LIVRES DE PRIERES B O O M E N M O B I L I E R. EN VENTE AU BUREAU DE CETTE FEUILLE. RUSSIE. FRANCE. ANGLETERRE. *<M> lM)è 0 DE 15 CENTIMES A 50 FRANCS. De Mariage, de Première Communion, Offices Divins, Paroissiens, Manuels de Piété, Journées du Chrétien, etc. Illustrés, reliés en veau gauffrés, en maroquin du levant, en ivoire, en écaille, en relief, avec médaillon-miniature, entouré d'argent, en velours avec agraff'es, coins et ornements au dos. Cartonnages rehaussés d'or pour la Saint-Martin, etc. Noordschotc en Bixscliote. DONDERDAG, 20çn NOVEMBRE 1856, te beginnen om 1 uren namiddag, zal den Notaris T-LlTDEPvltfSSksCIÏ, residerende te Ypre, openbaerlyk Ver- koopen Eerst, op de hofstede gebruikt door de weduwe Van Uxem te Noordschote, noordbySteenstraet-bruggeen ten tweeden op de hofstede gebruikt doorsieur Warlop, te Bixschote, oost by de plaetse, 57 koopen BOOMEN, waeronder zeer zuiare Iepen. Met langen tyd van betaling. (1) m tu X X f 'Sc"o "g* w "O e >-■ S tu s J en 0 O X «3 S - O X bord du Frederick Retzlaff, navire prussien. Ce ■-az s'élant dégagé du charbon de lerre embarqué sur le navire a pris feu au contact d une lumière allumée par un ouvrier qui a pénétre dans la soute, /estée fermée durant toute la Duit. Non seulement le navire a été mis en pièces par la force de 1 ex plosion mais plusieurs hommes de l'équipage ont été tués et les autres plus ou moins dangereusement blessés. On écrit de Constantinople Le tremblement de terre du 12 octobre a causé aussi de grands ravages sur la côte d'Asie 5oo personnes ont péri dans l'île de Crète, 120 Rhodes. Plusieurs loca lités sont complètement détruites. dépêches télégraphiques. L'aviso le Vullur a été envoyé dans la mer Noire pour renforcer la croisière anglaise devant lUe des Serpents. La commission chargée de la délimitation des frontières en Bessarabie a achevé son travail. Le Journal de Constantinople reconnaît l'uti lité du percement de l'isthme de Suez, mais il déclare que la Porte suspend sa décision attendu les divergences diplomatiques et la nécessité de limiter l'importance de l'Egypte qui a trop grandi. L'Angleterre a envoyé son ultimatum la cour de Téhéran. L'escadre des Indes a dû partir dans le commencement d'octobre pour le golfe Persique. On écrit de S'-Pétersbourg De toutes les réformes que nous promet le règne d'Alexandre II, celle de l'instruction publique paraît appelée exercer l'influence la plus heureuse sur les destinées de l'empire. On a inauguré cette réforme en confiant l'inspection des écoles des hommes ayant eux-mêmes reçu une éducation scientifique. Antérieurement ces places n'étaient données qu'à des militaires invalides; elles leur tenaient lieu de pension de retraite, et c'était autant d'économisé. A l'avenir, on ne tombera plus en de pareils abus. Le ministre Noroff a envoyé plusieurs personnes l'étranger pour y étudier l'état de l'instruction publique. Il inspecte lui-même en ce moment les établissements d'instruction de Varsovie. Le maréchal Caurobert vient d'être l'objet d'une distinction flatteuse et assez piquante de la part des Anglais; il vienlderecevoirson diplômede membre de la corporation des épiciers (sic) anglais. Il faut dire que ce diplôme donne droit de bourgeoisie Londres,et c'est ce titre quele duc de Wellington avait accepté celui de charcutier et le prince Albert celui de tailleur. On écrit de Lille Il n'est question en ce moment que d'une affaire destinée changer com plètement la face de notre cité, et dont la solution aura lieu, ce qu'il semble, dans quelques jours. Il ne s'agit de rien moins que d'abattre nos rem parts et nos fortifications eu reportant la ligne de défense au delà de la commune limitrophe de Wazemmes, et même d'Esquermes. Lille qui ne compte aujourd'hui dans son enceinte resserrée qu'une population de 75 80,000 habitants, tous logés les uns sur les autres dans les cours, dans les greniers, partout, pourra dès ce moment se déve lopper librement selon les lois les plus simples de 'hygiène. Elle acquerra ainsi une importance mdustrielle bien autre que celle qu'elle a au jourd'hui. L'un des membres de l'amirauté anglaise, sir Robert Peel, qui a fait partie de l'ambassade e*traordinaire envoyée en Russie par la Reine Victoria l'occasion du couronnement de l'Empe reur Alexandre, a prononcé mardi dernier, un banquet donné aux officiers de la milice du Staf- fordshire, un discours dgnt on s'occupe fort Londres. L'honorable baronnet a déclaré sans ambages qu'il y avait bien des raisons pour ne pas se fier la dorée de la paix; que l'Europe se trouvait sur le bord d'un volcan pouvant tout instant faire éruption, et que les questions de Naples et des Principautés devaient donner de graves inquiétudes. Les grèves d'ouvriers sont fréquentes et graves en Angleterre. D'après l'enquête parle mentaire qui vient d'être publiée, la grève récente de Preston a fait fermer danscette ville 61 fabriques qui occupaient 25,000 travailleurs; elle a duré 35 semaines, et occasionné sous le rapport des salaires seulement, une perte totale de 520,000 liv. (i3 millions de francs.) La grève des mineurs de Glascow, qui s'étendit quatre comtés, ne fut pas moins désastreuse. Il résulte de l'enquête que, pour régler les difficultés qui surgissent entre les ouvriers et les patrons, un grand Dombre de métiers ont créé des conseils d'arbitrage, et il est présu mer que les chambres, régularisant les tentatives faites en ce sens, vont doter la Grande-Bretagne d'une institution analogue celle de nos conseils de prud'hommes. Il y avait longtemps que Londres et ses faubourgs n'avaient été enveloppés d'un brouillard aussi épais que celui d'hier. La circulation des navires, sur la Tamise, a dû s'interrompre complè tement, et, sur les chemins de fer comme dans les tues de graves accidents se sont produits; plusieurs personnes ont été écrasées, et le nombre de celles qui ont été plus ou moins blessées n'est pas connu, mais.il paraît être relativement considérable. Carpentier vient d'être arrêté New York. de FRANÇAIS, FLAMANDS, LATINS, ANGLAIS, LATINS-FLAMANDS, LATINS-FRANÇAIS ET FRANÇAIS-FLAMANDS. TOUS CES LIVRES SONT APPROUVÉS PAR L'AUTORITÉ ECCLÉSIASTIQUE. van te d'un beau LUNDI 17 NOVEMBRE 1856et jours suivants, 10 heures avant, et 2 heures après-midi; la maison mortuaire du S' Ramoen, Maître des postes aux chevaux, rue de Lille, N" 91, Ypres. L'on Vendra de Meubles-Meublants, tels que Commo des, Secrétaires, Garderobes, une Table Coulisse et autres; de Fauteuils et Chaises, de Bois-de-lit, de Matelats, Lits de Plumes et autres fournitures de Lit; beaucoup de Linges de Table de Fil de Lin, des Stores et Rideaux; un service complet de Porcelaine de Tournai; d'autres Plats et Assiettes de Porcelaine et de Faïence; beaucoup de Plats et Assiettes d'Etaiû, Batterie de Cuisine, en Cuivre; troisPendules de Cheminée; unePendule en Caisse; des Miroirs; une provision de Vin de différente bonne qualité et une grande quantité de Bois brûler, enfin plusieurs autres objets dont le détail serait trop long. Le Vin se vendra le Mardi après-midi. La Vente se fera au comptant avec augmentation du dixième. (1) Qu'on se le dise. 1-3 W W en os .en <U cz l__ S c Û- *cj S i «r 2 - «r x tm O 8 "H s 5> a> S 'tu r. eu v- au <y c -3 t_ o S - ai <U 35 1 !SS Ei S c fej es 0- 00 o 55 co .rv] c ûn rr* e- tu "O CU o c S C o co S c s 2 s -s .S -£ jf'.s - 3 0> g ra Çj o "D Tr 1 c JS c ■tu c a; O o 3 -o <u a> ^•S-Ss'sl-S Jr -S «rrs2 c - tu o en a t: 'tu s - D S s g Seuc-x Q u C en «c G C- o </To_=.ïï -, - eu en s E 'I ce £3 -o ~J <u -et - - o tu ce g S a. 2 -a C en O C eu C.-- c O 12 2 C =--"&■ as C tu ce Si en u -o m 2 X et tu z ej O c ^3 3 *a "-v "3 S n..H "—S - O sî "O "S c en ÎT <y -00^3.3 a c c tu es 5 a "ér> a XJ2 en s 2 i: CJWC3"~" ce s s w - o- éL- <5 .r c a - o o u tu

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Le Propagateur (1818-1871) | 1856 | | pagina 3