D'HUITRES ANGLAISES
MEUBELEN,
LAN DSTUIG,
AVIS
BEESTIAELEN,
BEESTIAELEN,
3
AUX CHIRURGIENS DE CAMPAGNE.
On peut se procurer chez
Toute espèce de Bandages herniaires, Sus-
pensoirs ordinaires et élastiques, Sondes,
Pessaires, etc., le tout un prix très-
modéré.
VERKOOPINGE
COMEYNE ZAET,
AERD'APPELEN, KLAVERS
TE WYTSCH AETE,
Op weinig afstand van Sl-Eloy langst de cal-
chiede na Waeslen.
DÉPÔT
CHEZ
!h I©,
Au prix de 5 fr. le 100, dater du 12
Septembre. (2)
ETUDE DU NOTAIRE T4.L7 33CZS
A Y PRES.
VERKOOPINGE
WAGEN HARNAS,
EEN goi:d peerdt,
TE PASSCHENDAELE,
RUIP EN KEERNE ALLAEM,
AAUtlMirUlta»
VEEL WIT HOOY EN STROOY
Wal van de Kerke.
dans l'espace de cinq ou six semaines, la Chambre
juge el se déjuge sans la moindre difficulté, et cela,
qu'on veuille le remarquer, sur une question des
plus fondamentales eu matière d'impôts.
Autre point, et qui sert de complément ce qui
précède: au mois de Mai dernier, sur la proposi
tion de Mr Dolez une majorité considérable adopte
un amendement en faveur de la société conjugale:
(il s'agit toujours de la loi sur les succession). Or
Mr Frère, qui ne fait jamais une chose demi, fait
signifier nos représentants que l'adoption de cet
amendement lui déplaît; bien entendu que la
Chambre se retracte encore une fois de la meil
leure grâce du monde. C'est le 1" Juillet qu'elle a
subi ce nouvel affront.
Certes en beaucoup de circonstances la majorité
s'est montrée trop complaisante aux exigences du
triumvirat ministriel: mais jusqu'à ces derniers
temps du moins, elle avait pris au sérieux son rôle
de législateur; elle s'était toujours permise de dis
cuter, voire même de modifier ou de rejeter les
projets du cabinet. M* Frère notamment est venu
la désabuser sur ce point, et lui a fait comprendre
qu'il demandait non des discussions et des discours,
mais des votes.
Inutile de dire que depuis la glorieuse date du
28 Juin la majorité s'est montrée entièrement 'a la
dévotion du ministère. Aussi s'est-elle bien gardée
de discuter sérieusement les projets ministriels,
encore moins de les diviser ou dé les amender.
Quant b l'opposition, elle la laissait crier et élonF-
fait la voix de ses orateurs sons le bruit de con
versations inconvénantes puis b fin de compte,
elle prononçait violemment la clôture de la dis
cussion, et votait en silence des mesures que sou
vent la plupart de ses membres avait repoussées
toute leur vie. N'est-ce pas là l'histoire exacte de
ce qui] s'est passé lors de la discussion sur les di
vers projets de travaux publics soumis cette année
a la législature? Il est vrai qu'il ne s'agissait que
d'une simple bagatelle de quelques millions de
plus a puiser annuellement dans la poche des con
tribuables. El ce sont, veuillez le remarquer, les
bruyants partisans des économies, qui mettent le
plus d'empressement 'a voter de gros millions.
Voilà des faits puis maintenant que ceux-lb
mêmes qui ne rougissent pas d'avilir et de dégrader
la majorité du pouvoir par ces ignobles trafics,
viennent b tout propos nous parler de la moralité
et de la dignité de ce même pouvoir, cela peut
prouver seulement une chose: qu'il est des gens
chez qui l'effronterie n'a pas de limites. N'est-ce
pas une chose étrange: voilà que le gouvernement
représentatif, tel qu'il a été formulé par les pnbli-
cistes modernes, existe peiuechez nous dans toute
sa plénitude depuis une vingtaine d'années, et déjà
nos grands hommes d'état au lieu d'employer tous
leurs soins b le faire prendre racine dans les en
trailles de la nation, semblent avoir b cœur de ne
perdre aucune occasion de le rendre odieux. Eh!
Messieurs, prenez y garde, je vous prie. L'art de
gouverner ne consiste pas précisément b exploiter
un peuple et ses institutions au profit des mau
vaises passions. A cet égard l'histoire pourrait offrir
au besoin des exemples fort remarquables.
Par arrêté royal du 6 septembre 1851 le lieu
tenant-colonel Jacqmin, commandant de place de
deuxième classe b Ypres est nommé colonel com
mandant de place de première classe.
On lit dans le Courrier de f Escaut (Tournay):
L'honorable M. Dumon-Dumortier continue
recevoir les preuves les moins équivoques des
nombreuses sympathies que son dévouement aux
intérêts de l'État excite parmi tous les hommes
d'intelligence du grand parti de l'ordre.
Quoique retiré b sa campagne, située b quel
ques kilomètres de Tournay, il ne se passe pas de
jour qu'il ne reçoive d'éminents visiteurs. Avant-
hier, c'était le Ministre de la guerre qui arrivait de
Bruxelles dans ce but et peut-être aussi pour con
férer avec l'honorable président du Sénat sur les
éventualité de la dissolution de cette Assemblée;
quoi qu'il en soitM. le Ministre a accepté l'invi
tation b dîner qui lui ont fait M. et M™" Dumon et
ce n'a été que très-tard dans la soirée qu'il a pris
congé de ses honorables hôtes.
Hier (lundi) notre digne bourgmestre a reçu,
en son absence, une autre visite qui nous paraît
mériter également une mention particulière. Un
de nos plus honorables citoyens est allé pour féli
citer notre sénateur qu'il n'a point trouvé chez, lui,
'quoiqu'il l'y ait attendu assez longtemps, désirant
lui exprimer combien l'acte de courage et de haute
intelligence qui avait amené la dissolution du Sénat
était pour notre pays et peut-être pour tous les
pays constitutionnels une immense service public.»
rrîiii(,)8t,)i
Qn lit dans une feuille de celle ville que les deux
notabillités industrielles dont le Messager du ca
binet a vanté avant hier l'adhésion b l'adresse
ministérielle, sont le premier un étranger b la ville
qui livre du papier b la gazette du ministère, le
second un ex-tailleur du régiment. Joignez b ces
illustrations le nom de celui qui figure presque b la
tête de la liste et qui doit au gouvernement 166.470
francs, el jugez du mérite d'une aussi ridicule ma
nifestation quidans une ville de 108.000 âmes
ne trouve que 36 adhésions! (Organe.)
ÉTAT-CIVIL DE LA VILLE D'YPRES
Bu 9 Septembre au «3 Inclus.
NAISSANCES.
Du sexe masculin, 4 t
rv c o Total, ia.
Du «••xe féminin S
Un mort-né du s«xe masculin.
MARIAGES.
I. "Wonts, Jeau-I ucieii.]?«Hitçoisâgé de 4$ roaçma, et
Vanhoucke, Paulin.-Eugénie, âgée de 'i i ans, repasseuse.
1. Gryff'ii Charl. s-Désiré. âgé de q3 tus, cordonnier, et
Vauacker, Julie-Désiréeâgé.- de 19 ans, dentellière.
DÉCÈS.
1. Sauvage, François- Antoine, âgé de 76 ans, sans profession,
veuf <le Marie Françoise Rhid-uq, époux de Calhéiiue-
Constance Griuimonpivzrue de fbxninde.
a. Dsbonnet, Pierre Jean-Joseph âgé de 66 ans, journalier,
oélibatdire rue de M.-iiiu
3. SchillewaerlMaiie, ée de 3o ans. journalière, épouse
cPEugéhe LiéFKooghe, Marché aux-Hétes
4. HugliehaertPierre-Jeanâgé de ho ans, forgeronépoux
de Thérèse-Dorothée Ooghe, S1 Pierre lez Ypres.
ENFANTS AU-DESSOUS DE 7 ANS.
Masculin 1
Féininiti. 3
Total4-
PHARMACIEN,
RUE DE 91 EN IN A YPRES,
VAN
F.N TAIÏ
-t-o-t-
Woensdag 1" October 1851teu 12 uren
s'middags justter hofstede bewoond door
Jacobus Derycke, zal'er venditie gehouden wor-
deu van eenen WindmoleuKarleelBrankaerts,
Cuvelot, Kuipeu, Standen, Keerneen andere voor-
werpen. Voorts van 56 aren Aerd'appelen, 17
aren Klaver van de 2" snede, hel Zaed vau 36 aren
Comeyoe, mitsgaeders van 6 Koeyen, 2 Veersen,
2 Jaerliogen, 2 Kalvers en 2 Zwyns.
De verkoopioge geschied met tyd van betaelinge
mits goede en wel bekende mede koopers te stellea
en aen de conditien te voldoen.
(1) Elk zegge het voorts.
PRÈS DO MARCHÉ AO POISSON,
i» A LOUER une belle MAISON, JARDIN,
ÉCURIE et MAGASIN eu ville;
2" A VENDRE DE GRÉ A GRÉ, une très
belle FERME, de 2 1 hectares 79 ares i5 centiares,
située dans l'arrnndisspmeut. (3)
VA»
RUIP EN KEERNE ALLAEM,
HOOY EN STROOY EN VAN AERD'APPELEN
BT HET GEHUGHTE DE BOSSELHARKT.
DONDERDAG 25'" SEPTEMBER .85t ten
1 ure naer middag just, op de hofstede gebruikt
door Pieter Vanhoverbekczal 'er Venditie ge
houden worden van hel Kuip eu Keerne Allaem,
1 Waegen, 2 ftarren, Aelkuipen, Standen en Kui
pen, veel wil Hooy, conieyne Strooy, een goed
Peerdt met zyn tuig, 5 goede Koeyen, 1 Schot-
veerse, 2 Jaerlingeri, 3 Kalvers; voors van omirent
88 aren Aerd'appelen.
De verkoopiug geschied met tyd van betalinge,
mils goede en welbekende medekoopers le stellea
en aen de conditien te voldoen.
(1) Elk zegge het voorts.
VERKOOPINGE
VAN
ALLE SLAG VAN
E1V VAI
TTI ®0©K H ©(LU(§©[rfl y
Dinsdag 5o,n September 1851 met middag
just, zal'er ter hofstede bewoond door.Joannes
Baptiste Beernaerdt Venditie gehouden worden
van: aile slag van Menbelen en Huisraed, eenea
schoonen Keerne, Room en Melkkuipen, Botter-
mynne, Standen, Spaen, Vorken, Greepen, Drie-
tanden, Mesthaeken, Koolstekke, Hommelstekke,
Windmolen, en tneer audere voorwerpen, voors
van eenen schelfgoed Hooy, veel Strooy, omirent
de 2 hectaren Aerd' appeleo en andere Veldvrug-
teh, en van 6 zeer goede jonge Koeyen, 3 Jaer-
lingen, 4 Kalvers, en 3 Zwyns, voors van eene
schoone partie nieuwe Hommel, en van omirent
2000 Hommel Perssen.
Deze Verkoopinge geschied met tyd van beta
linge mits goede en wel bekende borge of mede
koopers te stellen en aen de conditien te voldoen.
(1) Elk zegge het voorts.