mmm, n velde, HOFSTEDE, MAEY GRAS ANNONCES. LA.NDBOUW-GEREEDSCIIA.PPEN STAET ÏIOG MAER 24,000 FR. PEIR D, 17AG-31TS, ZARRBXT PASSCHEND4ELE, FINAELEN TOESLAG OP PASSCHENDAELE. Op den 50" JULY 1855, ten 4 ueren namiddag, ten Huyze van Gemeente, te Passchendaele, zal door den Notaris CHRISTIAEN gedaen worden, den TOE SLAG, zonder uytstel van eene schoone en goede HOFSTEDE, groot in Erve H. 12-11 94, gelegen op Passchendaele, ge- bruykt, door de kinderen Goemaere. De condilien en titels by dito Notaris. VERPAGTING Il est venu h Marseille quelques navires américains fort remarquables de structure et par leur tonnage. The Great Republic, de New- York, de 3,5oo 4,ooo tonneaux, est le plus con sidérable; il a pris k son bord 46o chevaux, 800 hommes et 3,000 tonnes de matériel. Ce navire, voiles et h quatre mâts, avait une disposition nouvelle de voilure qui a été fort appréciée et étudiée par les gens de l'art. Le 9 juillet, vers onze heures du matin, une décbarge électrique a eu lieu sur les fils télégra phiques de Paris h Orléans, k 4oo mètres environ delà station de Château-Gaillard vers Artenay, k sept kilomètres de la grange de la magnifique ferme incendiée au même instant par la foudre. Trois poteaux ont été brisés et les porcelaines sur les quelles roulaient les fils, ont volé en éclats sur la voie. Le fluide, parcourant les fils, est entré dans le bureau du chef de gare, en faisant nne explosion épouvantable. Son cours a été arrêté par le para tonnerre, dont il a noirci et quelque peu émoussé les dentures de la touche de terre, sans pourtant les avoir endommagées; Les aiguilles des deux bousso les ont été mises hors de service. On lit dans la Gazette de Lyon La semaine dernière, un centenaire de cent vingt et un ans, cooduil par ses deux neveux, a traversé notre ville se rendant en Savoie, son pays natal. Cet homme a passé quatre-vingts ans au bagne. Ses neveux sont allés le chercher k Orgon, et il leur a abandonné pour le temps qu'ils auront k le soigoer le revenu d'une petite propriété qu'il possède en Savoie et dont il n'a tiré aucun intérêt depuis cent ans. Le corps de cet homme est telle ment plié en deux, que sa tête touche presque ses genoux. Du reste, il est bien portant. acte officiel. Par arrêté royal du 12 juillet, une somme de 3,95o fr. est accordée aux comices agricoles de la Flandre occidentale. nominations ecclésiastiques. M. De Breuck, vicaire k Belleghem, est nommé vicaire de la paroisse deS,0-Anne, k Bruges. M. Calleus, professeur k l'école normale de Thourout, est nommé vicaire de la Madelaine, k Bruges, en remplacement de M. Mansureel, qui a donné sa démission. M. Venein, vicaire de la paroisse de Sl<,-Anne k Bruges, est nommé curék Moorseele. M. Meurisse, ci-devant coadjuteur k Marcke- ghem, est nommé vicaire k Zarren. M. Willemyns, vicaire k Vlamertingheest nommé aumônier de la garnison de Bruges. doute, c'est le sort des populations chrétiennes de l'empire ottoman. Il ne comprendrait pas que l'on pût arriver k nue solution k cet égard sans le concours de l'Autriche. Il suppose que la Russie est destinée k être vaincue comme elle l'a déjà été; il admet, il a pleine confiance que Sébaslopol sera pris et détruit, mais il se demandece que l'on fera ensuite. On a dit que nous n'avions pas de garanties que la Russie exécutât les conditions que l'Autriche proposait. Mais, selon l'orateur, il n'y a pour l'avenir qu'une garantie efficace; il n'y a qu'une seule limitation qu'on puisse imposer k une grande nation quand elle est vaincue et humiliée; celte garantie consiste uniquement dans la conscience de sa propre faiblesse. Or, cette conscience, la Russie, quoique vaincue, ne l'aura jamais tant qu'elle nô verra pas l'Autriche alliée étroitement et d'une maniéré solide et permanente avec les puissances occidentales. L'orateur demande k faire observer qu'en An gleterre, quoique l'opiniou y fut fort irritée contre 1 Autriche, le gouvernement s'est montré prudent daus sou langage. Le 26 juin dernier, lord Cla- M. Vincari, vicaire k Calcken, a été nommé vi caire k Grammont; M. De Ryckprêtre au sémi naire, a été nommé vicaire k Calckeo. M. Joole, vicaire k Roulers, est nommé vicaire k Belleghem. M. Beelprez, vicaire k Lichtervelde, est nommé vicaire k Vlamertinghe. chronique judiciaire. A l'audience du tribunal de simple police de Charleroi, du 7 de ce mois, il s'est élevé un inci dent regrettable. Un officier supérieur appelé en témoignage dans une affaire relative a une rixe, s'étant présenté le sabre au côté, M. le juge de paix l'invita k se désarmer, d'après l'usage suivi devant les cours et tribunaux, comme marque de déféreoce envers la justice. L'officier crut pouvoir, aux termes des règlements militaires, se refuser d'obtempérer k cette invitation, et comme M. le juge de paix insistait, il se relira. M. le juge de paixfaisant application d'une disposition du code de procédure civile sur la police des audiences, condamna l'officier a un emprisonnement de 3 jours du chef d'irrévérence grave, dit le jugement. L'affaire vient d'être déférée au tribunal cor rectionnel de cette ville, siégeant en degré d'appel. Elle est fixée k l'audience du 16 de ce mois. L'arrêté royal, faisant partie desrèglements mili taires dont il est question plus haut, est ainsi conçu: Arrêté royal du 1" septembre 1821 Avons arrêté et résolu de statuer que les officiersmilitaires appelés k comparaître pour déposer devant les cours et tribunaux, ne pourront être astreints k quitter leur épée ou sabre, lorsqu'ils se présente- root en uniforme pour faire leur déposition, a 1 =a BY STERFGEFAL. van en verdbrb op ZVYD-WEST VAIV HET DORP. oao'îînt. Op WOENSDAG 25° JULY 1855, le beginnen met deu middag zal den Notaris CHRISTIAEN, ten verzoeke en behoeve van de kiuderen van wylen Joseph Goem\kre, ter hofstede, door hun gebruykt, op Passchendaeleznyd-west van de kerk, by opeubaere Vendiiie verkoopen rendon, Ministre des affaires étrangères, disait devant la Chambre des Lords que l'Autriche était une puissance grande et indépendante; que nul n'avait le droit de lui rien prescrire; qu'il fallait montrer uue grande déférence envers cette puis sance et tenir compte des difficultés de sa situation. L'honorable membre reniai que encore que, dans ce même discours, le ministre anglais, parlant sans doute comme organe de l'alliance anglo- française, déclarait que désormais on se considérerait comme dégagé k l'égard des quatre bases de garanties discutées dans la conférence, et qu'il n'en serait plus question k l'avenir. C'est là, selon M. le comte de- Montaleinbert, un fait d'une extrême gravité; non pas qu'il veuille dire que dans l'état actuel des choses ces bases dussent être invariablement main tenues; mais il pense qu'on devrait trouver quelque autre base, et qu'une grande nation ne peut continuer la guerre sans dire où elle veut en venir, sans dire quelles sont les conditions auxquelles elle consentirait k faire la paix. £0 résumé, le danger qu'il a signalé peut être éventuel, chimérique même,il ledésireardemment; A. De Vruchten te vblde, bestaeode in 4 hectaren Terwe, 2 bectareo Rogge, 1 idem Peirdeboonen en 1 idem Haver, al goede Vrucht, verdeeld in koopen. En B. Al het Akkertuyg als 1 goed Werkepeird,2 Wagens, waervan eenen met breed beslag, Karren, Zoole, Kegge, Ploegs, Rolle, Sleephout, Eggen, Aelkarteelen, Aelkuypen en verdere Landbouw-Gereedscbappen. Op gewoone konditien en tyd van betaeling, mils goede borg te stellen. De vergaedering, ter hofplaets van de gezegde hofstede. (1) eener goede van TE YPEREN, by de statie van den yzerweg. DYNSDAG 24e" JULY i855, ten 3 uren naermiddagzal'er overgegaen worden tôt de Verpagting van het Maeygras. i* Fan 0 h. 61 a. 80 c. Meersch, deel van den bedeklen weg en der glacis aen den uil- sprong der oude halve M aen iV° i3, palende van weslen aen de Slatie plaets. 20 Fan 1 h. 32 a. 58 c. zynde de Lunette N" 33. Al deelgemaelt hebbende der versterhings mais du moins il lui semble que les apparences sont l'a pour le justifier lorsqu'il exprime des appréhensions. En présence des événements qui se pressent en Crimée, l'orateur n'émettra pas un vœu en faveur de la paix; le moment serait mal choisi; mais son vœu est que la guerre ne change pas de caractère. Dans son opinion, la guerre k laquelle la France et l'Europe ont applaudi est uniquement une guerre d'Orient et non une guerre d'Occident, une guerre d'équilibre et non une guerre de conquête, une guerre politique et non pas une guerre révolution naire. L'orateur croit devoir, en bon citoyen, signaler la voie périlleuse où le gouvernement s'engagerait s'il devenait l'instrument ou l'alliée de la révolution. Aucun membre ne demandant plus la parole, M. le président met aux voix les articles du projet. Les articles sont successivement adoptés par assis et levé. L'ensemble du projet est ensuite adopté au scrutin, k l'unanimité de 244 votants. La séance est levée.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1855 | | pagina 3