MEUBELEl
TERRIER - DERAEDT,
MEUBELS,
A N N ON C S.
PASSCHENDAELE.
TE BIXSCHOTE
A YPRES,
VENDIT! E
AERDAPPELS TE VELDE,
L'Observateur romain ajoute
4L
VERROOPING
EN HU1SRAED
A l'honneur d'informer le Public, qu'à
dater de ce jour, il tient chez lui un
Dépôt d'HUlTRES ANGLAISES, ainsi que
du SAUMON frais, du TURBOT et des
HOMARDS, en lui faisant la commande
temps. 11 les vend au même prix que
ses concurrents.
Op gewoone voorwaerden en lyd van beta
ling, mits borg stellendc. De koopen tôt en met
5 francs nochlans kontant te, voldoen. (1J
place, les milices française et pontificale exécu
taient des symphonies.
Ce cri Nous ne voulons pas d'autre souverain.
Vous êtes notre Roi! n sortait de milliers de
bouches b la fois. Des centaines de bannières jaunes
et blanches avec l'écusson du Saint-Père entou
raient son carrosse. Les hommes portaient des
cravates aux couleurs pontificales (blanc et jaune.)
Tout le monde était en proie b la plus vive
émotion. L'auguste Pontife attendri étendait h
chaque instant la main pour bénir le peuple, et
alors les acclamations devenaient plus enthousiastes
encore. Les yeux do Pontife se mouillaient, et cet
attendrissement était partagé par la foule.
La Civiltà catlolica nous donne, dans sa
livraison du ier septembre, le récit de ce qui s'est
passé l'audience donnée par le Saint-Père au
confesseur du comte de Cavour. Voici ce récit
A peine arrivé Rome, où il avait été appelé
par les supérieurs de soo ordre, le P. Giacomo d.a
Poirino fut reçu en audience par le Saint-Père. Sa
Sainteté lui adressa aussitôt la parole en ces termes
Nous savons qu'à tons ceux qui vous demandent
ce qui s'est passé la mort du comte de Cavour,
vous avez l'habitude de répondre Il s'agit du
secret sacramentel de la confession, et ainsi je ne
puis rien dire. Pour ne pas être exposé recevoir
de vous une semblable réponse, qui, s'adressant
Nous, serait une véritable insulte, Nous vous
déclarons qne le secret de la confession est chose
tellement inviolable, que vous êtes obligé de le
garder en face de quelque autorité que ce soit,
quand ce serait la plus haute, quand ce serait la
Nôtre. Mais la mort du comte de Cavour, il y a
eu des actes extérieurs et visibles pour tout le
monde on lui a administré le' Viatique, on lui a
donné l'Extrême Onction. Cet acte extérieur
n d'administration des sacrements exigeait néces-
saireraent un acte extérieur, la rétractation, sans
laquelle vous, son curé, vous ne pouviez consen-
tir b lui administrer les sacremeuts de l'Église.
Comment ces actes extérieurs, ont en lieu, c'est
ce que Nous, gardien de la sainte discipline de
l'Église, voulons apprendre de vous-même. A
ces paroles si graves, le Père répondit en racontant
ce qui déjà était connu de tout le monde, qu'il n'y
avait pas eo de rétractation, parce qu'il n'avait pas
cri» alors devoir l'exiger. Cette réponse, il la con
firma ensuite par écrit, en exposant la suite des
faits arrivés en cette douloureuse circonstance; et
sans confesser explicitement, selon le désir de
l'autorité ecclésiastique, qu'il avait manqué b son
devoir, peut-être en raison de la difficulté des
circonstances, il déclara seulement d'une manière
générale que s'il avait manqué en quelque manière,
il en demandait pardon. Le but de son voyage
étant ainsi atteint, quoique imparfaitement, on le
laissa partir, en lui défendant seulement d'adminis
trer désormais les sacrements, puisque, n'ayant pas
su ou n'ayant pas voolu, dans un cas si évident,
remplir le devoir d'un ministre de l'Église, il ne
pouvait, sans détriment pour les âmes, exercer des
fonctions si importantes.
ARCHIPEL lOnIEN.
On mande de Cotfou, le 31 août, a la Gazette
du Danube, que la santé de l'Impératrice d'Autri
che continue de s'améliorer. S. M. fait des prome
nades en voiiure.de petites excursions dans l'inté
rieur de l'île. Elle a visité en détail la frégate
Adria et projette on petit voyage aux îles de
Zante et de Paxo.
TURQUIE.
On éciit de Constantutopie, 4 septembre, au
Salut public, de Lyon
Le gouvernement est aux abois. Le Trésor est
sec; le fruit de toutes les économies faites j'isqu'a
ce jour est absorbé par l'équipement des troupes,
et plus encore par l'entretien de la maison du
Sultao.
Il est bon de vous dire qu'Abdul-Aziz a
réfléchi qu'une seule femme ne lui suffisait pas; il
monte un sérail qui u'aura peut-être pas son pareil.
11 a déjb neuf jeunes femmes. On forme actuelle
ment deux corps de danseurs et de danseuses
(aimées). Plusieurs de ces dernières ont étéenvoyées
d'Egypte. H
n Le théâtre du palais de Doltua-Sagtogé, qui
avait été supprimé, a été de nouveau ouvert par
ordre du Sultan. Deux brillantes représentations
ont eu lieu luodi dernier, et hier Abdul-Aziz
a commandé des décors qui coûteront des sommes
importantes.
Plusieurs négociants européens et indigènes
qui ont fourni au palais des ameublemeots et des
étoffes pour une somme considérable, ont jugé
b propos d'envoyer leurs mémoires au trésorier du
palais. La plupart ont teçu en retour la décoration
de l'ordre du Medjidié, de 4* et de 3° classe.
Depuis longtemps, il n'y avait pas eu uoe
distribution de décorations aussi nombreuse plu
sieurs domestiques oui reçu cette marque de
distiuctiou. Ou cite le cuisinier en chef du palais
qui vient de recevoir le Medjidié de 2* classe, ce
qui'équivaudrait eD France au grade de graud-
officier de la Légion d'honneur.
AUTRICHE.
L'Ost Deutsche-Pust raconte dans les termes
suivants un accideut arrivé, b S. M. 'l'Empereur
François Joseph, et qui heureusement n'a pas eu de
suite fâcheuse
L'Empereur revenait ce matin après les manœu
vres de cavalerie qui ont eu lieu près de Schemels,
au château impérial, lorsqu'au détour d'une rue,
les deux chevaux de la voilure se sont abattus. Sa
Majesté est descendue aussitôt et s'est rendue
eu fiacre au château. L'accident n'a eu aucune suite
fâcheuse ni pour le souverato, ni pour les chevaux,
qui ont pu continuer leur route.
Un chimiste de Vienne vient d'inventer une
nouvelle façon de rendre difficile la falsification du
papier-monnaie. Il s'agit de l'iutroduciion dans le
papier de fils de colon, dont le uooibre indique en
même temps la valeur du biilet.
Un fait assez curieux est arrivé chez un
dentiste de Vienne. Il venait d'extraire une deut
sans doute par le moyeu du chloroforme. La
bouteille qui contenait ce liquide s'étant cassée et
le chloroforme répand», il produisit son effet sur
tous les assistants, qui demeurèrent quelque temps
eu état d'insensibilité.
ii 1-
ALLEMAGNE.
Dans la nuit du 10 au 1 1, un incendie a réduit
en cendres un des plus grands établissements de
Siuitgardt qui occupe plusieurs centaines d'ouvriers,
dans la fabrique de M. Schôttel. Le feu s'est dé
claré vers 8 112 heures. Malgré l'humidité du
temps, le Roi est resté sur le théâtre de l'incendie
depuis 9 heures jusqu'à minuit et ne s'est retiré
que quaod le ministre de l'intérieur a pu lui don
ner l'assurance que l'on était assez maître du feu
pour qu'il rie pût gagner les constructions voisines.
L'incendie a duré jusqu'à 5 heures du matin ré
pandant sa lueur b la fois belle et horrible jnsqo'au
delà de Kaunstadt, Esslingen et Ludivigsbourg. Le
tout est assuré pour 200,000 florins. Malheureu
sement un brave pompier a payé de la vie son
courage et son zèle.
PRUSSE.
On écrit de Cologne Parmi les princes et
généraux illustres qui assistent ans manœuvres de
l'armée prussienne, on renia que
i> Pour l'Angleterre le prince de Galles, le duc
de Cambridge, lord Cley, lord Cardigan. Le géné
ral Forey, de l'armée française.
[.'état-major du Roi de Prusse se compose
aux manœuvres de plus de 3oo officiers de toutes
nations.
VAN
Of DE PLAETS.
l<51 g H
Woensdag 25en September i861 ,'amicl.
dags ten 1 2 ut en just, zater ten sterjhuize van
S' Jacobus De Gryse, te Bixschole, op de plaeht
Ferkooping gehouden worden van tajels. stoe-
len, commodeledekanten, kleerkaxsen, slag-
horlogie met kas, slove met toebehoorten, mul-
trassen, hoofdeinden en hoo/dkussens, bed en
tafellynwaed, sargien, veele schoone kleeding
en lynwaet, koper, tin- yzer- gleys, glas en
aerdewerk, aelkuipen.kortewagengoede traem-
karre, rakels, hauwen, vorken, spaen en meer
andere voorwerpen te lang om te melden.
De koopen van 5 francs en min comptant le
betalen voor de andere koopen lyd van betaling
mils borge te stellen en aen de conditien le
voldoen.
(1) Elk zeg het voorts.
MARCHÉ AUX POULETS,
BY STAKING VAN BEDRYF.
van
BEESTIALEN, AKKERTUIG
en
op
Op Vrydag 27" September 1861, le begin-
nen ten 9 uren 's morgens zal deh ISolaris
CHR1ST1AENby openbare Venditie verkoo-
pen, ter hofslede en behoeve van S' Petrus
Bogaert, op Passchendaele, wyk Massakveld;
A. - Al de meubelen en huiskatheilen, als
tafels, stoelen, koper- tin- yzer- aerde- en
gleiswerkkassen, kommode. slaghorloge en
verderen huisraed.
B. - 4 goede melkkoeyen en 1 jaerling.
C. - Kuipen, keirn, aelkarteel, aelkuipen,
kortewagenswindmolen, vtasrepe, Spaden,
houwee/e, en ander akkerhalàm, 4oo amtloo-
zen, houi. strooi en gezaegdhout.
En D. - Omtrenl 1 hectare aerdappels, wat
beelrapen en verder vruchten te velde.
Ypres, rue de Lille, 10. Imprimerie, Librairie et Lit)»0"
graphie de Justin l.anikinéditeur - piopriéuiK,
aùeéitiSi ur de' ttésiré Lamliiji-iliôriier.