinge voor de prirtcipaele koopsommèzullen 'er ter hofstede en medegaende landen gebruikt door Sr Joannes- Franciscus De Lie gelegen noord by de plaets van Langemarck, gehouden worden de naerschre- ven Kooipdagen, te weten i° VRYDAG 27" JUNIUS 1851 ten 3 uren na middag, van. twee hectaren alderbeste HOOY- GRAS, verdeeld in 6 koopen. Eu 2-» DINSDAS i5*n JULIUS i85i, ten 1 uren na middag, van 6 hectaren 17 aren TERWE. 2 00 ROGGE. 1 76 BOONEN. 1 5o HAVER. 1 5o VLAS. Voorts van Twee Werkpeêrden met tuig; 2 Wagens waer van een met breed beslag3 Di ie— wiel Karren, Kegge, Zoôle, 2 Ploegs, 5 Heegden, Hoeselaere, Aerdappel Ploeg en meer andere Goederen alsdan aentebieden. Nota De vergaderinge zal t'elhens ge~ schieden ter hu^jlaetse dito sieur De Lie. De koopen min verkogt dan zes francs alsook de bespreken van al de koopen zullen met den toeslag moeten betaelt zynin handen van den Notaris COMYN te Langemarck. (1) Eli zegge het voort. i°x h. 91 A. 98 c* VETTEGRAS deel van meerder partie groot in het geheele 2 h. 78 a. 69 c® dies het overig toebehoord aen de Kerken van S' Pietercappelle en Schoore, gelegen te S' Pieterscappelle sectie a n° 186, gebruikt door Sr Charles Louis Vanhoutte, palende van oosten en noorden aen het sebeegras leedeken van zuiden en westen aen den heer Vauderbeke- Dekringen.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1851 | | pagina 3