ANNONCES. MEUBELEN HOLLANDE. FRANCE. ESPAGNE. ITALIE. AUTRICHE. PRUSSE. om te scheiden uit gemeenzaemheid. OPENBARE VERKOOPING "van TER GBHUCHTB DE KRUI8STRAET. 3 feuille prussienne, est un royaume par la grâce de la France, dont toute la puissance doit obéir aux impulsions données il Paris. Il est évident que le but que se propose la Sardaigoe est l'acquisition de fa Véoétie, et le moyeo pour y parvenir est la évolution européenne. Le but de la France est d'exploiter dans son intérêt immédiat le chaos qui en résulterait. Au milieu de ces périls, l'Autriche s'efforce en vain de sortir d'une crise intérieure. La Russie paigue encore des blessures faites par la guerre d'Orient et par l'agitation que de grandioses projets de réforme ont excitée dans ses populations rurales. C'est ainsi, conclut la feuille hebdomadaire, que les dernières espérances reposent sur la Prusse pour mettre fin h de futurs abus de pouvoir et h un bouleversement révolutionnaire. C'est sous de pareils auspices que les Chambres se réuniront. Berlio, samedi, 13 janvier. Un supplément extraordinaire dn journal officiel omulgue une amnistie pour tous les individus légalement et valablement condamnés pour les imes et délits de haute Irahisoo, d'offenses envers le pays et le Roi, de résistance envers l'autorité de l'État ou de transgression des lois et de l'ordre public. Les personnes qui se seraient soustraites par la faite h l'instruction ou an jugement de ces crimes et délits sont autorisées h rentrer; en cas de con damnation, le ministre de la justice proposera leur grâce. Le Roi se réserve de prononcer sur les requêtes des individus condamnés par les tribunaux mili taires qui solliciteraient leur grâce. Berlin, samedi soir, 13 janvier. M. de Schleioitz a adressé aux représentants de la Prusse h l'étranger une circulaire confidentielle sur l'avènement du Roi Guillaume, Il y est dit que la politique intérieure dn gouver nement ne subira aucune modification. Quant la politique extérieure la Prusse s'atta chera, de concert avec les autres puissances, donner aux difficultés pendantes une solution qui puisse garantir la paix. La questiou allemande n'est traitée qu'en termes généraux. Une lettre de Bois-le-Duc parle de graves inondations qui ont eo lieu dans les environs de cette ville. Des masses de glaçons ayant obstrué les eaux, du fleuve, des digues ont été rompues et les flots se sont répaodus dans les campagnes. Plusieurs villages sont entourés par les eaux. Sur divers poiots de la Hollande, on signale des inondations de ce genre. Un décret impérial du 13 janvier convoque le Sénat pour le 33 de ce mois. Ou lit dans la Patrie Ou assore que le ministre de Prusse Turin aurait reçu de son gouvernement l'ordre de pro tester contre la prétention émise par les autorités piemootaises de faire considérer Trieste comme une propriété du royaume italien. Nous lisons dans i'Union Nous apprenous l'instant même que Saïd- bey Djomblatt a été condamné h mort Beyrouth, avec deux autres chefs druses. Koorcibd-pacha, le graod complice de Saïd-bey Djomblatt dans les massacres de Syrie, a été seulement condamné la dégradation et la détention perpétuelle dans une forteresse. L'Empire c est la paix. En conséquence les généraux du premier corps d'armée ont passé, ces joors-ci, la revue trimestrielle, et ont reconnu quels étaient les boromes qui, soit cause de leur âge ou de leur état de santé, se trouvaient dans l'impossibilité de faire campagne. Il y en a eu >eu près 3o par régiment. Ces boromes ont été envoyés aux dépôts des corps; ils seront remplacés par d'autres hommes valides. Il a été décidé aussi que les officiers qui, d'après les règlements, devraient être montés, seront pourvus de chevaux pour le 1" février prochain. On raconte une anecdote curieuse sur M. Carvalho de Moraës, le ministre de Brésil qu'une mon subite a enlevé la veille du nouvel an. Le 3i décembre au matin, M. de Mofaës se rendit chez son banquier et se fit remattre par lui une somme de 5o,ooo fr. Le banquier, qui n'était autre que le représen tant de la maison Rothschild, s'empressa de satis faire au désir de son client, mais ses comptes étant clos ou sur le point de l'être pour l'exercice 1860, il pria le diplomate de postdater sa quittance, qui reçut ainsi la date du i"janvier 1861. Le soir du 3i décembre, M. de Moraës tombait frappé d'apoplexie foudroyaote. Il a donc louché ses 3o,ooo francs le lendemain de son décès. Il est fort heureux que de pareilles aventures se passent entre honnêtes gens. Uoe jeune fille de quatorze ans souffrait depuis quelques semaines, dit la Espana medica, de désordres gastriques mal déterminés. Trois appli cations successives de sangsues avaient produit lentement une amélioration assez notable, lorsque tout coup il se manifesta une fièvre intermittente accès quotidiens réguliers. On essaya le sulfate de quiuine, mais sans aucun succès. Cependant, le diagnostic paraissait si incontestable que l'on pré féra plutôt accuser l'impureté du sel, et on se borna élever la dose, ce qui néanmoins ne donna pas de meilleurs résultats. Tout paraissait désespéré; la malade maigrissait et s'affaiblissait de plus en plus, lorsqu'un jour sa mère, en l'examinant, découvrit la présence d'un corps dur sous la peau de l'aine gauche. Le méde cin le retira au moyen d'une petite iucision. C'était uoeaiguille longue de 5 6 centimètres. La malade se souvenait bien de l'avoir avalée par mégarde mais comme elle n'eu avait, sur le moment, res senti aucune incommodité, elle n'y songeait plus et n'en parlait point. La cause des souffrances qu'elle éprouvait depuis trois mois étant enlevée, cette jeune malade se rétablit immédiatement. On écrit de Turiu, le 10 janvier, au Journal des Débats s L'Autriche a déclaré en termes formels qu'elle considérerait toute entreprise tentée par Garibaldi sur la Vénétie ou tout autre point de ses posses sions comme un fait de guerre, et qu'elle agirait en conséquence. On écrit de Rome, 5 janvier La phrase que le Pape a'prononcée en recevant le corps d'officiers de l'arrnée d'occupation, a été inexactement rapportée. Après avoir reçu la béné diction papale donnée aux officiers et l'armée françaiseM. de Goyon a fait remarquer que le Saint-Père n'avait pas comme d'habitude pro noncé le nom de l'Empereur, et il lui a demandé sa bénédiction pour lui. Alors le Pape a paru hésitant et incertain; il y a eu pendant une demi- minute un silence curieux dans la salle du Trône, ou les officiers, au nombre de plus de 4oo, étaient réunis. Alors le Pape, d'une voix Irès-tremblante, car son émotion se peignait sur son visage, se mit dire Soitpuis il s'arrêta comme pour se recueillir et reprit haute voix Oui, général, je l'envoie, non pas pour ce qui s'est fait, mais pour ce qui se fera, j'espère. Il parait que les insuccès de Cialdini devant Gaëte ont beaucoup aigri le caractère de ce génér ral. C'est ao point que, nou content d'interdire h ses officiers de communiquer les moindres rensei gnements sur les travaux du siège, il a menacé de peines terribles les correspondants des journaux étrangers qui parleraient du siège de Gaëte, lequel jusqu'à présent, dit le Progrès, parait de la même famille que le siège de Troyes. Cette défense ne fait que donner plus d'intérêt aux détails que nous donnent les correspondances de Naples et du môle de Gaëte sur les tribulations de l'infortuné général, qui sera dit-00 remplacé par le général La Marmora. La Gazette de Vienne annonce que la santé de l'Impératrice s'est décidément améliorée.Sa Majesté vit très-retirée Madère et n'a reçu que le comte de Linbarès, envoyé par le Roi de Portugal pour la complimenter, ainsi que le gouverneur, l'arche vêque et lé commandant militaire de l'île- L'Impé ratrice fait souvent des excursions en mer, et passe le reste de son temps dans ses appartements ou dans le jardin de la villa, d'où l'on jouit de la vue de la mer. Dans ses promenades, l'Impératrice se sert du véhicole d'usage, un traîneau attelé de bœufs. Ou lit dans la Nouvelle Gazette de Prusse du 13 janvier: Nous apprenons de bonne source que le corps d'occupation en Syrie sera augmenté par une par- lie des troupes françaises, revenant de la Chine. Malgré tous les efforts de l'Angleterre, il n'est guère probable que l'armée française quitte In Syrie au mois de mars; d'ailleurs ce serait tout fait impossible, car on ne voudrait pas exposer tous les chrétiens être immédiatement massacrés par les Druses. EN EfFECTEN VAN MENAGIE. HOEFSMIDSHALLAEM EN HERBERGTUIG, T'YPER, BUITEN, Den Woensdag 5o'a JanuaRY 1861, len 9 uren 's morgens en len 3 uren namiddag, zal er door den Nolaris LAMBIN, t'Yper reside- rendevoorlsgevaren worden len huize len diensle van peerdesmisse en herberg gebruikt door de weduwe van sieur Francisons Deramnadt, ter gehuchte de Kruisstraet, toi de Verkooping van roerende voorwerpen beslaende namelyk in Stoelen, zelels, lafels, commoden, buffets, lleertassenspiegels quinquets stoven met hunne toebehoorten, coffres, wasch en andere tuipen; - loper- tin- yzer- en bliLwert; - gleis - glas- en aerdewerk- bedbakken wollen matrassen, pluimen oorkussens, kaffen hoofdeinden en onderbedden, wollen sargien, linwadenlakens, bedspreeden; - kordewagens, spadenhouwen vorken rake/s en ander hoveniers en landbouwershallaetn - al bel smidshallaem, vervroc/it en onvervrocht yzer, - hel herberg gerief en meer andere voorwer pen le lang om te melden. De verkooping zal geschieden met gereed geld en verhooging van den 1 o" pennink voor kosten, (1) Dat men hel voorls zegge.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1861 | | pagina 3