KOORN-WINDMOLEN BOOMEN DE L'EAU DE NAPHTE VILLE D YPIVES. ANGLETERRE. GRÈCE. SUISSE. ÉTAT-CIVIL D'ïPRESj CHEZ P. LOPPENS VINAIGRE DE TOILETTE L'administration Communale prévient les amateurs, qu'elle a en magasin une certaine quantité de Vieux Fer, Cuivre et Plomb, dont elle désire se défaire au prix le plus avantageux. Celte marchandise qui se trouve déposée l'Atelier de la ville, se compose de 594 kilos, Fer de fonte. 566 id. Ferraille. 1694 id. Grosse ferrure. 555 id. Cuivre. 1160 id. Plomb. Les personnes de la ville ou de l'étranger qui désirent en faire l'acquisition, sont priées de remettre au Secrétariat endéans les quinze jours dater du 10 Décembre prochain, une soumission cachetée indi quant par kilo et pour chaque matière, le prix auquel elles s'engagent la reprendre. Fait en séance le 28 Novembre 1856. LIT ER IIAND TE KOOPEN IEPEN, El KEN, ESSCIIEN EN AREELEN a 3 B 3 ït TE BOESINGHE. (1) Elk zeg het voorts. )es renseignements qui nous soDt parvenus, que les héritiers Pescatore ont renoncé, par le même acte, contester cette validité, et reconnu l'appelante la qualité de femme et de veuve de M. Pescatore. Il y a quelques jours, un voyageur, pendant le trajet de Lille Roubaix, se trouvant seul dans une voiture de deuxième classe, s'est livré un acte qu'on ne sait comment qualifier. Il a cru ne pouvoir mieux charmer les ennuis du voyage qu'en coupant, déchirant et tailladant les banquettes, les rideaux, enfin tout ce qui, dans la voiture, était étoffe ou bois. On a constaté un dégât assez considérable. Si l'auteur d'un acte aussi absurde n'est pas fou, dit le Journal de Roubaix, il faut le plaindre comme s'il l'était. Un véritable sauvage ne ferait pas mieux. Toutes les semaines, dit le Salut public de Lyon, une vieille mendiante se présentait chez M. X..., qui donnait une légère aumône. Un jour M. X..., se trouvant chez son notaire, vit sa men diante assise dans uu fauteuil et n'ayant plus l'air humble et timide qui lui était habituel. Il interrogea un clerc, qui lui répondit que cette vieille femme venait toucher ses rentes, et qu'elle avait une fortune s'élevant 120,000 fr. Lorsqu'elle sortit de l'étude du notaire, M. X... la suivit et la vit entrer chez un boulanger, où, le dos courbé, des larmes dans la voix, la rentière, redevenue men diante, se fit donner un morceau de pain. Voici un bien curieux symptôme de cette fièvre millionnaire qui dévore tout le moude du haut en bas de l'échelle sociale. Parmi les bizarres projets que la spéculation enfante a Paris, il vient d'en éclore un des plus singuliers; il consiste h montrer au public, moyennant dix centimes d'en trée, la vue synoptique d'un million en numéraire. Chose étonnante c'est le local qui manque jusqu'ici et non le million, qui a été fourni, ce qu'il parait, par un de nos plus célèbres capitalistes. Un million en numéraire, en effet, n'est pas chose facile loger, et il est peut-être impossible de se faire une idée d'une pareille masse sans l'avoir vue de ses yeux. Quoi qu'il en soit, l'idée étrange de montrer un million pour deux sous, comme on fait voir une femme ou un veau six pattes, caractérise bien les tendances de l'époque; et ceux qui n'ont aucun espoir de posséder un jour un million peuvent au moins se donner la consolation d'en aller contem pler la majesté imposante. Vous verrez que les entrepreneurs de cette nouvelle industrie vont réaliser des recettes fabuleuses. Assemblée Dans un ouvrage du lieutenant Maury, intitulé Géographie physique de la mer, on trouve le passage suivant La superficie de l'océan Atlantique est de 25,ooo,ooo de milles carrés. Supposez qu'un pouce de pluie tombe sur un cinquième de cette vaste étendue, cette vaste nappe d'eau n'ayant qu'un pouce d'épaisseur, pèserait, dit l'auteur, 36o,000,000,000 de tonnes, ou 364,760,000,000,000 de kilogrammes, et le sel, qui est en dissolution dans la mer, ne s'évaporant pas comme l'eaumais détruisant l'équilibre lorsque l'évaporation a en lieu, le poids est alors augmenté de 16,000,000 de tonnes (i4,256,000,000 de kilog.), c'est-a-dire presque deux fois autant que tous les navires du monde pourraient porter avec chacun un chargement. Cette grande quantité de pluie pourrait tomber en un jour; mais, quel que soit le temps employé, elle ne trouble pas plus l'équilibre de l'Océan qu'il ne serait troublé si, ayant pu faire tenir dans une mesure immense toute l'eau que le Mississipi jette l'Océan dansl'espaced'une année,ou fût parvenu, par un effort extraordinaire, jeter cette eau dans la mer, et cependant la nature opère d'une manière si calme et si uniforme que ces mouvements si vastes sont inaperçus. {Scientific American On lit dans le Bombay Times Dans on des derniers procès-verbaux émanant de la Société asiatique du Bengale, nous trouvons une commu nication pleine d'intérêt, sur une nouvelle race d'hommes, vivant dans les bois, appelée Putaoa ou Juango. Les détails donnés en cette occasion par M. Samuel, auteur de la communication, ont été puisés chez les Putoas eux-mêmes, et nous les croyons d'une exactitude scrupuleuse. Les Juaogos sont de petite taille celle des hommes ne dépasse pas cinq pieds, et celle des femmes quatre pieds. Le développement des muscles est parfait. Leur énergie est médiocre et leur esprit très-borné. Les hommes sont loin d'être beaux, mais les femmes ont droit la palme de la laideursauf quelques rares exceptions. Ces peuplades vivent par hameaux de six ou huit cabanes, sans distinction de rang ou de caste. Elles se nourrissent principalement de racines et du produit de leur chasse, et mangent toutes sortes de chaires, y compris celle des serpents. Leur religion est un vague hommage qu'ils rendent aux dieux des montagnes et des forêts. Ils ne célèbrent qu'une fête religieuse chaque année. M. Samuel ne saurait dire si ces peuplades sont des nations dégénérées ou purement aborigènes. On lit dans le Phare de VOthrys, journal de Lamie en Phocide Deux formidables bandes de brigands se tiennent sur les frontières turques; l'une de ces baudes est composée de 80 malfaiteurs, l'autre de 4o. De temps k autre, elles font des incursions dans le royaume. Nos troupes sont tou jours sur le qui vive. Dans la nuit du 1" novembre, le lieutenant de la ligne Dodomoupolos a surpris sur la limite des frontières une autre bande de brigands. Le chef de cette bande, Nasios Zanos, a été tué dans cette rencontre; ses compagnons profitèrent de la profonde obscurité qu'il faisait pour s'enfuir. Des lettres de Genève disent que Mgr. Marilley, évêque de Lausanne et Genève, a accepté l'arran gement provisoire voté par le Grand Conseil du canton de Fribourg. En conséquence, le vénérable prélat se préparerait a rentrer dans son diocèse. Du 29 Novembre au 6 Décembre inclus. Naissances 12. Sexe masculin 4; féminin 8. Un mort-né du sexe masculin. Mariage. Gheerardin, Charles, 26 ans, journalier,et Steyaert, Rosalie, 5g ans, marchande. DÉCÈS 5. Derluyn, Marie, 67 ans, mar chande, épouse de Joseph Deblock, Grand'Place. Rosez, Bruno, 66 ans, charron, veuf en dernières noces de Valentine Vanoverschelde, rue de Menin. Hullaert, Jean, 24 ans, cordonnier, célibataire, rue de Menin. Lefever, Charles, 58 ans, journalier, domicilié k Proven, célibataire, rue de Thourout. Knockaert, Marie, 73 ans, dentellière, célibataire, rue de Menin. Enfants au-dessous de 7 ans 2. Sexe masculin 1; sexe féminin 1. ~VENTE EN DETAIL- coin du marché au beurre. M AKARÂ ©I® D M PI© 9 (13) QUALITÉ SUPÉRIEURE. LES BOURGMESTRE ET ÉCIIEVINS B. VANDERSTICHELE. Par ordonnance LE SECRETAIRE, 1. DE IODTi (1) EEN Gelegen langst den steenweg van Hoogezieken naer het Wielken met al de daer medegaende Gebouwen en omtrent 70 aren Erf bestaende in Hovenierhof, Weide en Zaeiland. De liefhebbers worden gebeden, voor aile inlichtingen, zich te willen begeven by P. Hoste, bleeker te Westroozebeke. ^HKIPBT'DH van ALSMEDE VAN TWEE SCUOONE DINGSDAG 3o°n DECEMBER i856,ten twaelf uren s'middags preciesop de Garzin- gen en Landen der Hojstede gebruikt door de weduwe Cornelis Lefevre le Boesinghe, op weinig afstand west de plaels, zal er gehouden worden Eendilie van BOOMEN, dienstig voor aller/lande slag van werkenals 00k voor Brandhout, geteekend en genumeroleerd, zoo volgd In de Voorweide alwaer de Vergaderioge zal plaets hebben. 1 Popelier, 65 Iepen en 9 Eiken, verdeeld in 5g koopen. In de Weide van oosten d'Hofstede. 6 Eiken, 4 Abeelen1 Esch, g Iepen, i4 Appel- boomen en 2 Noteboomen, verdeeldin 21 koopen. Achterweide. 9 Iepen en 2 Eiken, verdeeld in 5 koopen. Buiten Gars en Zaeiland. 1 Essche, 3 Popelier en, 10 Iepen, g Abeelen en 1 Eik, verdeeld in i4 koopen. Er zal tyd van betalinge loegestaen worden behoudens door de koopers te stellen goede en welbekende borgen aenveerdelyk door den So laris TITECA te Boesinghe.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1856 | | pagina 3