BOOMEN,
BOSCHTAILLIE
ÉTAT-CIVIL D'YPRES,
VERKOOPING
TE YPEREN
Woensdag 26en February
VERKOOPING
4,300 SPARREN,
Dynsdag 18en February
Builen de Byssetpoorl langst de calcliiede
naer S-Eloy.
1862, len ecn uren namiddagzal'er ten
huize van voornoemden heer Gardein
Vendilie gehouden worden van Meubelen
en Huisraed hestaende namentlyk in
Sloelen, Tafels, Kassen, Ledekanlen in
kersselaeren hout, zeer schoon Buffet 00k
in keersselaeren hout, Koffers, Tassen in
Chinees porceleynveel Koper-, Tin-1,
Yzer-Blek-Gleysch- en Aerdewerk
Plaen en Tailloren in Engelsch tin dob-
bele en enkele Liters in tin, Bier en
Liqueur Caralïen veel van aile slag van
Glazen, eeneTraemkarre, Spaen, Hauwen,
Rakels, Vorken, Greepen en Dryianden,
veel Gley en Boon Slrooy, veel Brandhout,
Calchiede Sleenen. eene groote hoeveel-
heyd Bertverscheyde Mesthoopen en
meer andere voorwerpen len dage der
Verkooping vooren te brengen.
De Verkooping geschied met tyd van
betaeling enkelyks voor de koopen de 6
francs overtreffende, mils goede en wel
bekende borge te benamen en aen de
conditien te voldoen.
(i) Elk zeg liet voort.
Zillebeke en te IVytschaete.
1862, 's middags ten 12 uren juslzal'er
Venditie gehouden worden te Zillebeke,
1* In een weide deel makende der
hofstede gehruikt door Boudry Odent van
13 koopen lepen, Esschen, Abeelen, Pope-
lieren en Wilgen Boomen.
2" By d'hofstedegebruikt door Birlouet,
omirent by de voormelde weide van 500
zeer schoone Hommelpersen.
3" In twee partien boschBlanke-
taillie, gelegen le Wylschaete regt over
hel hofstedeke gebruikl door Louis Bar lier,
en by het kasteel van M. Deneckere, van
31 koopen Beuken Boomen en van 360
zeer schoone Kepers en Tabak Persen en
5,910 Hommelpersen van 1* en 2' classe
Inlegpersen, Vlaekepersen, enz.
En 4" Ter herberg van sieur Desmyl-
ter, op het gehugle Verbranden Molen, le
Zillebeke, van 2 h. 77 a. 40 c. Boschtaillie
met 22 Planlsoenen zynde den onlbloot
van den Vogelbosch, verdeeld in 5 koopen
beginnende van noorden.
En van de Taillie met 5 Planlsoenen,
van een parceel bosch genaemd bel Pap-
polie, in eenen koop.
De liefhebbers zyn gebeden deze bos-
seben te voren te gaen hezigtigen. Den
boschwagler Jacobus Dumoulindaerby
wonende, zal hun ailes aenloonen.
De Verkoopinge zal beginnen in de
ecrst gemelde weide palende aen de Lin-
neplekke der hofstede gebruikt door Ferdi
nand Vanlhuyne en aen het NVaestenstratie.
Gewoonelyken tyd van betalinge, mils
bekende borge te stellen en aen de condi
tien te voldoen.
(1) Elk zegge hel voorls.
frise du temple d'Autouio et Faustioe, deux ber-
roès double tête, luos deux identiques, et repré
sentant d'un côté la Jeuoesse, de l'autre la Vieil
lesse, une statue de femme, peut être une Diane,
entièrement drapée et d'un beau style. On a trouvé
en outre un bras, ce qui fait espérer que la statue a
laquelle il appartenait n'est pas bien loin, et ail
leurs une lyre qui semble promettre un Apollon
ou une Muse.
ESPAGNE.
On mande de Cadix,.le 8
Permettez moi de vous dire encore quelques
mots du Sumler, au sujet duquel j'ai reçu des
nouvelles positives. Tandis que le télégraphe
italien fait eutrer ce bardi corsaire dans le port de
Gênes, et que les journaux de l'Algérie l'entendent
bombarder un navire ennemi, la hauteur d'Alger,
il est tranquillement h l'sDcre devant Gibraltar,
attendant toujours de l'argent qui ne vient pas et
du charbon qu'oo lui refuse.
J'ajouterai, en terminant, ce détail peu impor
tant, mais qui prouve cependaol la façon doot on
écrit l'histoire, de nos jours, que le Sumter est uo
navire b hélice et b cheminée entièrement noire,
et non nn vapeur a aubes et b cheminée rouge,
comme le disent les coirespoudants algériens. Deux
bâtiments de guerre étaient attendus de New York,
dans le détroit, b la date du 21 janvier, et je ne
puis que vous répéter ce que je vous disais dans tua
précédente lettre: Ou le Sumter sera vendu, ou il
sera pris. Dans l'un comme dans l'autre cas, son
aventureuse carrière touche donc b sa fin.
PRESSE.
La Gazette universelle, de Berlin, dit que la
reconnaissance du royaume d'Italie est pour l'Alle
magne le premier pas vers une alliance avec l'An
gleterre que le plus grand danger pour la réforme
fédérale est l'immixtion de l'étranger, surtout de la
France; que le meilleur moyen de la prévenir
loyalement est le traité de commerce avec cette
même puissance.
AETRICIIE.
On écrit de Vienne, le 8 février Nous avons
reçu une triste nouvelle de Hongrie le neveu du
ministre de la guerre, comte Degenfeld, a en le
malheur, au retour de la chasse, d'être dévoré par
les loups. Il allait en traîneau et déchargea un fosil
b coup double et un pistolet sur deux loups qui
l'avaieut attaqué.
Le cocher fouetta les chevaux pour s'éloigner
au plus vite. Il n'avait pas remarqué que le comte
était précipité hors du traîneau quand il s'en
aperçut, il rebroussa chemin et trouva le corps du
comte, qui avait cessé de vivre.
Une scène des plus singulières s'est passée b
Vieune, il y a quelques jours, daos les appartements
d'une veuve. Au moment où cette dame rentra chez
elle, elle trouva dans sa chambre un homme occupé
a vider un écriu. La veuve pousse un cri, se
précipite dans le corridor et enferme le voleur
b double tour. Le propriétaire de la maison et les
locataires se rassemblent sur le palier, et l'on se met
eu devoir d'opérer l'airestatiou du filou.
Le maître de !a maisou entre avec précaution
dans la chambre, suivi de la veuve et de plusieurs
autres persouues. L'appartement est désert; il y
règne un silence de mort. On se regarde et 00
regarde la veuve. Tout b coup l'oo entend une voix
qui dit Est-ce toi, ma chérie? Tu te fais bien
attendre. Et l'on voit se dresser une forme
humaine des plus viriles, coiffée d'un bonnet de
colon. Qu'on juge de la stupéfaction de la veuve et
des éclats de rire des assistants
Le voleur, sans perdre contenance, demande ce
que cela signifie, s'habille b la hâte et s'empresse de
quitter la maison en maugréant contre l'indiscrète
veuve.
Personne n'avait voulu croire que l'on eût affaire
b un fripon, et l'on refusa de tenir compte des
protestations de la veuve. Plus tard seulement, mais
trop lard, on finit par se convaincre qu'on avait été
effrontément dopé par un tosé coquin.
AMÉRIQEE.
On écrit du camp de Jefferson qu'une compagnie
du 1 3* régiment des volontaires de l'Ohio, campé
b Nolin, dans le Kentuky, est formée de tireurs
d'une merveilleuse adresse. Elle est armée de
carabines b Gieenwood et commandée par le capi
taine Gaduer. Il y a quelques jours, un vieux
fermier vint b Nolin avec une charrette de dindons
b vendre; les volontaires loi proposèrent de mettre
dindons, en guise de cible, b une distance de ceut
yards (91 mètres 4o cent.), b raison de 10 cents
(5o centimes) par coup. Le fermier s'empressa d'y
consentir, après avoir remarqué que les carabines
n'avaieol pas de point de mire b la culasse, d'où il
cooclut que ce n'étaient pas des armes de précision.
Le dindon n* 1 (ut mis en place, et le fermier
rit de bon cœur en voyant la tête de l'oiseau erupor*
tée par la première balle c'était là, sans doute, un
coup de hasard.
Le dindon n* 2 eut le même sort au coup suivant,
et le fermier rit un peu b contre-cœur.
Au troisième dindon, il ne fut pas plus heureux.
Le fermier rit jaune alors et ne jugea pas b propos
de prolonger le jeu, attendu que le profit qu'il
espérait faire de ses dindons serait plus que uul, b
raison de trente cents pour trois dindons.
Les volontaires voulurent le dédommager en
continuant b lui donuer le spectacle de leurs exer
cices. Us tirèrent b 225 yards sur une cible de six
pouces de diamètie, et envoyèrent neuf balles sur
dix en pleiu bois. Le paysan, émerveillé, ne put
contenir son admiration, et paya libéralement b
boire b l'escouade qui l'avait tendu témoin de si
surprenants exploits.
DE 8 FÉVRIER AU U INCLUS.
Naissances 11. Sexe masc.7; id. fem. 4.
Mariage. Forrez, Servais, journalier, et De
Gryse, Sophie, journalière.
DÉCÈS 10. a- Blotnrae, Hortense, 3o ans,
deutcllière, épouse d'Auguste Vauoverschelde, rue
du Lombard. Crappeel, Julie, 48 ans, coutu
rière, veuve de Constant in Cochin,ruedes Bouchers.
Derolé, Florence, 21 ans, dentellière, céliba-
taire, rue de Menin. Bondue, Charles, 46 ans,
sans profession, célibataire, rue de Menin.
Fertin, Amélie, 47 ans, dentellière, célibataire,
rue de Meuin. Sonneville, Emilienne, 76 ans,
sans profession, célibataire, rue S' Jacques.
Deheegher, Mathilde, 24 ans, sans profession,
célibataire, rue de Thoorout. Devos, Louise, 23
aos, sans profession, célibataire, S'-Jean lez Ypres.
Verbrugghe, Marie, 63 aos, dentellière, veuve
de Philippe Verdonck, rue de la Meute.Ledieu,
Joséphine, 66 ans, dentellière, épouse d'Emmanuel
Vanbeuckelom, Marché au Bois.
Enfants au dessous de 7 ans 2. - Sexe
mas. 1, sexe Tém. 1.
VAN
ten i1uize van
u'ilEER PtETER GVRDEIS
VAN
IEPEN, ESSCIIEN, BEEKEN,
ABEELEN, POPELIEREN EN WILGEN
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