SPARREN, KOOREN-WINDMOLEN H0FSTE0EKEN ÉTAT-CIVIL D'YPRES, SPARREBOSSCHEN, PRUSSE. AUTRICHE. HONGRIE. AMÉRIQUE. VEND1TIE RODINGBLOKKEN TE UOLLEBEKE EN ZILLEBEKE. Maendag 21en April 1862, 3° Op de Jesuitebosch, by de Barak/ce le Zillebekeeene groote Myte Beuke BRANDHOUT van Spleie, Knippelbondels en Busschen. 4" En op eenen boscb genaemd de Vierungen by d'hofslede de Wilie Hen t'Hollebeke, 30 koopen RODINGBLOKKEN. Te vergaderen t'Hollebeke by Pieter Menu, en te verborgen in den Wilten Haen, by P.-J. Odent. Deze Vendilie zal gebeuren met lyd van betaling voor de koopers die zullen vol- doen aen de voorentehouden condilien door M LANNOY Nolaris le Cornen met deszelfs ontvangsl helast. OVER8LAG Op DONDERDAG 24!,'° APRIL 1862, (en 3 uren na- middrgter herberg Sint- Jooris te Passehendaele in bel dorp zullen de Nolaris- «en OH?vISÇIAStT en CCM7IT, overgaen lot de VOLSTREKTE TOEWYZIISG van eenen welgekalanten KOOREN-WINDMOLEN met HOFSTE- DEKEN, grool in erve II. 2 43 68 op Passchendaele, gebruikt by Sr Sinnesael. Ingesteld frs 14,100. De voorwacrden by dilo Notarissen. partisans de François II n'affluent vers les provin ces napolitaines. Les Espagnols et les Allemands s'embarquent b Marseille, les Autrichiens dans un port de l'Adriatique, les Belges et les Français s'y rendent de Rome Malte aussi a envoyé un contin gent de bourbonniens qui débarquent sur différents côtes du continent. On écrit de Rome, le 8, la Gazelle de foss La foule d'étrangers arrivés ces jours ci est plus que double du nombre ordinaire de ceux qu'attirent les fêtes de Pâques. La prochaiue cano nisation des martyrs japonais a amené plus de cent évêques, suivis d'uue cour d'ecclésiastiques infé rieurs. Il n'y a plus de logement b trouver, même b des prix énormes. On dit que les protestations qui affluent de toutes les parties du pays contre les circulaires électorales ministérielles ne sont pas restées sans iuflueoce sur les dispositions des sphères élevées. Il est certaio que l'intervention des autorités provin ciales aura des effets contraires au but qu'elles se proposaient. On sent partout qu'un lôle malheu reux a été attribué la couronne. Aux 200 maisons de commerce de Berlin dont les propriétaires ont déclaré ne vouloir partir pour la foire de Leipsic qu'après les élections ter minées, se sont ralliées 73 maisons de Kœnigsberg, 17 de Thorn et beaucoup d'aotres des localités industrielles voisines de Berlin. On lit dans V Ostdeulsche Post A ce qu'on mande de Paris le 10, le voyage éventuel du prince Napoléon b Londres pour l'ou verture de l'Expositioo a été l'objet d'un conseil secret aux Tuileries. Ce voyage est fort douteux. Oa objecte la possibilité d'une rencontre du prince avec le duc d'Aomale, car on n'est nullement ras suré su- l'attitude qu'aurait le duc en présence de S. A. Napoléon. Une feuille hongroise rapporte le fait suivant Un Hongrois, le médecin B., et un fermier grec, M. Ch., recherchaient la main de la fille d'un fermier de Toksau. La demoiselle donna la préfé rence au médecin. Quelques jours après les fian çailles, le fermier Ch. tombe malade et fait cher cher le médecin B., qui le trouve dans un état peu dangereux. Ou lui offre de tiebes honoraires et on lui fait accepter quelques rafraîchissements avant sou départ. Il accepte et se remet en route. Mais bientôt il se sent pris de douleurs qui ne lui per mettent pas de douter qu'il n'ait été empoisonné. Il court chez un pharmacien, mais tout secours est inutile; l'infortuné n'a que le temps d'écrire quel ques lignes b son père et meurt bientôt au milieu d'affreuses souffrances. Le père a fait faire l'autop sie du cadavre; on y a trouvé une grande quantité d'arsenic. Un nouveau combat entre le Monilor et le Merrimac paraissait imminent aux dernières non- velles d'Amérique. Le Merrimac, après avoir été réparé, veuait d'être remis b flot et avait été armé de canons d'un plus fort calibre que ceux qu'il avait le 8 mars. Il devait être escorté par le Jameslown et le Yorkthown, et le Jameslown avait déjb fait une reconnaissance du côté de l'île Crauey. Le commandant du Monilor se croit parfaitement eu mesure de couler son redoutable adversaire, et le couimandaut du Merrimac, de son côté, espère que la cuirasse du Monilor ne résistera pas aux nouveaux boulets qu'il lui destine. Pendant que l'on s'évertue b chercher des inventions plus meurtrières, plus destructives les unes que les autres, et par lesquelles 00 puisse anéantir d'un seul coup toute une flotte ou toute une armée, il est consolant de voir que l'on ne s'occupe pas moins activement de progrès scientifiques qui iotéresseut le bien être des peu ples. On était, il y a peu de temps encore, dans une complète incertitude sur les moyens de traosmetlre l'électricité b de grandes distances et de grandes profondeurs dans la mer. Grâce aux travaux récents et aux dernières expériences qui viennent d'avoir lieu sur les côtes d'Irlande, les doutes sont complè tement dissipés. On a aujourd'hui la certitude qu'en augmentant dans une application très-prati que le diamètre du fil conducteur, et en le couvrant d'uue enveloppe suffisante d'enduit isolateur, on peut établir une communication régulière et per manente b des distauces de 1,800 et 1,900 milles avec une transmission de 12 mots b la minute, ce qui est la moyeuoe de la transmission des télégra phes terrestres sur de longues dislances. Une correspondance datée de New-York, le 1" avril, mentionne en ces termes un effroyable accident L'explosion d'uue fabrique de car touches a causé samedi matin un terrible désastre b Philadelphie. Le sol était de tous côtés jonché de débris de chair et d'ossemeuts. Des jambes, des dents, des doigts, des fragments de tète ont été recueilltis sur les loirs des maisons voisines et toutes les murailles environnantes étaient écla boussées de sang. Sur soixante dix huit personnes employées dans l'établissement, on n'a trouvé jusqu'ici trace que de soixante-une, et sur ce nom bre ou en compte quarante ou cinquante tuées sur le coup, une trentaine de femmes et de jeunes filles figurent parmi les morts. On a établi des ambulan ces dans lotîtes les habitations du voisinage. On lit dans le Courrier des Étals Unis du 29 mars: a Les bombardes composant la flottille fédérale qui agit en ce moment contre l'île n° 10 du Mississipi sont armées d'engins de guerre d'une puissance formidable. Ce sont des mortiers-monstres dont l'orifice n'a pas moins de i3 ponces de diamètre et est encerclé dans un tube de fer massif de 17 pouces d'épaisseur. La longueur de la pièce est de pieds et sa profondeur de 3 pieds. La charge se compose de a5 livres de poudre (le poids ordinaire d'un baril), reuferuiées dans un sac de flanelle; puis vient un valet nu bourre d'une espèce particulière; enfin une énorme bombe pesant 220 livres et garnie d'une fusée métallique. On perce le sac b poudre par la lumière; la direction générale est donnée par le bâtiment, puis régularisée par l'affût, muni de l'appateil ordinaire qui mesure l'angle d'inclinaison enfin on met le feu. Les artilleurs sont protégés par une espèce de paravant en toile goudronnée contre la vibration détetmiuée par l'explosion, et qui est si terrible, que leurs yeux et leuis oreilles seraient en danger s'ils en recevaient l'impression immédiate. Il faut quelques minutes pour laisser dissiper la fumée, éponger la pièce, la rafraîchir, charger et tirer de nouveau. Ou travaille nuit et jour b la confection des projectiles nécessairesà l'approvisionnement de l'expédition. BU 12 AVRIL AU 18 INCLUS. Naissances 8. Sexe masc. 4, idem fétu. 4. Mariage. Aeben, Gérard, propriétaire, tl Wallaerl, Justine, sans profession, décès 8. Charoint, Elise, 47 ans,dentellière, épouse de Louis Bollaert, rue de Menin. Heuge- baert, Marie, 9 arts, rue Longue du Marais. Cauwelier, Jeanne, 74 ans, journalière, célibataire, tue de Menin. Maes, Joseph, 3g ans, tailleur, époux de Pélagie Vandenbriele, rue de Menin. Spinnewyti, Marie, 31 ans, dentellière, célibataire, rue de Menin. Lava, Rosalie, 41 ans, religieuse* rue au Beurre. Deveusere, Joseph, 4g ans, boutiquier, époux de Cathérioe Devroede, rue au Beurre. Vandenroortel, Emma, 20 ans, dentel lière, célibataire, rue de la Boule. Enfants au-dessous de 7 ans 5. - Sexe mas. 4, sexe fétn.'i. van en ander (Paesche Mestdag) om len twee uren na- middag te beginnen. 1e Op 't gebruik van Petrcs Menu t'Hollebeke, digt aen 't luslhof van AI' Deneckere, eene groote kwantiteyt SPAR REBOSSCHEN. 2" By 't hof Alexander Deleu naer Constantin Odent op Zillebeke, weinig noord 't voorgaende, eene groote hoeveel- heyd allerhande SPARREN. van eenkn met op

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1862 | | pagina 3