ANNONCES/' WOONHUIZEN PARTI ZAEILAND, SUISSE. Étude do Notaire ROMMENS, a Warnêton. Le Mercredi 13 Avril 1859, et jours suivantschaque fois 9 heures du matin la maison de M. Gouquier, secrétaire Ploegsteert Place, on vendra publiquement pour cause de cessation de commerce, les Marchandises Neuves, consistant en Draps, Colon, Toile, Gillets, Pantalons, etc., etc. (2) OPENBARE VERK.OOPHMG SCHOONEN HOVENIERBOF Ti Kl 3 fera un nouveau bill de réforme conforme au vote de la Chambre. Le Morning-Post affirme sou tour que le ministère conserve le pouvoir, mais il y aurait une dissolution six semaines après que le Parlement aurait voté les divers services publics. Suivant le Morning-Adverliser, le général Peel et lord Stanley casseraient de faire partie du cabioet où entrerait M. Gladstone. FRANCE» Suivant M. Cermaio Sarrut, les guerres de la république et de l'empire oat entraîné 39 levées de soldats qui représentent en total 4,556,000 hommes. Ces mêmes guerres ont coûté h l'Angleterre, en emprunts, 13 milliards 32,707,000 fr. Vendredi, cinquante-huit pèlerins sont partis pour Jérusalem, sous la présidence de M. le duc de Lorges. ITALIE. Le retour de M. le comte de Cavonr de son voyage b Paris a fourni b la population l'occasion de faire, en faveur de la cause italienne, une démonstration calme et imposante. On a crié: Vive le Roi, vive Cavour, vive Cltalie, vive la France. Des lettres de Rome, de Florence et d'autres villes annoncent de nombreuses et remarquables souscriptions sur les listes ouvertes eo faveur des volontaires qui se rendent eo Piémont. Les volontaires commencent a affluer du royaume de Naples: leur nombre s'élève jusqu'ici b deux, qui joints aux deux siciliens, dont nous avons annoncé l'entrée dans l'armée de l'iodépen- dance italienne, font monter le contingent fourni par le royaume des Deux-Siciles quatre hommes en tout. AUTRfCHE. Ou lit dans V Ost-Deutsche-Post du 1": C'est dans l'intérêt de sa dignité et de la paix en même temps que l'Autriche exige que la Sar- daigne désarme avant la réunion d'un Congrès. Nous ne doutons pas que l'Empereur Napoléon ne désire sérieusement la suspension^ des .armements sardes, qui sont un obstacle bson idée favorite, le Congrès. Mais nous doutons qp'il soit «q état de pouvoir l'exiger du Piémont. M. d'Aigrefeuille; vous avez sans doute quelque grâce demanderquelque parent placer... Faites ce que je vons dis. Roussel se laissa persuader, et on le conduisit dans les appartements du rez-de-chaussée, de Ib dans un grand office, où il vit nn petit homme qui, quoique debout, croisait sur son petit ventre tout rond ses raaius délicates; cet homme causait avec nn grand drôle de six pieds, au teint olivâtre et bilieux, que Ronssel reconnut sur-le-champ pour le cuisinier de son excellence; sou arrivée n'inter rompit pas d'Aigrefeoille, qui disait Oui, mon cher, il faut vons distinguer ce soir nous avons b diner M. le ministre de la marine vous le connaissez? Non, monsieur. M. le ministre est gros, court, brun, crépu et carré; il a le visage rond, le menton relevé, les lèvres épaisses et la bouche grande; c'est un amateur, il faut donc trouver quelque chose de succulent et de nouveau. J'ai on coq vierge de Barbezienx, dit le cuisinier, truffé b tout rompre. C'est bon répondit d'Aigrefeuille dont le regard étincela, mais... Et d'Aigrefeuille apercevant Ronssel s'avança vers lui avec politesse Noos continuons de croire que la cour des Tui leries n'a pas sa liberté d'action, qu'il existe des documents qui lient la politique française et dont la publication est suspendue comme ane épée de Damoclès sur la tête du gouvernement français. Nous le répétons, tout prouve que la France a les mains liées. Elle peut décider le Roi Victor-Emmaouel b temporiser, b attendre, mais toujours en loi faisant espérer b l'accomplissement des promesses faites, soit demain, soit après-demain, soit par le Congrès ou après le Congrès, mais toujours dans un avenir très-prochain. Le programme que le comte de Cavour expose dans sa note du i4 mars déclare si positivement la guerre aux droits de possession de l'Autriche en Italie, il pose si ouvertement eu principe que le gouvernement sarde doit rendre permanente la lutte contre l'Autriche, que personne ue s'abusera an point de croire qu'un petit État comme le Piémont puisse tenir pareil langage vis-b-vis de l'Angleterre et de l'Autriche sans être sûr de ne point parler pour lui tout seul, a Les gouvernements des cantons d'Uri,deSchwitz, d'Unterwalden, de Fribourg et du Valais se sont entendus pour demander une réunion extraordi naire de l'Assemblée fédérale, afin de réclamer con tre les élections pour le Grand-Conseil du Tessin. RUSSIE. On écrit de Saint-Péterburg au Courrier du Havre a De mémoire d'homme on ne se rappelle pas avoir vu en Rossie un hiver plus doux. Les golfes de Finlande et de Bothnie n'ont presque pas été couverts de glace. Dans le mois de février, un navire est arrivé de Copenhague b Helsingfors avec sa cargaison. C'est peut-être le premier navire qui ait jamais tenté et accompli un pareil trajet dans la saison où toute communication entre Revel et Helsingfors ue s'effectue qu'en traîneau. Ici les promenades habituelles sur la Neva, en traîneau attelé de renues, n'ont pas eu de succès cette année. La glace et la neige suffisantes nous ont fait défaut. Monsieur vient delà part du confiseur? loi dit-il. Du tout je me uomme Roussel, courrier, ex courrier, c'est-b-dire, et avant de monter chez son altesse sérénissirae le prince archichaucelier... Ah! des becfigues! des becfigues! s'écria d'Ai grefeuille en frappant ses geooux de sa petite main; voilb ce que je cherchais, voilb le rôti que nous offrirons au ministre de la marine. Très-voloutiers, répondit le cuisinier mais tout comme pour faire un civet il faut avoir un lièvre... vous me donoerez des becfigues si vous en voulez. Voilb la personne qoi vous en procurera, dit d'Aigrefeuille en désignant Roussel du doigt au cuisinier... N'est-il pas vrai, monsieur! dit-il, en s'adressant b Roussel, n'est-ce pas vous qui avez eu l'honneur de donner b souper b l'archichancelier? Mais où..., ce n'est pas b Paris, je crois. Rousse] sentit le piège, il avait surpris un secret, il ne fallait pas le livrer. Je n'ai rien b donner au cuisinier de son altesse, dit-il; d'ailleurs tout le monde ne sait pas A ces mots, le cuisinier s'avança vers Ronssel d'un air menaçant, mais celui-ci se tourna vers d'Aigrefeoille Vous m'avez fait demander, monsieur, que me voulez-vous? D'Aigrefeuille aurait voolu deux choses: manger des becfigues, et surtout savoir où Cambacérès avait van goede en gerievb en allerbestb gestaen bn gelegen digt noord by de plaets. 1-O V in Koop. Alvorens een Huis beslaende in Keukenkamers, Kelder en andere plaetsen, al gevloerd, Houtlogie en Hovenierhof voor den Huize groot met den bebouwden Grond en Koer by kadaster. wyk B, nummers i64c en i65a, 4 aren 90 cenliaren in fVestroosebeke, oost by de IVulfwynkel straelzuid langs den omgang weg, houdende oost den volgenden koop en Seraphyn Syoen, zuid Francis Preneel en west denzelven Syoen. Bewoond en gebruikt door den veldwachler De Ceuninck met liet westeinde van den 3° koop tôt i" Mei 1860, mils 84 franks 's jaers boven de belastingen. 2" Koop. Oost aen een fVoonhuis met clen Grond waerop lxet is slaende groot by kadaster, wyk B, N" i64b, 5o cenliaren, zuid langs den omgang weg, palende oost Seraphyn Syoen de slaketsels lùerafgaendeen ten deele zuid lut hovenierland van den in koop. Bewoond door Jao Beeuwsaert lot 15° jcTnuary i86o, mils 45 franks 's jaers begrepen voor bel gebruik west deel van den 3° koop. Deze koopen zullen 00k in masse aengeboden worden. 3° Koop. fVesl langs de gezeide Wulf- wynkelstrael 'eenen allerbesten Hovenierhof, groot by kadastrale mate, wyk B, nummers 062 en 563, 7 aren 90 cenliaren palende noord Pieler Van Neste, zuid en west Jan Ver- scliaeve. Gebruikt als gezeid. 4" Koop. De zuid helft van eene allèr- schoonste en beste party Zaeiland, groot 29 soupé l'avant-veille. C'était une jalousie d'estomac, nne inquiétude naturelle, si l'on pense que l'archi- chaocelier loi avait vaguement patlé d'un vin exqnisd'un plat recherchéet qu'après une abseoce de quinze heures, il avait refusé de s'ex pliquer avec netteté. Où était allé Cambacérès? Quel convive l'avait reteou Avait-on passé quioze heures b table? Était-ce ane conspiration contre le cuisinier que le bon d'Aigrefeoille protégeait? A voir la toilette modeste et les manières ordinaires de Roussel, cette dernière supposition était possible; et d'Aigrefeuille qui ne sortait pas de la sphère qui lui procurait les jouissances les plus en rapport avec son âge et son goût, aurait regardé une révo lution dans les coisioes de monseigneur comme plus importante qu'une révolution dans l'Etat. 11 renvoya donc le cuisinier b son fourneau, et une fois seul avec Ronssel, il loi dit L'archichancelier est si bon, mon ami, qu'on ne l'aborde jamais sans loi demander quelque grâce, quelqne faveur, et c'est moi qni suis ordinairement 1 intermédiaire des bontés de son altesse; voila pourquoi je vous ai fait venir. Le prince est bon, mais il a les formes un peu dures, un peu sèches, et il faut savoir l'aborder. Cest ce que j'entends parfaitement, mon ami; ainsi, dites-moi ce dont il s'agit, je me charge de votre affaite. Pour être continué.)

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Le Propagateur (1818-1871) | 1859 | | pagina 3