INSTEL ANN ONCES. Op VRYDAG T" SEPTEMBER Î855, ont 4 ure namiddag. (e Poperinghe, in d'iierlterg genaemd West Vlaenderen, be- wtiond door Philippus Scherrier, van de volgende Goederen VLAMERTINGHE. 1" Koop. Een Woonhuis en verdere EdefUien met h. 0-6 91 c. Grnrid en Hove- nierhof daer medegaende. gebruikl zunder schriftelyke pai-hl door d'en heer (Jnder- pasloot- 12o franks by jare, boven de lasien. VORMEZEELE. Boschbewaerder Jacobus Corte. REN1NGHELST, lasgst de Mekssenstraete. pins qu'oit rie lui iloil. On peut juger par là «le la situation des êies el des religieuses dans les autres punies du pays. Un journal d'une autre nuance que La F.spe- tanza et La Cruz, Las Nuurdades, s'exprime ainsi Notre devoir esi «l'appeler de nouveau l'aiien- tion du pays sur les privations dont souffre le clergé; il n'y a pas de joui que nous ne recevions quelque communication sur la condition qui est faite anx respectables ministres de l'Église, el cependant jamais h aucune époque comme aujour d'hui. lorsque le cleigé paroissial est le modèle de toutes les vertus évangéltques, ils n'ont mieux mérité «l'être l'objet de la considération dit gou- trernement. Le clergé del'évêché d'Avila n'a (tas encore reçu cette année un seul tuaiavedi île traitement; c'est le sort fait nu gtand domine d'autres ver tueux ecclésiastiques pouf lesquels legon lentement, au moins dans lescitcr.nsiances actuelles, déviait Se montrer plus bienveillant Pendant que le gottvernemenl laisse le clergé dans la tutsère et que les journaux révolutionnaires l'abieuvent d'injuieset de calomnies, il se dévoue partout avec line chatité hér-ïqne an soin îles victimes que fait le choléra. C'est ce qu'attestent des feuilles dont le témoignage n'est pas suspect. Ou lit, par exemple, dans la Epoca du t t août La conduite du cleigé des campag-ues dans les tndroils envahis par le lenihle fléau dont l'Espa gne est affligée, itiéiite nue mention spéciale el les louanges du public. Pendant les plus grands rava ges de la maladie, quand la terreur lionhlait tous lesespiits, quand d'indignes employés et des au torités peu jalouses de leur honneur abandonnaient leur poste, quand des médecins même fuyaient le danger dans certaines localités, les curés de paroisse donnaient de tons côtés des preuves de cotnage et de résignation, et en même temps de haiitsexemples de charité et de zèle religieux. C'est ainsi qu'on lésa Vus se multiplier pour donner les secours de la religion aux moribonds quitte pouvaient attendre, qu'où lésa vus pénétrer avec câline «lans la maison de douleur, et partager entre les malades les dons de la charité; qu'on les a vus partout relever Pesprit public, implorer la piété du Ttès Haut, se Sacrifier b l'accomplissement de leurs devoirs spiri tuels et se montrer enfin dignes de la mission sacrée qui leur a été confiée par l'Église, sans qu'un seul d'entre eux ait déserté ce poste d'honneur el pleiu de danger Le journal la Souveraineté nationale lient le même langage Notie plume, qui n'a jamais flatté les tyrans, sera toujours consacrée b exalter la vertu. La con duite du clergé paroissial, qui est la vraie démocra tie de la classe sac.erdotale, mérite aujourd'hui que l'épidémie dévote nos populations, la tecnntiaissance de la pairie et l'éloge de tons les gens de bien. Dégagés des biens de ce monde, toujoiits inspirés par la chanté et le cœur en Dieu, ces bons p«êtres, »u chevet des moribonds, ont donné b ces malheu reux les célestes consolât ions et les espérances de la religion; ils ont ptinfié leurs âmes el fortifié leurs cœurs. Obi si le sentiment «le gratitude qui naît dans les âmes pures a quelque prix, si ce courant électiique «l'amour que les giaudes actions font jaillir sert de quelque chose, que ces hé.os, fl'auiaut plus grands qu'ils sont plus ignorés, reçoivent le tribut de nuire admiration et «le notre enthousiasme. Nous savons que le témoignage de leur conscience et l'espoir en Dieu suffirent aux hommes vertueux mais qu'ils sachent qu'il y a «les coeurs qui connaissent leurs vertus et leur donnent eu récompense une latine d'éternelle reconnais sance pour le bien qu'ils ont fait b nos fi ères. Ou écrit de Madrid, le 19 août Le gouverne ment a décidé qu'avant de délibérer sur la forme h donner aux foi ces auxiliaires espagnoles qoi se rendront en C«imée, il attendra l'avis dès Cotlès sur l'opération même. On agileia alors seulement la question de savoir s'il convient de Humer aux puissances occidentales un appui sous foi me d'un entêtement volontaire dans le pays, ou pat l'envoi de tioiipes constituées ITALIE. Un é.lit signé par le Canlinal Aritonelli proclame que l'iuteidiction absolue «les céréales cooiinuaut el pour etttpêciier la cottiiebaiide le Saint Père a ordonné la cot.fiimalinti des lois el règlements touchant la cnctilaiiou ties cétéales el gtains dans l'tuiéi leur de i'E'ai. Toutes les attlio ités veilleront b ce que les lots et tèglemeirts soient exécutés et b ce que tout ac'etentative ou toute suggessioti tendant b empêcher le mouvement intérieur de ces dentées, soient t éprîmes et punis. FRANCE* Paris, 3(i août. L'Empereur a écrit, le 20 août, au général Pélissiet l.énétal, la nouvelle victoire lempoiiée sot la Tcliernaïa prouve, pour la troisième fois depuis le détint «le la guette, la su péi lin lté «tes armées alllé.'S sur l'ennemi lotsqu'll est et» rase campagne; mats si elle lait honneur au coumge ties troupes. elle ne témoigne pas moins des bounes dispositions que vous aneî prises. Adt esses mes félicitations b l'année el tecevez-les aussi jiour voue paît. Unes a ces btaves soldats qui, «lepuis plus «l'un au, «m suppôt té des fatigues munies, que le teime de lent s épreuves n'est pas éloigné. Sébaslopol, je l'espè«e, toutbeta bientôt sous leurs coups; el, l'événement lut il retaidé, l'anuée russe, je le sais par des renseignements qui palaissent positifs, ne pointait pins, pendant l'hiver, soutenir la lutte dans la Ci imée. Cette gloire acquise en 0>ient a ému vos Compagnons «J'aimes eu Fiance; tlsbiù- leul tous de pailager n»s dangers. Aussi, «lans le double but de répondre b leur noble désir et de promit eY du rep«is b ceux qui oui «léja tant fait, j'ai donné des ordres au ministre de la gtierre afin que tous les régiments testés en France aillent, au fur et mesure, têtu placer eu Oiient ceux q«ii renire- 1 aient. Vous savez, général, combien j'ai gémi d'être teteiiu loin de cette armée qui ajoutait encore b l'éc'at de nos aigles; mais, aujourd'hui, mes regrets «iliuinueiit, puisque vous tue faites entrevoir le succès pi ochaiu et décisif qui doit couronner tant d'héroïques rifot ts. Sut ce, général, je prie Dieu qu'il vous ait eu Sa sainte gai de. Ecrit au palais de Saiut-Clnud. le 20 auût i855. NAPOLÉON. La Reine Victoria a quitté Parts lundi 27. Le départ a été tnaïqué par des pompes aussi spleu- dides que l'artivée. Le convoi royal est arrivé b Boulogne b cinq heures. Les troupes oui été passées en revue avant l'etubatquement de la Reiue qui s'est effectué vers minuit b la tuaiée haute. Ou écrit de Boulogne-sur-Mer. Il est peu coutil! jusqu'à présent que le malin luêute de l'arrivée de la teiue l'empereur a échappé, de ptès b la mort. Quelque temps avant que l'escailre royale fut signalée, 5. M. qu'accompa gnait le maréchal Baraguay d'Hillteis,étant montée a cheval, parcourait au galop les hauteurs de la côte, afin de voir de plus loiu arriver ses augustes visitent s. Pendant que sa inoulnte se tenait sur une étuineuce, b nue pente distance des falaises, sur plombant l'abîme, il laissa flotter les lênes, ses mains souienaul devaut ses yeux uu lorgnon d'opéra. Tome l'attention de l'Empereur était absorbée par la contemplation du Fictoria and jilbert dont il suivait les rapides allures, el il e'cbaiigeait k ce sujet quelques paroles avec le maréchal, lorsque son cheval fit un boud terrible par-dessus ou fossé que quelques paysans étaient occupés b tracer ea avant du groupe impérial. Le chapeau de l'Empe reur tomba b terre, sous le choc de ce mouvement imprévu. S. M. eut la présence d'esprit d'y lancer également le lorgnon et de saisir la bride b deux tuants, il parvint ainsi, b force d'habileté et d'éner gie, b ar êter l'élan de son cheval et b le faire cabrer lorsqu'il u'était plus qu'à quelques pas du gouffre béant. Le prince Albert, né le 26 août 1819, est entré dimanche dr dans sa 57* année. Le 23 août, un incendie b détruit b Levier (Diutbs), et cela seulement dans l'espace d'une heure, 46 maisons et 71 ménages. Tout ce qui s'y attachait a été eutiètement détruit. Cet affieux sinisiie est constaté par nue lettre du niaite de Levier adiessée b l'Union franc comtoise. La cour de Douai, procédant dans son audience du 20 août aux jugements des contumaces dan# l'affaire de la machine infernale placée sur le chemin de fer du Nord, dans le but d'attenter aux jouis «le l'Empereur, vient, par deux anê's, de coud a m tuer b la peiue des parricides les individus suivants 1' Nicolas iules Jacquin, âgé de 29 ans, ingé nieur civil, né b Ttoyes, ayant depuis plusieurs années résilié en Belgique, el actuellement en Angleleire; 2 Cé lest in-Nicolas Jacquin, âgé de 54 ans, mécanicien, né b Arcis-sut-Aube, actuellement eu Angleleire; 3" Joseph Constant Vandorume, âgé de 59 ans, tailleur, né b Saint-Orner, démentant b Lille; 4* Joseph Deron. dit Leçon te, dit Louis, de meurant b Saint-Orner. MET GEWIN VAN PREMIEN, 2" Koop. Een parceel Bosch lest ont* blool in 1849, grool by lytel l>. 0 74 38 c., gt legen te Vormezeele. een weinig oost van d'bofstede genaemd het Duivels Kasteel, itisschen de oude Bruggesirael en d'Holle- béekstraet. Koop 3 tôt en met 17. Een behuisde en heplanle Hol'slede, groot by liifl h. 10- 57 89 c. en volgens kadaster h. 10 76 90 c. in («achle gehuuden benevens de koopen 19. 35 en 34 bierna. door S'l'ieter Uecorte- Lermyie, met rechl lot Bavo 1861, len pryze van fr. 837 00 by jare, boven d'iin- posîtien. Koop 18. Een byna vierkant parceel- ken Bosch, groot b. 0-15 T2 c. gelegeo

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1855 | | pagina 3