B O O M E N MAISON, BESI6Ï. A VENDRE FRANCE. ITALIE. ÉTAT-CIVIL n'ïPRES, Verandering vanSlandplaets. S7PC1T, gehuisvest in den Ilelm, te Dixmude, voerman en corn- missionnaris op Yperen, Rousselaere, Oosiende, Yeurne en gansch Veurnam- bacht, heeft de eer het publiek bekend te maken dat zyneSTANDPLAETS, te Yperen, voortyds, in de herberg het Gansje, op de Lente-Markt, nu is in de herberg den Sultanbewoond door Charles Declerck, op de Groote Markt. Hy beveelt zich aen de persoonen die hem zullen believen met hunne orders te vereeren. Zyn Voermanschap is over te nemen. EN LA VILLE D VPRES. REAU JARDIN, COUR, ECURIES, REMISES, CUISINES, VASTE CITERNE A EAU, ETC., A Il^SSS, Cette belle Propriété très-solidement construite et en bon état de conservation, peut servir de maison de maîtreet est également propre y établir une usine ou y exercer un commerce quelconque. s'adresser rue de TnOUROUT, n° 36, a ypres. TE RENINGHE. On lit dans le Moniteur Le comte Gortscha- koff, ministre des affaires étrangères de Russie, vient de transmettre tous les consuls et agents rosses l'étranger une circulaire du général prince Gortschakoff, gouverneur général de la Pologne, son frère, de laquelle il résulte que tous les Polo nais qui se sont réfugiés l'étranger pour échapper au service militaire, sont admis jouir du bénéfice de l'amnistie, et peuvent rentrer dans leurs foyers sans crainte d'être inquiétés. Le ministre enjoint h ses agents de donner communication de ce document aux Polonais qui habiteraient les lieux où ils résident l'étranger. La Société de Saint-Vincent de Paul fera ouvrir ses fourneaux de comestibles h prix réduit le 17 de ce mois. Voici le tarif par chaque portion soupe, 5 centimes; viande, 10 c.; bouillon, 10 c.; légumes et riz, 10 c. On écrit de Rome, la Gazelle d'Augsbourg Une ordonnance complète la circulaire du ministre de l'instruction publique sur la rigoureuse surveillance des livres adopter pour l'enseigne ment dans les écoles primaires comme dans les écoles supérieures. Le ministre finit par interdire tout livre de classe imprimé h l'étranger. Ceux qui ont été adoptés dans certains établissements sur une décision de l'évêque seront tolérés; mais h l'avenir une autorisation même de l'évêque aura besoin d'être confirmée par le ministère. Les maîtres sont chargés de veiller h ne pas laisser de livres dange reux entre les mains des enfants, sous peine de perdre leur emploi. Les livres mêmes dont on fait usage dans l'enseignement privé sont soumis h ces dispositions. L'Opinions de Turin se plaignant de l'orga nisation actuelle des prisons, propose d'établir plusieurs classes de prisonniers, se basant sur l'âge du délinquant et sur la gravité du délit commis. La suppression de tant de couvents, dit-elle, offre une occasion très-opportune pour employer cet usage les bâtiments vacants et de l'a diminuer la dépense du projet. L'idée n'est pas mauvaise. Au moins l'histoire dira que si les couvents ont été détruits en Piémont vers le milieu du dix-neuvième siècleen revanche le nombre des maisons de détention a été considérablement augmenté. On en tirera la conséquence naturelle que l'immoralité s'accroît d'autant plus que les maisons religieuses diminuent. On écrit de Naples, le 19 octobre, YOpi- nione de Turin On prend des précautions pour s'assurer la fidélité de l'armée. Quelques officiers suspects ont été mis en disponibilité; d'autres bien connus pour leur attachement au gouvernement ont été promus; on cite de nouveaux lieutenants-colonels, brusque ment promus au grade de colonel. On expédie Gaële des munitions et des provisions en grande quantité; on veut faire de cette place forte une nouvelle inexpugnable Troie, et il y a des poètes tous prêts a chanter les événements du grand siège. Une correspondance de New-York, du 21 octobre, donne sur l'arrestation de Carpentier les renseignements que voici C'est tout un roman que la vie de cet homme, depuis qu'il a abordé les rivages peu hospitaliers pour lui de la jeune Amérique; ou plutôt, c'est une admirable partie d'échecs qu'il a défendue "ec un rare talent contre une joueuse de première force: la police, Marches, contre-marches, échecs parés, retraite de case en case, tout y est. Carpentier, pour se cacher plus facilement, a,ait abandonné ses complices presque aussitôt après son arrivée k New-York. Quoiqu'il ne sût que quelques mots d'anglais, il parvint trouver des alliés dévoués, dont le secours le mit même, pendant un assez long temps, d'éluder les recher ches actives d'agents de police renommés pour leur adresse. Chose incroyable et pourtant vraie il logea pendant un certain nombre de jours dans une maison de notre quartier aristocratique; la police le sut, entoura la maison l'y chercha, et elle ne put l'y trouver. Pendant que les agents fouillaient de la cave au grenier, il était étendu comme la tranche de jambon d'une sandwicheentre les deux matelas du lit d'une malade. On ne s'avisa pas d'aller le chercher là. Dégoûté du séjour de la ville, Carpentier résolut d'essayer de la vie des champs. Après avoir laissé la police une fausse piste, qui la conduisit jusqu'à la Nouvelle-Orléans, il rasa ses moustaches, coupa ses cheveux en brosse, revêtit le costume campagnard et alla s'offrir comme laboureur 'a un fermier du district d'Orange, dans l'État de New- York, douze milles environ de Newburgb. Il fut accepté. Quelle chute pour un dandy! Les agents de police, qui ont des yeux de lynx, surtout quand uue récompense de 5,000 fr. aiguillonne leur zèle, cherchaient partout un visage auquel s'appliquât le signalement donné. L'un d'eux, homme des champs aussi, c'était le pion dont je parlais tout h l'heure, rencontra le visage demaodé. Il attendit que l'individu qui il appar tenait fût couché et endormi, puis il le réveilla pour lui mettre les menottes et le conduire New- York. Cela se passait dans la nuit de vendredi samedi. Carpentier a été placé dans la prison civile qu'habitent ses complices; mais on a défendu de le laisser communiquer avec eux. Sur ces entrefaites, la police reçut une lettre anonyme par laquelle on la prévenait que, dans la cave d'une certaine maison, sous un tas de charbon, se trouvait une boîte d'un pied carré contenant des valeurs importantes. La révélation était exacte la boîte fut déterrée. On la dit lourde, mais nous u'en connaîtrons le contenu que plus lard; car elle a été transportée chez M. Belmoot, et l'on n'en sait pas davantage. Il y a présentement Philadelphie, une école de médecine pourfemmes.T ren te- ci n q étudiantes sont inscrites au registre de la faculté féminine. Déjà plusieurs grandes villes de l'Amérique comp tent des docteurs en jupon. Vu 3> Octobre au 7 Novembre inclus. Naissances i 1. Sexe masculin 3; féminin 8. Un mort-né du sexe masculin. Mariage. Indevuyst, Ange, 37 ans, journa lier, et Plancke, Anne, 33 ans, domestique. DÉCÈS 5. Cooren, Cathérine, 57 ans, col porteuse, célibataire, domiciliée Zarren, rue de Menin. Debeer, Daniel, 23 ans, soldat au 2m° rég' d'infanterie,célibataire,domicilié Linkebeek, (Brabant), rue des Bouchers. Marquette, Marie, 78 ans, dentellière, veuve de Louis Françoise, rue de l'Hôpital-S'-Jean. Billiet, Reine, 68 ans, couturière, veuve de Jean Cylor, rue de Menin. Raraskindl, Hubert, 61 ans, corroyeur, époux de Julie Verschoore, rue de Menin. Enfants au-dessous de 7 ans 2. Sexe masculin 1; sexe féminin 1. Une bonne partie de TERRE A LABOUR située Comines, Belgique, section Cruys-Eecke, d'une contenance, d'après le cadastre section A, N° 289, de 77 ares 3o centiares; occupée sans bail par la veuve de Jacques Gesquiere. La MISE-A-PRIX aura lieu en la ville d'Ypres, l'estaminet S1-André, Samedi 22 Novembre i856, h 2 heures de relevée; avec prime d'un p. °[o, conformément aux conditions déposées en l'étude du Notaire VANDERMEERSCH Ypres. (1) A VENDRE DE LA MAIN A LA MAIN. UNE GRANDE ET BELLE avec située rue des recolets, Avec Bâtiment de derrière ayant un beau Grenier et Porte cochere dans la rue du Vieux Marché au Bois. Habitée en dernier lieu par Madame la douairière Hyndrick. (ia) wiimqtqi van Op DINSDAG 2" DECEMBER i85G, ten een uer na middag, op de Hofsteden van Charles Castryck en Berghman en op de Hofstede van sieur Louis Verschave al zuid van de herberg de Trompe, in de gemeenle Reninghe, zal men openbaerlyk Verkoopen Op de Hofsteden van Castryck en Berghman 16 koopen Iepen, IVilgen, Popelieren, Esschen en Appel- Boomen. En op d'Hofstede gras van Verschave 48 Iepen Boomen Hollanders Men zal beginnen verkoopen op d Hofstede van Castryck. Deze Vendilie zal gehouden worden op zes maenden tyd van betaeling mils door de toopers goede borg te slellen ter aenveerding van den Notaris PIETERS te Reninghe. (1) Elk zeg' het voorts.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1856 | | pagina 3