BOOM EN PLANTMGN EYKEN BOOMEN ANNONCES. DOMAINE DE LA GUERRE. ÉTAT-CIVIL DE LA VILLE D'YPRES itm, TE KOOPEN. Staet maer op 2,010 francs. Staet maer op 1,000 francs. Staet maer op 1,500 francs. PLACE D'Y PUES. Le Receveur des Domaines informe le public que le Jeudi, 22 Février 1855, dans une des Salles de la maison de ville Ypres; il sera procédé la LOCATION publique pour le terme d'une année prendre fin le 1" Octobre 1855des TERRAINS DÉBLAYÉS, provenant de la démolition des fortifications dë la place Ypres. Pour connaître les lots on est prié de recourir aux affiches. (3) RECHTBANK VAN i"« AENLEG TE YPEREN. Op de vervolgen van S' Pieter Vanbeule landbouwer gebuisvest te Vlamertinghe, eiscber by M,er Honoré Smaelen, by geregis- treerd uitvoerig verstek vonuis door niet verschyniug, is S' Jao-Bapliste De- hàeze, byzondere gebuisvest te Ypereu, den veertienden February 1800 vyf en vyftig onder voogdy in inlerdictie gesleld, voor aenboudenden staet van krankzin- nigheid. De avoué des eischers Enregistré Ypres le quatorze Février 1800 cinquante cinq, volume 24 folio 24 verso case l4re. Reçu deux francs vingt un centimes pour droit et additionnels, con tenant un rôle, sans renvoi. VERKOOPING zeer schoone Eikcn, Iepen, en Abeelen T!E WYTiûIHmiITriI,, - HERKWEERDIGE YENDITIE 67 KOOPEN REUSSI Op DINSDAG 27° FEBRUARY 1855, ten 12 ueren "s middags précis, zal men in het openbaer Verkoopen de volgende schoone, zwaere en zuiver Eyke Boomen, waer onder veele van 2 lot 3 meters dik, groeijende op twee partien Bosch het eene genaerad Heyde Boschlangst de Groene-straet, niet ver van het gehuchle de Pypegaele, eu het ander genaemd Vos- hol-Bosch, zuid-west by het voorgaende in de gemeente Reninghe, te weleii 1* In het IJeyde-Bosch, 27 koopeu. En 2° In het Voshol-Bosch, 40 koopeu. De Vergadering zal plaets hebhen op het Heyde-Bosch alwaer de Vendilie zal beginnen. dessous de Caub, le Rhiu est libre; près d'As- maonshaoseu et de Singer-Loch, la glace, pressée par les masses d'eau toujours croissantes, s'est élevée la hauteur d'une maison, de manière que de. la rive gauche du Rbin on ne voit plus les Biaisons basses d'Astnannshauzeo. La glace forme ainsi uoe écluse gigantesque qui empêche I écou lement des eaux, de sorte que celles ci oot atteint une hauteur qu'on ne leur avait pas encore vue depuis le commencement du siècle. a A Bingen, l'eau était de 7 25 pieds d'élé vation; et Rudesheim, elle pénètre dans les pièces du second étage des maisons. Près de Wal- lich, la glace se brisaot tout-a-coup et se précipi tant sur le rivage, a détruit une inaisoo et la moitié d'une allée de peupliers. Le froid ayant encore augmenté, 00 craint de grands désastres, car le Rhin ne forme, de Bibirich Biogen, qu'une masse de glace. .ti' Du t* au 10, Février Inclus. naissances. Du sexe masculin, 4 Du sexe féminin6 o a 10. mariages. 1. Mor refis, Félix Julienagi de 51 ans, huissier, et Leclcr, Marie Sophie, dgée de 18 ans, particulière. 2. Dubois, Léopold Jules, âgé de 22 ans, serrurier, et Fanhecke, Virginie Constance, dgée de "il ans, dentellière. décès. 1. Debacber, Jeanne-Thérèse, dgée de 77 ans, jardinière, veuve d'Ignace Gisquiere, rue de Menin. 3. Bamelis, Thérèse, dgée de 69 ans, journa- lière, veuve de Philippe Ferhelst, rue de Menin. 3. Tasseel, Horlense, dgée de 38 ans, dentel lière, épouse de Joseph Andries, Plaine- d'Amour. 4. Germonpré, Julie, dgée de 5g ans, repas seuse, veuve de Joseph Soenenrue de Fttger. 5. JoyeJean-Louis-Antoine, dgé de 77 ans, sans projession, veuf de Colette Walwein, rue de Lille. 6. De Gans, Barbe, dgée de 54 ans, dentellière célibataire, rue de Menin. 4 7. Nevejans, Horlense-Prudence, âgée de 35 ans, dentellière, épouse de Louis-Joseph Deleu, rue de Menin. 8. Breyne, Ange-Albertdgé de 5 o ans, te neur de vaches, célibataire, rue de Menin. enfants au-dessous de 7 ans. Masculin, 2 c T-. lotal, b. reinmm, 4 I aussi bien organisées que le permettent les circon stances. Mais eufin l'épreuve a été faite. La vertu lie s'est pas démentie au creuset de la tribulatiou pendant ces jouroées douloureuses pas une plainte, ma connaissance, n'est sortie de la bouche de nos soldats. Ah! ce qni me désespère, disait un soldat malade, c'est de penser que mes camarades sont au feu et que je ne partage pas leurs dangers. Pourquoi pleurer disait un officier supérieur h nu soldat auquel on venait d'amputer la jambe, vous guérirez; vous irez aux Invalides, ou bien vous aurez une pension du gouvernement jusqu'à la fin de vos jours. Non, dou, tnon colonel, ce n'est pas là uoe consolation, répondit le soldat. L'armée continuera s'exposer noblement pour la France, et je serai condamné l'inaction. Voilà mon malheur Un jour, après une action qui avait été mepr- trière, tous les docteurs étaient occupés panser GELEGEN "Doaoi- 1 i*Een HUIS in de Hondstraet, N" 6; laetst bewooud door sieur Judocus Fanhee. 2* Een HUIS op de Nieuwe Houtmarkl, N* 5 gebruikt door sieur Napoléon Fandevelde. 3* Een HUIS io de Lombaerdstraet, N* 16; gebruikt door sieur Martinus Dechièvre. Den OVERSLAG zal gebeuren bionen de stad Ypere, io de Estaminet bel. Parnassus Hof MAENDAG 26- FEBRUARY i855, ora 5 ureo 'savuuds, iogevolge de voorwaerden berustenjde ten kaotoore vanden Nolaris FAN DER ME ERS CH, te Yper. (4) d»«v s ns /OFîuii liici cl des blessures; ou avait déposé, un peu plus loin, un jeune sergeut de chasseurs pied, qu'une balle avait traversé de part en part. Il se sentait mourir je voulais le consoler. Ah mon Père! la mort ne me fait pas de peine, me disait-il je vieus de me réconcilier avec Dieu, je ne crains pas sa justice. Mais, au service, je pouvais, force de privations, économiser quelques pièces de monnaie pour ma vieille mère, qui est bien pauvre. Quand elle ne m'aura plus, elle sera dans la misère. Et uue larme tombait de ses yeux, et il priait pour sa tnère. Je lui fis dire pour elle uo Pater, et il mourut en prononçant ces mots: Donnez-nous aujourd'hui notre pain quotidien. Heureux fils et pauvre mère! Vous voulez me couper les jambes, s'écriait un jeune soldat auquel uu éclat d'obus avait fracturé les deux cuisses. Eh bien faites-moi souffrir le double, mais conservez-inoi l'usage de mes mem bres. Ce n'est pas pour moi, c'est pour ma mère! HONORÉ SMAELEN, - *i rfrel r. le receveur JOR1S. van MAENDÀÔ, 26- FEBRUARY j855, om 12 nreo roiddaç, zal den Notaris F A N D E R- ME E RSCHresiderende binnen Ypre, open- baerlyk verkoopen i* op de hofstede gebruikt door Carolus Boulon, laogst den steenweg van Ypre op Waesien, by de herberg den Jager 2* op de laoden, gebruikt door Jean Lagac.he, by deo Diependaele en 3® in den bosch de Leege Senne, op kleinen afstand van gemelden steeu- weg, 91 koopeo zeer schoone en ttvare Eiken, waeronder een Molenas, Iepen en Abeelen BOQ- MEN, mitgaders 108 PLANTSOENEN. (3) lté* SCHOONE EH ZWAERE te Et en prononçant ces dernières paroles, son ton prit un tel accent de douleur et d'amour filial, que le doQteur n'eut pas le courage de faire l'opération. 11 en laissa le soin 'a ses collègues et se retira tout ému dans une tente voisine. Il a demandé .au nom de sa mère me disait le médecin; ce nom, le cœur me manque. En vérité, mon Révérend Père, je n'aurais jamais crû qu'il fallût veuir en Crimée pour conuaître le coeur du soldat français. J'aimais beaucoup la France et j'aiuiais aussi beaucoup l'armée, moi Français, fils d'uo lieute nant-général des armées françaises; cependant, je sens que j'aime encore davantage et mon pays et son armée, par tout ce que je viens de voir. La maladie a été terrible, mais elle a en son tetnps; l'heure qu'il est, elle ne fait plus qoe de ces ravages très ordinaires dans tout pays où il y a nne nombreuse agglomération d'hommes. Pour être continué

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Le Propagateur (1818-1871) | 1855 | | pagina 3