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MOBILI AIRE
GROOT HUIS,
ANNONCES.
Poperinghe.
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Par Jugement contradictoire rendu par
le Tribunal de première instance d'Ypres,
province de la Flandre-Occidentale, sié
geant en matière correctionnelle, en date
du vingt-trois Septembre 1800 cinquante-
huit, le nommé LOUIS VLAMYNCK, fils
de Jean, et de Jeanne Vuylsteke, âgé de
43 ans, cabarelier et ex-marchand, né et
demeurant Ypres, convaincu de ban
queroute simple et d'abus de confiance, a
été condamné, en vertu des articles 402,
406, 408 du Code pénal, 573 n° 3, 574 n®'
4 et 6, 583 de la loi du 18 Avril 1851, 52
du Code pénal, 194, 365 du Code d'instruc
tion criminelle, un emprisonnement de
treize mois, par corps tant une amende
de cinquante francs qu'aux frais; avec
inserti en du présent jugement dans les
journaux d'Ypres, le Progrès et le Propa
gateur.
Pour extrait conforme délivré au minis
tère public, le neuf Octobre 1858.
Le greffier du tribunal de 1" instance d'Ypres,
G. VAN ALLEYNNES.
MAENDAG 18" OCTOBER 1838, ten 2
ueren namiddag, op d'hofplaets van Félix
Vanloot te Poperinghe, opcnbaere Nenditie
van 20 alderschoonste HOORN BEESTEN,
3,000 HOPPE PERSSEN en omirent 3
heclaren LOFTE. De vergaedering in
den Meyboom langsd'Yper calchiede.
Op dry maenden tyd van betaeling by
den Notaris VAX DES BOOGAERDEte
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A. Den woensdag 20en october,
B. Den Zaterdag 16" October, i858,
ten 2 uren, in de herberg Risquons Tout, ter
plaels van Dickebusch, INSTEL van
VILLE DE AVYRAÊTOA.
[B1E1LLI M 11 BATTE
m©nsii3«Ji minai oasQuawi,
OPENBARE VERKOOPING
KLI0IK1I wmm§Y
EN AFHANGLYKHEDEN
TE YPRE.
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BUKKERSTRAET.
se trouvait séparé de la terre d'abordage par quel
ques mètres d'une vase profonde, et l'infortunée
victime dut se résoudre franchir cette distance en
enfonçant chaque pas dans une boue qui maculait
sa personne et ses vêtements de manière lui faire
regretter le moment où elle était doucement remor
quée dans une eau pure.
Il y a quelques jours, écrit on au Mémorial
d'Amiens, d'une ville voisine, M. X..., avocat,
voit entrer un charcutier dans son cabinet.
Monsieur, lui dit ce dernier, je désirerais
savoir si, un chien ayant Jait des dégâts mon
étalage, j'ai le droit d'en réclamer le montant
son propriétaire. Certainementrépond le
jurisconsulte vous avez droit au rembourse
ment du dommage qui vous a été causé. En
ce cas, monsieur, veuillez me payer la somme
de 12 fr., car c'est votre chien qui a mangé
mes saucissons.
M- X... s'exécuta de bonne grâce. Quelques
heures après un clerc de l'avocat se présente
chez le charcutier et lui remet une note de 12 fr.
5o c. pour honoraires de la consultation qu'il
était venu prendre le matin. Les cinquante
centimes en plus servaient payer le déplace
ment du commissionnaire. Il faut, pour duper
un avocat, être plus fin qu'un charcutier
Dans les premiers jours de la révolution de
i848, lorsque Louis Blanc n'était que secrétaire du
gouvernement provisoire, il avait trop de bon sens
pour ne pas voir la puérilité de ses théories pous
sées l'excès, et il n'a eu jusqu'à présent d'autre
but, en les mettant en avant, que de miner dans les
classes ouvrières la popularité de ceux dont il est
devenu le collègue. Lorsque pour la première fois
une députation tumultueuse, réclamant le droit au
travail et Vouvrage assuré, est ai ri vé l'Hôtel - de-
Ville, Louis Blanc a essayé lui-même de lui faire
entendre raison.
Eh bien! dit-il, avec un calme parfait, vous
êtes ouvriers?
Oui, monsieur, répondit le premier citoyen
je le suis, nous le sommes tous.
Mettez-moi vosdemandespar écrit. (L'homme
déconcerté se gratte la tête....) Mais dame! c'est
que je ne sais pas écrire. N'importe, je serai le
secrétaire. Dictez. Comment voulez-vous que cela
se fasse? i® Ouvrage assuré pour tout le monde.
BieD, c'est écrit. 20 Que l'ouvrage soit payé.
Bien. 3"... (Une longue pause.) Mais
comment assurer ça? Mais, mais... c'est que je
n'en sais rien. (Là-dessus, tous ses amis et com
pagnons partirent d'uu éclat de rire, et Louis
Blanc profita de ce moment favorable pour ajou
ter:) Vous voyez, mes amis, il faut quelque
délibération pour arranger tout cela. Maintenez la
paix et l'ordre, qui sont la meilleure sécurité pour
le travail et pour le reste; rapportez-vous-en
nous, qui avons vos intérêts cœur.Sur quoi ils
se dispersèrent tous de bonne humeur.
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STUD1E VAN DEN NOTARIS LAiMBIN,
TE YPEREN.
i858, ten 4 uren in den Olifant, t'Yper,
OVER^fAG van de volgende GOEDEREN
gelegen binnen dezelve stad, te weten
i° Een schoon HUIS met grooten Hof en
Stalvoor 5peerden, in de Rysselstraet, n" i34.
Gebruikl door Jufiv. Dehulster.
2* 5 HUIZEKENS in zeer goeden staet,
met medegaende Erve, in het S1- Christoffel 0/
Nieuwkerkstraetje, geteekend n08 8 tôt 16
inclus. Verdeeld in 5 koopen.
3° Een HUIS met groote Erve in de Neder-
straet, n16. Gebruikl door Sr Joos.
4° 25 HUIZEKENS met i4 aren 35 cent0
Grond en Hoving in een beluik op het Zaelhof.
Verdeeld in 5 koopen.
5® 5 aen een houdende HU1ZEN en Erve
op het Zaelhof, geteekend n" 5 lot 11 inclus
verdeeld in 5 koopen.
En 6® Een HUIS ten dienste van Ilerberg
en medegaende Erve, zynde het zuid-wes-
tersche hoekhuis van de Klaverslraet en het
Zaelhof, geteekend n' 31
Men kan 00k inlichtingen bekomen by den
Notaris VERMINCK, te Vlamertinghe.
1" Eene goede party ZAEILAND gelegen
op kleenen afsland van de plaels van Dicke
busch, langst den steenweg naer Belle, groot
1 hectare 42 aren, gebruikl lot in October i85g,
door S' Ch'-L® Onraet, aen 125 francs sjaers
verdeeld in 2 koopen.
En 2® Een HUIS in 2 wooningen met 12
aren 5q centiaren Grond en Hoving, 00k te
Dickebusch, by het Hallebast.
Iostel pennink te wionen. (2)
en la maison mortuaire de
propriétaire, a warnêton, y décédé.
Le Mardi 19 Octobre 1858, a 9 heures du
matin, la requête de DM° Sophie Cattbav
rentière, a IV ar né ton, l'on Vendra publique-
ment, en ladite maison mortuaire, un beau
Mobilier, consistant en Tables, Chaises, Gar-
derobes. Commodes, Pendule, Bois de Lits avec
les RideauxTables de nuit, Matelas, Lits de
Plumes, Traversins en laine et en plumes
Draps de Ut, Couvertures en laine, Courte
Pointe, Oreillers en plumes, Nappes, Serviettes,
Caraffes, Verres au vin et bière. Batterie de
Cuisine, Poêle avec ses accessoires, etc., etc.
Les marchés de 5 francs et au-dessous devront
être payés comptant, pour ceux au-dessus il y
aura long crédit.
Les Notaires ROMMENS et BUTAYE
Warnêlon, et GOCK.ELAERE, a Nieppe, sont
chargés de la Vente et de la recette.
(2) Qu'on se le dise.
Kantoor van den Notaris VAX EECKE,
te ypre.
Op 28" October i858,owi 3 uren namiddag,
ter estaminet Fournier, INSTEL van een Hof-
sledeken te Hollebeke, groot 2 h. y 5 a. c.
Op 29" Octobre i858, om 10 uren voormid-
dag, Venditie ten slerjhuyse van den Eer-
weerden Heer Verschraeghe te Yper, in de
Meenenstrael, van al de Boeken en Meubelen.
De catalogen zyn te bekomen by den drukker
Simon Lafonieyne en ten kanloore van dito
Notaris VAN EECKE. (1)
VAN EEN
Een schoon, groot en goed HUIS, voorhoof-
dende op de strael, geteekend N' 35 met eene
kleine IVoonst, komende in het Molenslraetje
en hunne afhanglykheden, Gronden en Hof,al
in eenen blok, palende oost een plein gebruikl
door Vergrachl-Sigard, zuid aen M' Comein
en noord aen gemelde Molenslraetje.
Gebruikl: het groot Huis en afhanglykheden,
door H. Liebaert, winkelier en timmerman, aen
ibo francs by jare, betaelbaer aile 6 maenden.
En het klein Huis door Leopold Phlips, zonder
regt van pacht aen 4 fr. 5o cent, te maende-
ZITDAGEN
INSTEL Maendag 25®° October o;g
OVERSLAG Maendag 8°n November 1
Telkens ten 4 uren namiddag, in de herberg
den Olifant, Dixmudestrael le Ypre,
Deze Verkooping zal geschieden voor den
Notaris MAHIEURecolleltestraet, 22 Ie
Ypre, ten overslaen van den Heer Vrederegt*r
van het 1"" canton, achlervolgens de wel van
1 2e" Juny 1816. (3)
Ypres, Imprimerie-Librairie de l>ésiré Lautbiu®Jl°r,ler'
éditeur-propriétaire, ruede Lille, 10, prêt» delà Grand Place.