BEESTIAELi, VRLGTEiS GRAND CAFÉ BELLE MAISON LOUIS DESRAMAULT MMS8 1KH, miïid, VERPACHTINGE FRANCE. Paris, 28 octobre. VERKOOPING EN FOURRÀGIEN Ti K!E[Kia[Kl©(H]ELiT. LE 25 NOVEMBRE PROCHAIN. Cetétahlissement,siluéà Tournai, Grand' Placen0 54, dans une des positions des plus avantageuses, et connu autrefois sous le nom de PALAIS ROYAL, présente la chance d'une grande vogue et permet par la location des Quartiers d'en tirer la ma jeure partie du loyer de la Maison. S'adresser pour les conditions M' De- levingne Brasseur Tournai. (4) A &D1SIR d'Estaminet Restaurant RUE DES CORR1ERS N* 2, Formant l'angle de la grande rue Saint- Jacques proximité de la station du Chemin de Fer. S'adresser M' Augustin Dumortier, brasseur rue aux Poids n* 8 Tournay. A l'honneur de prévenir le public, qu'il vient de recevoir un bel assortiment de JOUETS D'ENFANS pour la S1 MARTIN et la S' NICOLAS, des premières fabriques d'Allemagne et de France. Le tout un prix très-modéré. (3) OPENBAERE Binnen Pope ring lie. VRYDAG 4'° NOVEMBER 1853, ten 2 uren nainiddagin d'Afspanninge: het Groot SlJooris op de Groolemarkt le Poperinghe, zal er door het ambt van den Nolaris GHELEIN, resideerende lot 't zelve Pope ringhe, overgegaen worden tôt de Open- baere Verpachlinge voor negen na een voigende jaeren, van een HOFSTEDEKEN, KOORN WINU MOLEN, GRASINGEN en ZAEILANDEN toebehoorende aen de Bor- gerlyke Gasthuizen der slad Poperinghe, gelegen lot 't gemelde Poperinghe, Sleen- voorde, Teerdeghem, S'Jans Cappel, West- vleteren en Walou, volgens uitgegeven plakbrieven verdeelt in 16 Loten. De voorwaerden dezer Verpachtinge herusten ten kantoore van den boven ge- naemden Nolaris GHELE1N. En vente au Bureau de cette feuille GRAND ASSORTIMENT FABRIQUES DE LA BELGIQUE. Te koop ten Bureete van dit blad GROOTE SORTERING FABBIEKEN VAN BELGENLAND. pltts lard déjà mort, horriblement mutilé et le crime brise'. On e'crit de Pesth (Hongrie) le 16 octobre: Près d'Erlan, les vignes ont produit cette année en telle quantité, que l'on n'a pas assez de ton neaux pour la récolte, et qu'on a du laisser la moi tié des raisins aux ceps ponr «0 tonneau de la contenance de douze seaux, on offre vingt seattx de vin. Dans les environs d'Ofen, jamais, depuis quel ques années, la vendange n'avait été aussi abon dante. [Gazelle d'Augsbourg.) Chronique Judiciaire. La cour d'appel de Bruxelles, chambre correc tionnelle a, dans son audience d'hier, confirmé contradictoirement un jugement du tribunal cor rectionnel du Bruxelles qui condamnait le-docteur Crommeiinck deux mois d'emprisonnement, a 5o fr. d'amende et aux frais, du chef de contra vention b la loi sur le duel, pour avoir provoqué M. Louis Labarre, rédacteur en chef du journal la Nation. La cour s'est encore occupé, mais huis-clos, d'une autre affaire b laquelle le nom de M. Mdoc- teur Crommeiinck se trouvait aussi mêlé. Une correspondance adressée la Gazelle des Tribunaux lui transmet de nouveaux renseigne ments qui rectifient quelques erreurs commises dans le récit primitif de l'événement qui s'est passé dimanche dernier Cbâlons Il paraît qu'en effet le général comte de Nenilly, par suite d'avis anonymes qui lui étaient parvenus, avait conçu de graves soupçons sur la conduite de sa femme; mais ces avis ne désignaient h pas sur quelle personne devaient porter les soup çons; ou y parlait seulement d'un officier de la garnison que le général recevait souvent chez lai. Le général observa, et il ne tarda pas b comprendre qu'on avait voulu désigner M. de Laporte, capi taine d'état-major attaché b la 3* division, com mandée par le général Perrot. Cependant le général n'avait pas de certitude, et avant de faire un éclat il voulait acquérir la preuve que ses soupçons étaient fondés. Le capitaine de Laporte, qui avait obtenu un congé, devait quitter Cbâlons samedi soir. Le général recevait ce jour-la la réceplinu qui fut assez nombreuse. M. de Laporte y était veuu. Le général observa avec soia la couduile de sa femme et celle du capitaine; il surprit des signes d'intel ligence qui ne lui laissèrent plus aucun doute. A onze heures, on se retira. Le capitaine de g Laporte prit congé du général en annonçant qu'il allait quitter immédiatement Cbâlons pour se rendje b Vitry, où déjà sou domestique l'avait dévancé. Le général reutra dans son appartement et la comtesse dans le sien. L'appartement du général est séparé par plusieurs pièces de celui de la comtesse, dont la chambre a coucher communique d'uo côté avec le reste de l'appartement et de l'autre sur une pièce qui a sou issue sur un jardiu. Le général descendit dans ce jardin armé d'un fusil, et, après quelques momeots d'attente, il entendit ouvrir la porte, puis des pas qui se diri— geaiens vers l'appartement de la comtesse. Il se cacha derrière une charmille, mais il paraît que son mouvement fut aperçu par la personne qui s'avan çait, car elle s'arrêta et rebroussa chemin. A ce moment le général tira un coup de fusil, mais il put bientôt reconnaître que le coup, mal dirigé dans l'obscurité de la nnit, n'avait pas porté. Le général rentra alors dans l'appartement de la comtesse, et, après une assez longue explication avec elle, se retira dans sa chambre. >1 Le lendemain matin dimanche, avant 7 heures le général, avec uoe canne b la main, se présen tait b la demeure de M. de Laporte, qui était seul chez lui. Que se passa-t-il dans cette entrevue? M. de Laporte pourra seul en faire connaître les détails b la justice Mais quelques minutes s'étaient b peine écoulées qu'une double détonation sa fit enteudre, et l'on vit le général de Neuilly sortir sortir de la maison, pâle, chancelant, inondé de sang. a II fil environ cinquante pas dans la rue, et au moment où une femme qni passait s'approchait de lui pour le soutenir, il s'affaissa sur lui-i.ième en disant C'est le capitaine de Laporte qui m'a assassiné! Il fit comme un violent effort pour prononcer encore quelques paroles, et il expira. Ou a constaté sur son corps deux blessures; l'une b l'épaule gauche, l'autre dans la région du cœur. M. de Laporte, qui portait les traces d'uu violent coup asséné sur la figure, a éic d'arresta tion. Il a déclaré qu'au moment où le général est entré dans son appartement, il lui aurait dit Vous savez, capitaine, ce qui m'amène. Je le sais, généial. je me ineis b votre discrétion.» A peine M. de Laporte avait-il achevé cette réponse, que le général levant sa canne, l'aurait violemment frappé b la têie. C'est alors que, s'armanl de ses pistolets, il aurait fait feu nue première fois; mais le général revenant encore sur lui en levant sa canne, il aurait alors tiré son second coup de pis tolet. M. le colonel Lheureux, chef d'état-major de la division, est veuu immédiatement Paris pour rendre compte des faits au ministre de la guerre. Une information a été ordonné. Elle serr suivie devant le conseil de gueire siégeant b Mézières. Op DINGSDAG 8" NOVEM8ER t853, ten 12 uren s'iuiddugs, zal er opeubaerlyk verkogl worden, op het hofstedekeo gebruikt door Fran- ciscus-Ignatius Lamool, te Reuingbelst agter het gebuchte den Ouderdom, het voigende Eeue schoone Melkkoey, een Zwyu, eene kwan- titeit Karoten, Betterapeu, Aerdappeis, Erwteu en Braudhoul, goo Koorn schoven, 65o Boon schoven, eeue hoeveelheid Hooy eu Geley en tueer audete voorwerpeu. Deze Verkoopiog zal geschiedeo met gereed geld eu onder audere vooi vvaerdeu leu dage der Verkoopiug voorttelezeu. (1) Elk zegge het voorls. POUR VILLE DE TOURNAY. (iiainaut.) une A VDACiK RUE DE LILLE N° 5 a YPRES, (4) Elk zeg het voorts. DE DES PREMIÈRES EEXC VAN VAN DE EERSTE OUVERTURE ET FERMETURE DES PORTES DE LA VILLE D'YPRES, DU 1er NOVEMBRE 1853 AU 28 FÉVRIER 1854. Ouverture 5 iffc heures. Fermeture provisoire l|t heure». Fermeture définitive «O heure#*. Y près, I iiiprimerie-Libi airie de Désiré Uauihln-ltortler^ éditeur-propriétaire, rue de Lille, 10, pré# la Graud'Place.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1853 | | pagina 4