VËNDITIE VAN BOOllEN, EIKEN BOOMEN ÉTAT-CIVIL D'YPRES, ESPAGNE. AUTRICHE. TE HOUTHEM. OPENBARE YERKOOPING AL S.VI i:i)i: VA\ SPARREIN EN EIKEN TAILLIE BUSSCHEN BOSCH VAiy HOUTHULST maître particulier des eaux et forêts, plus uoe somme de 10,000 livdont 5,ooo devaient entrer dans la communauté. Ces précautions témoignent que l'on appréhen dait déjà, et non sans motifs, les suites de la pro digue insouciance du bonhomme. Elles ne purent néanmoins le sauver de sa ruine. Sa fortune tout entière y passa, ainsi qu'il a pris soin lui-même de nous le faire savoir dans son épitaphe Jean s'en alla comme il était veou, Mangeant soo fonds et son revenu. On a fondé Strasbourg un journal destiné faire en Allemagne une propagande favorable aux vues françaises, le Correspondant de Strasbourg. Il est adressé aux libraires allemands un grand nombre d'exemplaires, pour être distribué gratis. On leur offre, pour le placement de celte feuille, des remises, qui sont hors de toute proportion avec le prix d'aboooement. Néanmoins ces libraires refusent de s'occuper du débit. On sait que 92 personnes ont péri avec le navire américain la Luna, brisé sur uo rocher, près de Bailleur, le 17 février dernier. Jusqu'à ce moment, nous écrit-on de Galteville, on n'a recueilli que 24 des victimes de cette catastrophe, dont 16 hommes, 6 femmes et 2 enfants. 16 de ces malheureux sont enterrés dans le cimetière de Galteville; les 8 autres sont dans le cimetière de Barfleur, 68 sont encore retrouver. Les derniers cadavres ont été recueillis le 8 et le 9 mars; 11 furent déposés par la marée sur le littoral de Galteville et 1 sur celui de Barfleur; c'étaient 8 hommes, 2 femmes et 2 enfants. On lit dans la Patrie Notre correspondant de Rome nous assure que le général Lamoricière a trouvé dans l'Etat ponti fical des éléments militaires sérieux, des places fortes en bon état, des approvisionnements nom breux. Il nous assure également que le général a reçu de Paris l'autorisation nécessaire tout Français qui veut prendre du service l'étranger. Un journal belge donne, sur la situation de M. Louis Veuillot, des détails complètement inexacts. Nous croyons pouvoir affirmer que cet écrivain n'est l'objet d'aucune poursuite, et que ses papiers, dont nous avonsaunoncélasaisie,luiont été rendus. [Patrie.) Divers correspondants de Paris, d'accord avec les journaux français, ont annoncé plusieurs reprises que le prince de Monaco était entré en négociations avec le gouvernement français pour la cession de la principauté la France. Le prince a fait écrire que ces bruits n'ont rien de fondé. Une correspondance de Madrid, adressée au Messager de Bayor.ne, contient les détails sui vants sur les antécédents du général Ortega Le général Ortega descend de l'une des familles les plus distinguées et les plus honorables de l'Aragnn. Il servit dans l'armée jusqu'au moment où, ayant obtenu le grade de lieutenant, il demanda son congé pour se marier avec uoe jeune personne de noble race et fort riche. Il vécut alors de la vie de famille dans sa ville natale, demeurant étranger toutes nos luttes politiques; mais un jour vint où son esprit iuquiet et bouillant le porta prendre part au pronunciamiento de i843 contre la régence d'Espartero. La junte populaire de Saragosse le charge^de l'organisation de quelques forces et le nomma colonel, grade qu'Ortega obtint la faveur de voir confirmer depuis par le gouvernement, et qu'il échangea quelques années après contre l'écharpe de maréchal de camp. C'est uo homme influent dans son pays; il a été élu député plusieurs fois. Pendant le dernier cabinet du doc de Valence, il a été détenu plusieurs mois en ptison pour les abus d'autorité qu'il avait commis c:mme capitaine général des Canaries. C'est celte déteotion qu'on attribue son entrée dans l'union libérale, circon stance qui lui valut d'être appelé bientôt la capitainerie générale des îles Baléares. C'est l'un des plus jeunes généraux de notre armée. ITALIE. On écrit de Rome, le 3 avril, au Journal des Débats M. le général de Lamoricière est Rome depuis dimanche. Il a eu hier huit heures du soir une entrevue avec le Saint-Père le résultat en a été l'acceptation du commandement en chef des forces militaires pontificales par le célèbre géuéral fran çais. A Aocône, M. de Lamoricière a déjà vu une partie des soldats de S. S.; il paraît que sur cet échantillon il en a conçu une opinion favorable. Nul n'a plus d'autorité pour de pareils jugements, uul ne pourrait mieux que le général mettre en relief les mérites de celte armée... Il paraît bien certain que le cardinal Antonelli a été étraoger toutes les négociations qui ont amené ici M. de Lamoricière. Comme bien d'autres, cette affaire appartient tout entière l'initiative du Pape. Elle a été conçue et traitée par lui et par les familiers du palais. Le cardinal était de bonne foi lorsqu'il assurait, il y a peine quinze jours, aux agents politiques de la France, que le général qu'on allait choisir ne serait ni autrichien ni fran çais. Après le refus du général Meyer-Hofer, on avait entamé des négociations avec un officier belge. On écrit de Turin le 6, que le parti exalté, ayant sa tête le général Garibaldi, se remuait beaucoup faire rejeter par le Parlement le traité de cession la France de la Savoie et de Nice. Le gouvernement piémontais est décidé rem plir ses obligations et combattre les prétentions du parti exalté. Le chef du cabinet de Turin a formellement déclaré qu'il donnerait sa démission si la ratification du traité était repoussée. Une lettre en date de Trieste, publiée par le Times du 4 avril, donne de curieux détails sur les fraudes commises pendant la dernière guerre dans le service de l'armée antrichienue. Le déficit, dit cette correspondance, s'élève une somme qui n'est pas moins de 17 millions de florins (42,5oo,ooo fr.), dont 5 millions de florins (7,5oo,ooo fr.) sont attribués quelques uns des principaux marchands de notre ville. L'un est en prison deux sont en fuite, et d'autres ont été obligés de soumettre leurs livres, papiers, etc., uoe investigation sévère. Pour vous donner une idée de l'effronterie audacieuse des voleurs et du nombre de complices nécessaires, je citerai un seul exemple, quoique, si cela était nécessaire, on pût en donner beaucoup d'autres. Mautoue est une ville entourée de mu railles; les bœufs qui entraient par uoe porte tra versaient la ville pour sortir du côté opposé; faisant ensuite le demi-tour de l'enceinte, ils rentraient par la première porte, et ce manège se renouvelait cinq fois. Mais il reste encore connaître le côté le plus remarquable de l'histoire, en ce qui concerne Mau toue. Une maison Trieste avait fait un traité avec le gouvernement autrichien pour la peau des bœufs employés la nourriture des troupes. Maintenant, si chaque bœuf vivant pouvait compter pour cinq, il ne pouvait cependant être tué qu'une fois et ne devait donner qu'une seule peau. Les soumissionnaires, en conséquence, réclfi* mèrent et reçurent le prix du marché convenu avec le gouvernement, et stipulé dans le contrat, de un florin par peau qui serait délivrée en moins du chiffre arrêté. Ils ont ainsi reçu 3o,ooo florins (75,000 fr.j pour 3o,ooo peaux d'animaux qui n'avaient pas été tués et qu'on n'avait pas pu livrer DU 7 AVRIL AU 13 INCLUS. Naissances i5. Sexe masc. 7, id. fémin. 8. Uu mort-né du sexe féminin. Mariac.es 6. Deconinck, Jean, tapissier, et Packen, Barbe, journalière. Cailliau, HeDri, jardinier, et Huygebaert, Anastasie, jardinière. Darnman, Charles, tailleur, et Wyffels, Sophie, dentellière. Coffyn,Richard, peintre,et Debruck, Amanda, sans profession. Potteau, Adolphe, marchand de lin, et Debruck, Louise, saus profes sion. Dehaeue, Heuri, maçon, et Flamand, Reine, dentellière. DÉCÈS 2. Philips, Natalie, 10 ans, rue de Thourout. Suffys, François, 71 ans, jardinier, veuf de Sophie Delbecque, rue de Thourout. Enfants au-dessous de 7 ans 2. - Sexe mas. 1, sexe fémin. 1. Den Notaris DU FORT, le Ledeghern, 2 al DONDERDAG 19° APR1L 1860, len eene uer namiddag, openbaerlyk doen Ferhoopen, 1er hofstede gebruikt door de weduwe en kinderen Vandenberghele Houlhem, een groot getal schoone en zwaere Abeelen en Popelieren. Op gewoône conditicn en langen lyd van betaling. VAN SCHOONE in het ONDER LANGEMARCK. Ten verzoeke en in belweve van Madame weduwe en kinders van Mynlieer Franciscus Elleboudtgrondeigenaren te Langemarck zal den Notarié DE LA VIE lot het zelve Langemarck, onder de gewoone voorwaerden, openbaerlyk VerVoopen DINSDAG 24e" APRIL 1860, om 1 ure juist namiddag le beginnen. 40 KOOPEN Schoone Eikeu ISoomen Slaende en groeijende, naby de PolledreeJ ac/iler en digt by het huis van den boschbe- waerder Uendrik Descamps, dienende voor Timmer Kuip Bylen en andere werken. 2° 2,000 schoone en groole Sparre- Busschen. 3° En 3,ooo Eiken Taillie-Busschen en S lui ten. Ailes door de nabyheid van den sleenweg van Poelcappelle naer Dixmudevan een gemaWelyken vervoer. De vergadering aen koop een, van de Boomen, alwaer de VerVooping zal aenvang nemen. Aenmerking. De Eiken Taillie-Busschen en Sluiten zullen Verkogt worden in het huis van genoemden boschbewaerder, der halve zullen de gadinghebbenden de zelve vooraf moelen gaen bezigtigen. Den boschbewaerder Hendrik Descainps, zal de liefhebbers ailes aentoonen. Met gewoonen tyd van betaling, belaelbaer len kantoore van buvengenoemden Notaris DE LA VIEte LangtmarcV. Meo make het ruchlbaer. I

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1860 | | pagina 3