INSTEL MEUBELEN, mm ALM, HUIZEN EN ERVEN, VRUGTEN TE VELDE Màasànrip&B» On sait que le Conseil provincial de la Flandre occidentale vient d'appeler M. Ern. Merghelynck aux fonctions de secré taire. Cette place, apanage ordinaire d'un des membres les plus jeunes du conseil, ne constitue en réalité qu'une corvée gê nante, sans compensation d'honneur. Aussi, est-ce par bonheur qu'un person nage s'est rencontré, assez avide de petites places, pour accepter une ingrate fonction dont personne ne veut. Le Progrès ce pendant s'efforce de dépeindre ce fait com me un événement extraordinaire, et de métamorphoser en une sorte de pronun- ciamento libéral la nomination de M. Ern. Merghelynck aux modestes fonctions de secrétaire provincial. 11 y a une dizaine de jours, nous avons démontré qu'il était de la dignité de M. Van de Velde, président du tribunal de Furnes, de donner des explications sur les laits que lui imputait une feuille de Dix- mude. Il y avait là un dilemme que le magistrat ne peut récuser: ou il a été ca lomnié par le Bolerkuipje, et celui-ci doit porter la peine de son action; ou le Boterkuipje a dit la vérité, et M. le président du tribunal de Furnes a forfait la dignité inhérente son emploi. Pas de milieu; il y a un coupable dans cette affaire, et l'in térêt de la justice demande qu'il soit con nu. Nous ne l'ignorons pas, on a essayé de substituer les dires de l'Impartial aux ex plications de M. Van de Velde; mais nous n'avons que faire de la polémique de CIm partial: c'est M. le président du tribunal de Furnes qui doit entrer lui-même publique ment en scène, puisqu'on l'accuse de faire sournoisement le métier de la presse la plus honteuse. Malgré tout ce que le silence de M. Van de Velde et les assertions formelles, réité rées, circonstanciées du Boterkuipje ont de compromettant pour le premier magistrat de l'arrondissement de Furnes, il nous répugné encore de croire qu'il se serait avili au point d'appliquer les qualifications les plus ordurières ces paroles sublimes de Jésus Christ: Ile et docete omnes genles. (Allez et enseignez tous les peuples). Car le magistrats qui avilissait ainsi sa robe, serait indigne de siéger parmi ceux investis de la sainte maison de rendre la justice. Encore une fois, il faut que M. Van de Velde s'explique. Nous espérons que le gouvernement saura dans tous les cas, remplir son devoir: M. le ministre de la justice a toujours montré une trop grande sollicitude pour la dignité de la magistrature, pour qu'il se dispense d'intervenir dans cette occasion. (Patrie.) Studie van den Notaris BOEDT. ZATERDAG 16" JULY 1853, ten 2 ueren naer middag, in d'herberg St.-Andries op de Bolermarkt t'Yper, En 2° - Een partiekea MEERSCH op Pas 2 GOEDE WERKEPEERDEN Gemeente Zillcbeke. TE KOOPEN STAD YPRE. RYSSELSTRAET. Maer ingesteld 5,400 francs. 2" Een ander HUIS met grooten Kelder, spacieuse Erve en achter Gebouw, voor dezen ten dienste van Brotiwery, genaemd den Castanie- boom, gelegen uevens bet voorgaende, en getee- kend N° 156 Gebruikt door den eigeriaer sieur Charles Descamps tôt 1e0 January i854. Maer ingesteld 5,550 francs. Masse l" en 2'° koop maer ingesteld 9,000 francs. GEMEENTE WYTSCHAETE. i° Eene twee WOONST met 35 aren 26 centiaren Zaeiland, op Wytschaelelangst de straete van Wytschaele naer Hollebeke Ge bruikt door Joannes Huyghe. Maer ingesteld 725 francs. En 4" Eene twee WOONST met i3 aren* 5o centiaren Erve, op Wytschaele, langst de straete van Hollebeke naer Neerwaeslen Ge bruikt door Joannes Bautven en Louis Leroy. Ingesteld 600 francs. Masse 5en en 4e" koop ingesteld 1,525 francs. Den Absoluten Overslag zal gebeuren binnen Ypre, in de herberg het Zuide, in de Rysselstraet, ZATURDAG 16'" JULY 1853, om 5 uren namiddag, ingevolge de voorwaerden berustende len kanloorevan den Notaris te Ypre. (2) Suivent quelques phrases de déclamation. Puis l'écrivassier fait parler le Progrès eD ces termes Quoique vous fassiez, Monsieur le Curé, l'opi nion publique prononça sesartêis, dès ce jour elle a prouoncé son arrêt sans appel sur le fait inêtne que nous avions reproduit d'après la rumeur publique, etc. Nous n'avons qu'un conseil h donner ici au Progrès, c'est que s'il ne veut de rechef mériter l'épithèle de LACHE, il ait h s'abstenir de ces vagues et odieuses insinuations, et qu'il formule oettemeut sa pensée. Tous ces biais de langage sont d'un lâche et d'un menteur de profession. Plus loin nous trouvons cette belle phrase qui ne tend rien moins qu'à signaler le respectable pas teur de Locre l'animadversion publique Longtemps encore, quand vous passerez dans nos rues, le public s'arrêtera votre vue et, vous montrant au doigt, se dira voyez-vous là-bas, ce prêtre, c'est M- le Curé de Locre, ce Curé qui a poursuivi devant les assises, l'éditeur du Progrès, qui, s'il n'eut été acquitté, eut été jeté en prison, et alors tout le monde se dira longtemps encore c'est bien mal un ministre d'un Dieu de miséricorde de ne pas savoir par- donner Il n'en faut pas toujours davantage pour voir se renouveler les scènes dont Atb, Lou- vain etc. offrirent naguère le triste spectacle. Finalement l'épître moitié élégiaque, moitié comique du Progrès se termine par une espèce d'homélie, où la béate feuille prêche, comme cor- rollaire de la doctrine évangélique du pardon des injures, l'obligation pour tout chrétien d'endurer sans mot dire les affronts du premier venu. Voici un léger échantillon de cette rapsodie, amalgame repoussant de morgue pharisaïque et de sarcasmes voltairiens Enjîn Monsieur le Curévous devez le savoir, car vous Venseignez tous les jours, après la mort vient le jugement, et si Dieu est infiniment bon, il est aussi infiniment juste, que répondrez-vous quand le juge suprême en courroux vous demandera compte, vous, son ministre, de vos actions, de vos actes, que ré- pondrez-vons quand il vous reprochera vos péchés [et le juste pèche sept fois par jour), que réporiderez- vous alors Monsieur le Curé? Voilà certes une entre-parenthèse qui a son à-propos. Au demeurant, le Progrès le reserve pour le comte du Curé de Locre et de quelques autres car lui, le Progrès est impeccable, ou le sait; et la bérroite feuille se fâche toute rouge, si quelque médisant indiscret pousse l'outrecuidance jusqu'à lui trouver une imperfection. ÉTAT-CIVIL DE LA VILLE D'YPRES ■tu au S Juillet Indu*. naissances. Du sexe masculin, 5 Du sexe féminin, 2 j 0 a 7' mariages. 1. Maes, Joseph-Aniand, âgé de 3o ans, tailleur, et Vandenbriele, Pélagie-Sophie, âgée de 5a ans, lailleuse. 2. Caes, Pierre-Eugène, âgé de 54 ans, cordon- donuier, et Maes, Ursule-Florentine, âgée de 57 ans, dentellière. décès. 1. Cenninck, Sophie-Amélie, âgée de 7 1/2 ans, rue des Tuiles. enfants au-dessous de 7 ans. Masculin, 2 remiiJio, i° - Van eene partie BOSCH op Zonnebeke en Passchendaelegroot 5 heciaren 61 aren 5o centiaren, paelende van oosten M* Vandamme t'Yper en d'heer Chrisiiaen notaris te Passchen daele, Mr deo notaris Vandenneersch t'Yper, de kiuderen M' Plouvier, d'heer ReynaertPieter Rousseau te Moorslede, Joseph Goemaere te Pas schendaele en andere, geexploiteerd door Pieter- Francies Lefevre. schendaele, groot 48 aren 5n centiaren, paelende oosl het land van d'heer Auguste Grygny l'Y'per eu Joanues Ver Eecke te Passchendaele, gebrurkt door dito Pieter-Francies Lefevre te Zouuebeke. 1 p. 0/, voor Instel premie. (i) bv uitscheiding van bedrvf. VERKOOPIVG VAN en BINSEM DE Op D1SSENDAG 26- JULY i853, ten 9 nren voormiddag, zal'er opeubaerlyk verkogt worden, pp d'hofstede en laodeu gebrnikt door d'heer Thomas Fandermersch-Laumosnier te Zille- beke, de Meubeleu bestaende in Kassen, Sloelen, Tafels, Comodeu, Bedbakken,Koffers, Y'zer, Koper, Glas eu Gleischwerk Eeneu Wagen met breed beslag dienstig voor landbouwers en voerlieden, eene idem met smal beslag;2 goede Roinpeer- den, ieder oud 8 jaeren, met huntie Arnassure; mitsgaders 1 1 heciaren 5o aren Koorn en 4 hecta- ren Peerdeboonen, verdeell in koopen t'elks gerief. Nota. - Men zal des voormitldags verkoopen de Meubelen en Akker alin, des uamiddags de Peerden en de Vrugten te velde. Deze Veikooping zal geschieden met redelyken tyd van betaliug, mils stellende goede en wel bekende borgen en onder andere voorwaerden alsdan voor te lezeo. (1) Elk zegge het voorls. i° Een schoon HUIS, met groote Erve en spacieuse achter Gebnu wen voor dezen ten dienste van Catonette fabriek, aen den westkant der Rys- selstraet, N" i54 Gehruikt door siètir Louis Descamps- Ceriez tôt 1e0 Septemher 1853.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1853 | | pagina 2