OVERSLAG SGHOON GROOT HU7S, EN, PEEIIDE STAL, BIENS PATRIMONIAUX A. Van eene HOFSTEDE groot 11 hec- taren 82 aren 85 centiaren gelegen te Reninghelst, by het gehucht de Clytte, gebruykt door sieur Chari.es Leuridan, lot Bavo i852. Ingesteld 28,500 francs, boven 2,531 francs voor Boomprys. Ingesteld 1,100 francs, boven 640 francs voor Boomprys. OVERSLAGzonder verder uylstel28e" OCTOBER, i85i, ten 4 uren naer mtddag, in de 5 Koningen le Ypren, (i) Staet maer op 7,050 francs. Près le hameau dit S' Quentin. Mise prix 1,600 francs. Hameau dit S' Quentin. Mise prix 5,400 francs. Masse des 1er et 2™° lots 7,000 francs. Mise prix 3,220 francs. Mise prix 500 francs. Mise prix 3,750 francs. Mise prix 1,120 francs. Mise prix 1,750 francs. Mise prix 7,200 francs. Mise prix seulement 17,600 francs. COMMUNE DE WYTSCHAETE. Mise a prix 3,400 francs. main matin le malheureux mourait des suites de son acte de forfanterie. Un homme essayait d'enlever avec ses dents, un bouchon en liège qui fermait une bouteille en grès pleine de bière. Tout coup le bouchon saute, chassé par la tension du gaz acide carbonique, pénétre violemment dans l'arrière gorge du mal heureux buveur, et va se loger profondément dans l'œsophage. Des secours lui furent immédiatement administrés par un médecin mais ce fut en vain. Le malade fut transporté l'hôpital de Portsmoulh (Angleterre), où ou lui pratiqua l'œsophagotomie. Ou parvint k retirer un bouchon qui n'avait pas moins de 6 centimètres et demi de circonférence. Le Médical Times, auquel nous empruntons ce fait unique, ne dit pas si le malade fut sauvé. On lit dans un journal de Mons On annonce que Mm" la comtesse Lydie de Bocarmé est venue s'installer Bruxelles où elle se dispose a passer l'hiver avec ses deux petites filles son jeune fils est toujours en pension Tournai. Le fait suivant mérite d'attirer toute l'atten- lion des médecins, afin d'éviter un nouvel exemple des déplorables suites qu'il a eues. Mu° Sidonie Froment, demoiselle de comptoir de l'établissement de bains de la place Saint-Geor ges, Paris, s'étant rendue, il y a quelques jours, dans le faubourg Saint-Germain, accompagnée de sa sœur, se trouva prise d'uoe indisposition subite. Elle reçut dans un magasin les quelques soins que réclamait son état, et y fut saignée au bras droit par un médecin que le hasard amena en cet endroit et que l'on n'y connaissait pas. Le lendemain, Mu" Froment éprouvait une douleur assez vive dans le bras sur lequel avait été pratiquée la saignée, mais elle l'attribua k un peu de fatigue résultant de trop d'exercice donné ce membre. Pourtant, deux ou trois jours après, uue enflure considérable se déve loppait et envahissait tout le bras avec accompa gnement de douleurs de plus en plus intolérables. Le docteur Pappelé, reconnut dans le mal dont était atteint la demoiselle Froment, une flébite qu'avait dù occasionner la piqûre de la lancette, cet instrument ayant sans doute servi antérieurement saigner uu individu atteint d'une maladie contagieuse. Le cas était des plus graves, sur tout cause du retard qu'on avait mis a conjurer le mal. Le doc teur Ps'adjoignit quatre de ses collègues; l'am putation du bras fut aussitôt résolue; mais il était déjà trop tard, le mal avait dépassé l'épaule et en vahi la poitrine. La pauvre malade n'a pas tardé a rendre le dernier soupir au milieu des plus atroces souffrances. FRANCE. Paris, 16 octobre. M. le Président de la République n'a chargé personne encore du soin de former un cabinet et, tout entier la rédaction de son message, n'a fait d'ouvertures h personne au sujet de la reconsti tution du cabinet. Ce ne sera, dit-on, qu'après l'achèvement du message et lorsque ses termes se- aout arrêtés, que M. le Président composera le ministère qui devra en soutenir la politique. D'ici la toutes les suppositions, tous les on dit, ne seront que des jeux d'esprit destinés a amuser le badands et les fiévreux qui ne veulent point tout prix qu'on les laisse tranquilles. Corresp Dans la soirée du 5 septembre,h il heures, le commissaire de police de Lavolte (Ardèche) re venait de faire sa tournée, lorsqu'au coin d'une rue, il essuya uu coup de feù. L'agent de la force publique riposta par deux coups de pistolets qui n'atteignirent pas le coupable. Ce misérable n'é chappera pas au juste châtiment qui l'attend. Il a été reconnu la lueur de l'amorce. D'ailleurs les indices les plus graves se réunissent, dit-on pour ne laisser aucun doute dans l'esprit des magistrats. L'empreinte des souliers, le fusil fraîchement dé chargé, des maculations de boue, en un mot, des preuves décisives s'élèvent contre le meurtrier. Cet individu, nommé M...., était la terreur de La- voulte. C'est un des hommes les plus mal famés du pays. La violence deses opinions politiques était bien connue; il prêchait ouvertement les doctrines socialistes, et maintefois le commissaire de police avait du dresser procès-verbal contre lui. Il a été conduit hier dans les prisons de Privas, et doit être traduit devant le conseil de guerre. Une certaine agitation a régné dans le fau bourg Saint-Antoine. La population paraissait alarmée des bruits répétés par plusieurs journaux sérieux tels que le Journal des Débats. Des pa trouilles extraordinaires, assez nombreuses, ont parcourus divers points de la ville, et leurs allées et venues, loin de calmer les inquiétudes, étaient fâcheusement interprêtées. Studie van den Notaris laUCÏSiT, te ReNINGHELST. Den MAENDAG 27" OCTOBER x851twee ueren namiddag fix, in d'herberg de Kroone1er plaetse van Reninghelst: En B. Van het VOSSE BOSCH groot 76 aren 60 centiaren, met de Tallie, Plantsoenen, dobbel en eukel Zaden daer op staende, gelegen te Reninghelst, by den Scherpenberg. Ten overstaen van Mr De Ghelcke, vrederegter te Poperinghe, door het ambt van gezegden No taris LUCIEN. Inlichtiugen te bekoraen by den Notaris VAN- DENBOOGAERDE te Poperinghe. (1) Studie van den Notaris LAMRIN, te Ypren. van een in de Sterre straet, N° 13, gebruykt door Louis Beun. ETUDE DU NOTAIRE Is^MSIIT, g®. Le SAMEDI 25 OCTOBRE 1851k l'hôtel de YÉpée Royale, Grand' Place Ypres, aura lieu 2 heures de relevée, Y ADJUDICATION DÉ FINITIVE de ci-après désignés COMMUNE DE NEUVE-ÉGLISE, xer LOT. Une partie de Terre a Labour, contenant .67 ares, 80 centiares, située près le cabarêt dit S1 Quentin, aboutissant k MM. Aile— waert, Poperinghe, Godtschalck, k Wervicq, Jean Vermeulen, a Neuve-Église, et aux enfants de Pierre Note. Occupée avec le 2m° lot par Trioen-Vanuxem, cultivateur k Neuve-Église, pour 9 années com mencées le i,r Octobre 1847 au prix de 200 fr par année, outre les contributions. COMMUNE DE PLOEGSTEERT, 2m" LOT. Une belle et bonne partie de Terre a Labour, contenant 1 hectare, 74 ares, 20 centiares,aboutissant MM. le vicomte Duparc, k Louvaiu, Charles Vanhée, k Ploegsteert, Jeau Lesage, a Wulverghem, Demunck, k S' Nicolas, et Allewaert, susdit. 3m° LOT. Une bonne Pâture, contenant, 1 hectare, 28 ares, 3o centiares, aboutissant k MM. Lebon, k Lille, Demunck, susdit, et Auguste Ghes- quière, k Annentières. Exploitée avec les lots 4, 5, 6, 7 et 8 par Au guste Desramautpour 9 années qni prendront cours le 1" Octobre t85i, au prix de 600 fr. par an, outre les impositions. 4n" LOT. Une très bonne partie de Terre a Labour, contenant 25 ares, 90 centiares, abou tissant k MM. Son-Roch Pourcelles, cultivateur a Ploegsteert, Allewaert, susdit, Ferdinand Bo- delet, Ernest Baert et Charles Dewulf. 5m° LOT.Près du précédent, une partie de Terre a Labour k peu près quarrée, contenant 1 hectare, 43 ares, 60 centiares, aboutissant aux dits MM. AlleWaert, Bodelet et Godtschalcket k M. Vermeersch, notaire k Neuve-Église. 6""' LOT. Près du 5ma lot, une partie de Terre a Labour, contenant 47 ares, 20 cen tiares, aboutissant aux dits MM. Allewaert, Duparc et Bodelet et k la veuve Werquink Ploegsteert. 7mo LOT. Près du lot précédent, une bonne partie de Terre a Labour, contenant 66 ares, 5o centiares, aboutissant audit notaire Vermeersch, au sieur Ignace Vanderschool, cultivateur k Neuve- Église et k D"' Bieswal, k Bailleul. S"10 LOT. Le nombre de 2 hectares, 61 ares, 98 centiares de bonnes Terres Labourables, aboutissant au sieur J.-B. Coupey, cultivateur k Neuve-Église, k MM. Godtschalck, Vanderschoot et Vermeersch, et k Mma la veuve Capron-Van- craeyelinghe, k Ypres. Les Lots 3, 4, 5, 6, 7 et 8 contenant ensemble 6 hectares, 7 3 ares, seront aussi exposés en une seule Masse. gmo LOT. Le nombre de 1 hectare, 91 ares, 25 centiares de Terre a Labour et Fré, abou tissant au sieur Philippe Vandermeersch, rentier k Messines, M. l'avocat Ghesquière, Séraphin Lan- mosnier, k Bas-Warnêton, Virginie Decroist et Michel Menu, tous deux k Wytschaete.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1851 | | pagina 3