WLEESCH. CAUSERIES TRIOMPHE DE MARIE, HUIS TE HEUREN, BEKENTMAEKING. &»s»s8!rs»aar« a NOUVEAU TESTAMENT TAJJlJtA'irA CHEMIN DE LA S"' CROIX, EN LEVERINGE i Dat men het voort zegge. de weéhki.ank Van den heiligen aen de kinderen van maria door Boone. met den 1* July 1855, Bolerstraet N° 75, nu gebruykt door JofP Debeaucourt. Voor verdere inliglingen zelve straet N" 49 TE ÏPEEEiY. (4) LITTÉRAIRES ET MORALES ou -LrTMMACULÉE CONCEPTION AU INITIE MIN] TA ©NI |g DE LA SALETTE. LES A. DE DAMAS. VA* (jr De Administratie der Godshuizen bionen deze stad zal VRYDAGE wezeude 4e" MEY i855, teo 3 uren namiddag in haere gewoone ziitiog Zael aenbesteden het noodig VLEESCH voor de slyting van bet Hospilael en bel Nazareth voor de nog achl loopende maeoden vao dit jaer. en vente air bureau de cette feuille c MÉDITAriONS POUR LE MOIS DE MARIE l'usage des aines intérieures par M. V. D., nou velle édition. MÉDITATIONS POUR LE MOIS DE MAI par J. B erse t. MOIS DE MARIE par un prêtre du diocèse de Belley. par Dé Bussy. dédié aux fidèles des Flan- déeS. paroissial pas M. l'abbé Laden. historique. on vie pratique de la S,#- Vierge par l'abbé Le Goil- lon. par no prêtre du diocèse de Malioes. populaire. du père Lalomia. t» de l'enfance. FORMULAIRE DES ENFANTS DE MARIE. CHANTS A MARIE pour le Mois de Mai et les Fêtes de la Sainte-Vierge avec musique. Le même sans musique. CANTIQUES POUR LE MOIS DE MARIE et les Fêles de la Saiule-Vierge avec musique. Le même sans musique. Y i TRIOMPHE DE MARIE. LES GLOIRES DE MARIE, par Liguori. LES GRANDEURS DE MARIE, par l'abbé Duquesne. pelle les usages religieux. Hier, j'ai pu en juger par moi-même dans une circonstance tout-à-fait libre. A l'hôpital de Péra, chaque dimanche la messe se dit h oeuf heures, et le soir, vers six heures, il y a une instruction avant la bénédiction du Saint-Sacrement. Le clairon annonce ces deux exercices, et les volontaires s'y rendent selon leur fantaisie. Je ne vous dirai pas la satisfaction qne j'ai éprouvée lorsque, du haut des marches de l'autel où je devais parler, j'ai vu la chapelle se remplir d'une foule de malades, parmi lesquels les offi- ciers se trouvaient coufondus avec les soldats. Les uns se trouvaient appuyés sur le bras d'un ami charitable, les autres marchaieol avec des bé quilles. C'était bien touchant! Aussi, avec quel bonheur j'ai épanché mon âme devant ces volon taires de la religion comme ils m'écontaienl avec respect et comme nous faisions ensemble un de ces échanges de sentiments chrétiens qui ne se tra duisent pas en paroles, mais que tous les cœurs bien nés savent comprendre! On m'a raconté que la nuit de Noël avait été témoin d'une scène autrement émouvante. Un graud uotubre de malades avaient demandé et ob- MÉDITATIONS SUR LES PRINCIPAUX MYSTÈRES DE LA S«*-VIERGE. VIE DE LA S1*-VIERGE, d'après les Médi tations d'Aone-Calberine Emmeriob. LA VIERGE, histoire de la Mère de Dieu, par Orsrai. L'ÉCHO DE LA SAINTE MONTAGNE, visitée par la Mère de Dieu. FLEURS DES FÊTES DE LA REINE DU CIEL, par l'abbé Guérin. PIEUX TRÉSOR DES MEMBRES DE L'AR- CHICONFRÉRIE DU TRÈS SAINT ET IM MACULÉ COEUR DE MARIE. DÉLICES DES ENFANTS DE MARIE. NEUVAINE AU TRÈS-SAINT ET IMMA CULÉ COEUR DE MARIE. LES VERTUS DE MARIE, par Liguori. DE LA MÈRE DE DIEU, par le R. P. Arias. UNE JOURNEE A MARIE, par le Père Géramh. RÉCIT DE L'APPARITION DE LA S"- VIERGESUR LES MONTAGNES DES ALPES. AUX ENFANTS DE MARIE par le Père Boone. IMITATION DE LA TRÈS-SAINTE VIERGE par l'abbé L'OFFICE DE LA SAINTE VIERGE pour les trois temps de i'aouée. DE MAEND VAN MARIA door Debussi. door Muzzarelli. DE PAROCHÏALE MAEND VAN MARIA door Laden. BLOEMTUILKENS VOOR DE MAEND VAN MARIA, door Renard. HET LEVEN VAN DE HEILIGE MAEGD MARIA volgens de beschouwingen van Anoa- Calbarioa Emmericb. DE HEERLYKHEDEN VAN MARIA, door Liguori. f DE NAVOLGING -VAN MARIA- BERG BEZOCHT DOOR DE MOEDER GODS. N1EUW VERHAEL VAN DE VERSCHY- NING DER HEILIGE MAEGD OP DE AL- P1SCHE BERGEN. EENE WEEK AEN DE ALLERHEILIGSTE MAEGD MARIA. tenu de l'autorité la periuissiou d'avoir une messe de minuit. Or, ces hommes n'avaient pas voulu seulement assister la messe; ils avaient désiré prendre une part plus intime au sacrifice en se préparant.'a la communion. Rien n'était beau, me disait un témoin oculaire, comme de voir, sur la fin de la messe, l'aumônier distribuer le pain eucharistique, d'abord ceux qui avaient pu se tratuer au pied de l'autel, ensuite aux amputés et autres blessés qui étaient retenus sur leur banc et que le Dieu des malades allait visiter lui-même. Espérons-le, mon révérend Père, le passage des enfants de la Frauce travers les populations mu sulmanes ne laissera pas une moins bonne impres- siou qne celui de leurs devanciers. Le nom de Franc redeviendra populaire en Oiient, et cette poptilarité sera d'autaot plus solide qu'elle repo sera sur l'estime de la vertu. Je ne vous en dirai pas davantage pour aujour d'hui. Aussi bien, le temps me presse. Je suis arrivé jeudi de la Crimée avec un convui de ma lades. Je repars demain pour retourner mon poste. Je vous dis adieu, presque au moment de le dire Constanlinople. Dieu veuille que mon récit intéresse vos lecteurs et tous ceux qui portent un sur QUELQUES CÉLÉBRITÉS ÉPISTOLAIRES PAR iïïflûntf tJtttt Uifrulift, Auteur de plualeur» ouvrages d'Éducation. Seconde édition. J-JJr sous le PONTIFICAT DE PIE IX, et la itâ du EN RÉFLEXIONS CHRÉTIENNES pour chaque jour db l'année PAR LE PÈRE C. iFrrg èr Itt ïlfuutllf. 2 volumes. du peints sur toile. si juste intérêt notre vaillante armée. Vous y verrez j'espère, qne si la confiance en Dieu doit nous donner de l'assurance pour le succès de notre cause, les moyens humains ne sont pas non plus négligés. Nous avons des malades, et quelle ag glomération d'hommes n'en a pas? Nous avons des blessés, pent-ou faire la guerre sans cela Si nous courons des dangers, c'est bien le cas de ré péter celte parole fameuse: A vaincre sans péril on triomphe sans gloire. Enfin, disons-le, s'il y a des souffrances, une autorité paternelle veille sur dous, et la Frauce se joint ses chefs pour adoucir les douleurs. Avec ces conditions et celles du moral de nos troupes et l'habileté de ceux qui sorti la tête, la victoire n'est-elle pas certaine Adieu. :-'j" De la Compagnie de Jésus, aumônier de l'armée d'Orieot. Yprès, Imprimerie-Librairie de neutre I.amhln-Vlttrdrr, édileur-piupriétaire, rue de Lille, 10, près de la Graud'Place.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1855 | | pagina 4