UNE MAISON 1 PÂTURES GRASSES, ANNONCES. atsssitais. VELDGEWASSEN EEN HUIS SS9IIRS&1I11?, FERME ET BOIS TILLE DE MESSINES. OPENBAERE YERKOOPING TE WYTSCHAETE 3* - o 87 58 Ha ver. TE HUEREN, Yoor aile inlichtingen zich te begeven in het Bureel van dit Blad. (3) EXCELLENTES A VENDRE PUBLIQUEMENT A Y PRES. bourgeois de Ressac, était simple soldat eu 1793, capitaine en 1796 et maréchal en 1806. Brune, maréchal de l'empire, fils d'un avocat de Grives- la-Gaillarde, imprimeur de son état, entra daos l'armée en 1793, et il était déjà général de brigade en 1797» Jourdao, fils d'un imprimeur de Limoges, fut, comme Brune, maréchal. Voici quelle est l'extraction des autres maré chaux Kellermano, duc de Valroy, était le fils d'un bourgeois de Strasbourg, et commença sa carrière militaire en qualité de simple soldat. Lannes, doc de Montebello, fils d'un teinturier de Lectoure (département du Gers), soldat en 179s, fut géuéral en 1800 et maréchal en i8o4. Lefeb- vre, duc de Daotzig, fils d'un ancien hussard de Ruflacb, commença également sa carrière en qualité de simple soldat. Masséoa, prince d'EssIing, duc de Rivoli, fils d'uu marchand de vins de Nice, s'éleva de simple soldat au grade de maréchal. Moncey, duc de Conegliano, fils d'un avocat de Besançon eolra daos l'armée comme soldat 'a l'âge de 16 ans. Mortier, duc de Trévise, fils d'un négociant de Cbâteau-Cambresis, commença sa carrière militaire en qualité de garde national. Mural, Roi de Naples, fils d'un aubergiste de la Bastide près de Cahors, n'était encore en 1793 que simple chasseur che val. Ney, prince de la Moscowa, duc d'Elchiogen, fils d'un tonnelier de Saarlouis, servait encore en 1787 comme simple hussard et était général en 1796. Oudinot, duc de Reggio, fils d'un négociant de Bar-le-ducSerrurierfils d'un bourgeois de Grenade; Soull, duc de Daimatie, fils d'un paysan de Saint-Amand, près de Castres; Suchet, duc d'Albufera, fils d'un fabricant de Lyon, et Victor (Perrin), duc de Bellune, garçon de magasin h Troyes, ont commencé leur carrière militaire comme simples soldats. On assure, dit la Normandie, qu'on projet serait en ce moment soumis h l'appréciation du conseil d'État, pour arriver h paralyser autant que possible l'effet de la spéculation commerciale sur le tableau de la mercuriale au prix moyen du froment, servant de base pour établir la taxe du pain daos l'étendue d'une certaine circonscription régionale. Ce projet consisterait fixer, sur toute l'étendue de l'empire, un seul et même jour de la seroaioe pour l'ouverture de la halle aux grains dans chaque localité où elle se tient habituellement. La récolte des céréales peut être considérée aujourd'hui comme terminée en France. S'il y a moins de gerbes, cette année, qu'en i854, le ren dement de l'épi compensera cette infériorité par l'abondance et la qualité supérieure du grain. Les renseignements recueillis b ce sujet sont h peu près unanimes et la rentrée des grains, opérée généralement dans les conditions les plus favora bles, ne peut que corroborer cette opinion. Au jourd'hui donc, comme il y a trois semaines, on peut estimer une récolte ordinaire U produit de la récolte actuelle. Le vrai commerce, c'est-b-dire celui qui se tient h l'écart des opérations aléatoires où pousse la fièvre du jeu, conserve, aujourd'hui, une position expec- tante et l'avis prédominant est que la fin prochaine des travaux de la récolte devaut ramener les culti vateurs sur les maichés et activer les approvision nements, le niveau des mercuriales s'abaissera bientôt au-dessous des cours des deux années que nous venons de traverser. Le Salut public de Lyon raconte le fait suivant qui évoque la fois un triste nom et de bieo horribles souvenirs Vendredi dernier des ouvriers terrassiers, interrompant un instant leur travail pour aller prendre leur repas, ont rertcoolré, daos les près de la Part-Dieo, une femme paraissant âgée de 45 ans, gisant sur le sol, exténuée de misère et de besoin. Ces ouvriers s'empressèrent de secourir l'inconnue et lui demandèrent quels étaient son nom et son domicile. Son domicile, elle refusa de le faire connaître; son nom, elle finit par le révé ler celte malheureuse était Nina Lassave! Nina Lassave, la maîtresse de Fieschi, du monstre qui, le 38 juillet 1835, h l'aide d'une des plus effroyables conceptions qu'aient en b enre gistrer les annales du crime, attentait b la vie de Louis-Philippe et des princes ses fils, tuait le maréchal Mortier, duc de Trévise, dix-sept per sonnes avec lui, et en blessait grièvemet vingt- deux antres. Cette femme a raconté qu'après s'être livrée en pâture, pendant quelque temps, b l'immonde curiosité de la populace de Paris, elle s'était rendue en Angleterre, s'y était mariée et y avait promptement dévoré en orgies les sommes assez considérables que lui avait rapportées sa scanda leuse exhibition. Dernièrement,b bout de ressour ces, elle s'était déterminée b venir b Lyon, où elle pensait retrouver encore quelques personnes qu'elle avait connues. Les ouvriers qui ont secouru cette déplorable célébrité de la débauche et du crime et qui ont fait part de leur étrange rencontre b qui a voulu les entendreajoutaient qu'ils ne savaient pas si Nina Lassave avait jamais été jolie; mais que, telle qu'elle leur est apparue, avec ses haillons, son orbite vide, ses traits flétris, sillonnés en tous sens pa^des rides précoces, elle leur a semblé la vivante incarnation de la misère et du vice. ÉRIGÉE SUR FONDS D'AUTRUI, A VENDUE PUBLIQUEMENT AVEC GAIN DE MISE-A-PRIX D'UN t/a P. 0/0. M' ROMMENS Notaire fVarnêlonce commis par un jugement du tribunal d'Ypres, du 27 juillet 855 en présence de M' le Juge de paix du canton de Messines, procédera la Fente publique du Bien dont la désignation suit Une MAISON avec toutes ses dépendances, érigée sur Jonds appartenant la fabrique de l'église de Messines, située audit lieu, tenant du levant la rue dite Slypstraete, du midi Pierre Basyn, du couchant avec le fonds au presbytère et du nord la veuve et enfants Dobricourl. Occupée par Edouard Vandb Lanoitte avec droit de bail jusqu'au i5 Janvier i864, 65 francs par an, outre l'impôt et le loyer du fonds. La Vente de ce Bien aura lieu Messines, au cabaret la Couronne, en deux séances L'une pour la MISE-A-PRIX le Vendredi 31 Août i855et l'autre pour /'ADJUDICA TION définitive le Vendredi i4 Septembre suivant, chaque fois 3 heures de relevée. Les titres et conditions sont déposés en Célude dudit Notaire ROMMENS. On peut aussi s'adresser pour tous renseignements chez M° NEVEJANNotaire Messines. (1) Qu'on se le dise. VAN SCHOONB or DE noFSTEDE GEBRU1XT BT AUGUSTIN FRUTSAERT BY DE WAMBEKE. MAENDAG 20" OUGST 1855 ten een uere naemiddag, zal'er op de landen der Hofstede gebruikl by augustinus Frutsaert binnen de gemeente Wytschaele, by de Wambeke op eenen zeer kleynen afstand der kalsyde leydende van Ypereti nae Waesten, by openbaere en vrywillige Veudilie verkogt wordeu de volgeDde schoone Veldgewassen te weten i° - 3 bectareo, 06 aren, 53 centiaren Terwe. 2° - o 87 58 Boonen. Aile verdeeld in koopen t'elkx gerief. Deze Verkooping zal gebeureo met gewoone- lyken tyd van betaeling, mils door de koopers stellende solvable medekoopers ten vergenoegen van den Notaris NEFEJAN te Meessen resideé- rende. 1 Maekt het ruchlbaer. DIENENDE VOOR gestaen en gelegen IN DE STERRESTRAET, BE'WOOMO DOOR Sieur i° Une Pâture grasse de 3 h. 10 a. 69 c., située b S'-Pierre-lez-Ypres; occupée par le sieur Pierre Odoub 65o francs par an. 2° Une Ferme de 4 h. g4 a. i5 c. avec Moulin, située b Zonoebeke; occupée par le sieur BailleuPd 600 francs par ao. 3° Le nombre de 6 h. 54 a. 24 c. de Bois Taillis et de Baliveaux b Brielen, divisés en 4 lots. 4° 3 h. 06 a. 56 c. de Terres Labourables b Brielen occupés par Julien Logie. 5" 3 h. 54 a. 4o c. de Bois Taillis et Bali veaux b Kemmel, près du cabarêt de Vierstraete. Et 6° Une Pâture grasse de 2 h. 16 a. 18 c., située b Pervyse; occupée par le sieur Jean Van- houlle b 260 fr. par an. La MISE-A-PRIX aura lieu en la ville d'Ypres, au Café d'Anvers, SAMEDI 25 AOUT 1855, a 2 heures de relevée, avec primes de mise-à-prix et sous les conditions déposées en l'étude du Notaire VANDERMEERSCH, b Ypres. 10 p. °/0 pour tous frais outre les primes de mise-b-prix, (q) g Ypres, Imprimerie-Librairie de Ué.iré Xainbln-.llortler, éditeur-propriétaire, rue de Lille, io, près de la Graud'Flace,

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Le Propagateur (1818-1871) | 1855 | | pagina 4