BOOMEN, HÀKHOUT
KOOPDAGEN
PLANTSOERO
3
ITALIE.
SCIIOONE EN ZWARE
TE M<DC£.
Maendao i3,n Februakius 1854 s' middags.
la composition de ces chambres dont la majorité est
en partie nltra-protestante, eu partie libérale dans
le sens de l'école qui veut la sujétion complète
de l'Église a l'État.
La Deutsche Folk thalle déclare tenir de
bonne source que le différend religieux dans le
duché de Bade n'est pas entièrement aplani, il est
vrai, mais qu'il n'est pas vrai non plus que toute
négociation ait été rompue.
Nous lisons dans le Journal de Mayence
On nous assure que l'apparition personnelle du
vénérable évêque de notre ville la cour de Carls-
rube a produit l'impression la plus favorable aussi
bien sur l'esprit du prince-régent que sur les mi
nistres. Sa Graudeur était descendue b la maison
de M. le curéelle n'a reodu visite qu'à S. A. R.
le prince régeut. Les chefs des départements de
l'intérieur et de l'extérieur, MM. deReidt et de
Wechman, ont eu une conférence avec Mgr de
Kettler dans la cure même.
L'ambassadeur de France n'a pas manqué de
présenter ses devoirs b ce digne prélat.
Le gouvernement badois a fait, dit-on, preuve
d'un esprit très-conciliant en vue d'un arrange
ment provisoire. Cet arrangement accordera des
concessions notables b l'Église. Le statu quo
qui a précédé les fatales ordonnances ministérielles
sera rétabli. C'est avec la cour de Rome qu'on né
gociera un arrangement définitif.
On lit dans le Journal de Rome
Le Ministre des finances de Rome a fait verser
b la caisse du Mont-de-Piélé de cette capitale
i5o,236 écus du papier-monnaie eulevé b la cir
culation. Celte somme, ajoutée aux t ,607,856 écus
déjb anuulés, constituerait un total de 1,658,092
écus de papier-mounaie retiré de la circulation et
détruit pour être remplacé par des valeurs métal
liques. On calcule que le chiffre du papier-mon
naie retiré de la circulation depuis le commencement
s'élève b 6,196,932 écus.
AFFAIRES D'ORIENT.
On lit dans le Journal des Débats:
Nous avons reçu hier nos correspondances de
Conslantinople, en date du i3 janvier.
Le dernier bateau arrivé de Trébisonde avait
apporté b Conslantinople la nouvelle de l'heureuse
arrivée des escadres dans la rade de Sinope. L'a les
forces se sont divisées: les transports turcs, au
nombre de six, ont continué leur route le 8 vers
Trébisonde et Batoun, escortés par le Charle-
magne, le Gomer, le Descartes (français), et
VAgamennon, le Sans-Pareil et le Terrible
(anglais). Le surplus des deux escadres est resté b
Sinope, le point le plus propice pour observer le
mouvement des Russes b Sébastopol.
Ainsi qu 00 le sait déjb, la Rétribution était
de retour de Sébastopol, où elle avait porté la no
tification des ambassadeurs de France et d'Angle
terre au prince Mentschikoff.
La Rétribution arrivant devant Sébastopol au
point du jour, par un épais brouillard, entra, sans
être aperçue par aucune des batteries, jusqu'au
centre du port; le brouillard ayant commencé b se
dissiper, elle fut signalée par tous les lorts a la fois,
et de tous on tira aussitôt des coups de canon a
poudre pour lut iutimer de s'arrêter. Étant arrivé
aussi avant qu'il pouvait le désirer, le comman
dant de la fregate s'empressa d'obéir b ces injonc
tions et jeta l'ancre.
Un canot avec un officier russe s'approcha
aussitôt, en informant le commandant anglais qu'il
n'était pas permis d'entrer aussi loin, lui signifia
de rétrograder. Le capitaine Dnimmond répondit
qu'il était venu avec la mission spéciale de remettre
aux autorités supérieures quelques dépêches. A
cela il fut répliqué que l'on ne pouvaii pas même
l'entendre jusqu'à ce qu'il eut quitté l'intérieur du
port et qu'il se fût retiré hors de la portée du canon
des batteriesextérieures; qu'il devait de suite lever
l'ancre, car autrement les règlements forceraient
de le couler.
Le commandaut assura, avec la plus grande
courtoisie, qu'il serait très-fâché de rien faire en
contravention aux règlements établis et en effet il
donna aussitôt ordre d'appareiller. Mais l'ancre
semblait tenir si bien au fond, qu'il fallut beau
coup de temps et d'efforts avant de pouvoir
déraper. Etant enfin parvenue b appareiller, la
Rétribution, marchant fort doucement, longea
toutes les fortifications avant de sortir, et alla
prendre au large le mouillage qui lui avait été
désigné. L'a uo officier russe vint le long du bord
s'informer du but de sou arrivée, et répondit que
l'amiral et le gouverneur étaient tous deux absents,
mais que l'on aurait tout le temps de les faire
avertir pendant que la frégate anglaise purgerait
sa quarantaine.
Le commandant refusa, disant que sa mission
se bornait 'a remettre ses dépêches, ce qu'il fit contre
reçu, et partit aussitôt pour aller rejoindre les
flottes combinées b Sinope. C'est la première fois
qu'un bâtiment de guerre étranger peut pénétrer
daus le port de Sébastopol, et il y a tout lieu de
croire que les officiers anglais n'ont pas seulement
examiné avec la plus grande attention toutes les
fortifications delà place, mais qu'ils eu ont aussi
levé le plan. Il n'y avait dans le port que cinq ou
six vaisseaux, la plupart désarmés; on est donc
actuellement certain qne la flotte russe ne s'y
trouve pas, et l'on prétend qu'elle est allée mouiller
a Théodosie ou Caffa, sur la côte orientale de la
Crimée.
On lit dans le Lloyd du 26 janvier Nous
avons aujourd'hui des nouvelles de S'-Pétersbourg
du 18. Le courrier porteur des propositions de
médiation de la conférence de Vienne n'y était
pas encore arrivé.
Les nouvelles télégraphiques de Krajowa sont
du 22. Elles portent que rien d'important ne
s'est passé dans la petite Valachie.
Des lettres de' Bncharesl, du 18, mandent
qu'une partie de la garnison de celte ville a reçu
le i5 l'ordre de se mettre en marche sur Olteoitza,
afin, dit-on, d'aller renforcer les troupes qui y sont
postées pour empêcher un passage du Danube par
les Turcs. Les troupes russes qui étaient, pendant
les mois de décembre et de janvier, postées a deux
ou trois milles du Danube, ont reçu, au moment
du départ du prince Gortschakoff, l'ordre de
gagner la rive du fleuve.
Le général Osten-Sackeo a établi son quar
tier-général 'a Belze, en Bessarabie. Une partie de
son corps d'armée est arrivée b Galatz. Le général
Gortschakoff est attendu au commencement de
février, de retour de son voyage d'inspection.»
On lit dans le même journal
Une lettre directe de Tiflis du 10 décembre,
porte que Kars est occupé par 25,000 hommes de
troupes turques, et que les restes de l'armée turque
s'y sont rassemblés. Le pays est dégarni de troupes;
mais les Russes ne peuvent eu tirer aucun avantage,
parce que la neige empêche toute opération. Ali-
Pacha (Ferik) que l'on accuse d'être cause des
pertes éprouvées par l'armée turque, a été arrêté
au moment où il allait s'enfuir avec la caisse mili
taire. Il a été transporté b Batoun.
La conférence de Vienne a encore siégé le 16;
mais cette séance a été la dernière, b ce que dit la
Gazette de Voss. Après la déclaration de la
Russie du i5 février, l'Angleterre et la France
ne pouvaient plus prendre part b la conférence, et
leurs envoyés l'ont déclaré. La Prusse et l'Autriche
sont maintenant lgs seules puissances médiatrices.
VAN
Ter hiernagemelde dagen en plaetsen, zal den
Notaris COMYNte Langemarck verblyvende,
houden de volgende Koopdagen van BOOMEN
waeronder veel schoone en zvvare Eyken, dienstig
voor schip, molen, timraer en ander werken,
toedies nog eene hoeveelheid Hakhout en Plant-
soenen ten nieerderen deele konnende dienende,
voor Lathout, te weteu
i° Te Langemarck by de Plaets: A.
Langsl den Poperingweg.
35 Popelicren, in 18 koopen.
B. In de garsiveide gebruikt door de kin-
deren Claudius Rigal.
i6Iepeu en 3 Popelieren, in 11 koopen.
C. In en langst de garsweide gaende met
d'herberg het Iioeksken.
i4 Popelieren, 6 Iepen en 22 Abeelen, in 23
koopen.
DAen t land genaemd Violette, gebruikt
door Joannes Van Exem, achter de hoving, land
en gars M. E lleboucll.
4 Popelieren, in 3 koopen.
De Vergadering ter herberg het Hoeksken.
2" Te zelve Langemarck weinig noord van
de Langemarck strate by d'herberg den Ilaeg-
boscli gebruikt door Franciscus Buckoye.
E. In eene partie bosch genaemd Vander-
baeghens bosch.
10 Eyken, in 10 koopen.
F. In Dubois bosch, houdende aen t behuisd
land Franciscus Samyn-Acket.
28 Eyken, 3 Abeelen en 1 Popelier, in 29
koopen.
3° Ter gemelde herberg den Haegbosch.
G. Het Hakhout met 34 Plantsoenen in eene
partie bosch groot omirent 72 aren,komende van
de famillie Boussemaere, gelegen te Langemarck,
houdende aen 't hofstedeken Pieter Ameel en den
bosch onder E hiervooren.
H. Het Hakhout met 71 Plantsoenen, i4 Espen
en x Listeboom in eeneandere partie bosch groot
ontrent 1 hectare, te Langemarck, houdeode aen
den Langenbosch en l'Iaod Jacobus Verstraete.
I. De Taillie toedies 65i Plantsoenen en al de
dobhel en enkel Zaden om ter aerden aftehouvven
staende in gemeld Dubois bosch, onder letter F
verdeeld in 4 bestekken.
Het ten noordkante langst het land Samyn-
Acket met 177 Plantsoenen.
Het2a'zuid daeraen met n3 Plantsoenen.
Het 3ie idem met i46 Plantsoenen.
En het 4d* met xi5 idem.