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00GZIEKTEN.
HENRI VAN LERBERGHE,
Den MAEtNDAG 26° MEl 1862, ten 4
uren, in de estaminet S-Laurens, t'Yper,
zal den Nolatis LXkMSICT voortsvaretl
lot den OVERSLAG der volgende HUISEN
en ERVEN binnen de zelve stad gelegen
te welen
1° Vier aen een houdende HUISEKENS
in het S1 Pieters Kwartier, gebruikt aen
24 francs le rnaende.
Staet op 1,960 francs
2° Een schoon HUIS in de Grimmink-
straet. by de berberg de Belle Vue, gebruikt
door S' Roffiaen, kuiper, aen 20 francs te
rnaende.
Staet maer op 3,000 francs.
3° Een groot HUIS met DRY ACHTER
WOONSJES en 4 aren, 01 centiare Grond
en Erve, in de Rysselslraet, n° 123, ge
bruikt te zamen aen 28 francs, 20 c" te
maende.
Staet maer op 3,100 francs.
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Heeft de eer bel Publiek kenbaer te
maken dat men hem aile dagen kan raed-
plegen ter zyner wooning, Stalie Plaets,
N* 3, te Kortryk.
De armen worden gratis gemeesterd.
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mort, malgré les trois coups de hache qu'il a reçus
sur la rête, et ou espère (s'il en échappe) pouvoir
obtenir des renseignements que le meurtrier persiste
b ne pas vouloir donner.
Si l'on adopte ce système, on sera forcé
d'attendre au moins six mois avant de pouvoir
questionner le blessé, si toutefois il ne reste pas
complètement hébété par suite de la perturbation
qu'il'a éprouvée dans le crâne.
reconnaissance stratégique en bal
lon. Nous extrayons d'une correspondance
américaine, adressée au Moniteur universel, les
détails suivants sur une reconnaissance en ballon
exécutée par le général Fity John Peter, l'armée
de Mac-Clellan
C'est le ballon du professeur Lovve qui a servi
l'expérience; au lieu d'un grand nombre de fils
dont ou fait usage d'ordinaire pour tenir le ballon
captif, on avait cru devoir ne le rattacher que par
on seul de 900 mètres environ, dont une partie
avait été brûlée par le vitriol, comme on l'a appris
depuis. De grand matin, le général cotnmeuça son
ascension; elle s'opérait rapidement, quand tout h
coup la corde cassa.
Ce fut un coup de théâtre, tout le moode resta
stopéfait; le général ne paraissait pas le moins
abasourdi de l'événement. On lui cria d'ouvrir la
soupape. En attendant, le ballon, dégagé de ses
liens, s'élançait dans l'air comme un oiseau échappé
de sa cage; il montait en ligoe droite et bientôt ne
fot plus qu'un point dans i'éthcr. Le vent portait
vers les lignes ennemies. Il fallait voir les assistants
et tout l'éiar-tuajor cheval, les yeux fixés vers ce
point. Le cô>é comique de la scène égalait le côté
dangereux. Les anxiétés étaient terribles pourtant;
h celte énorme distance, on voit mal les mouve
ments d'un ballon; d'ailleurs; il disparaissait visi
blement dans l'espace.
Tout b coup, il semble chaoger de direction et
revenir vêts le camp fédéral; l'espoir rentra dans
tous les cœurs; il fut de courte durée, car le ballon
se mit S descendre avec une rapidité si effrayante
qu'un uouveau et plus terrible danger paroi mena
cer le pauvre général. A l'instant, on détachement
de cavalerie se mit b suivre le ballon au galop. Il
faotlaisser la paroleaugénéral, bérosde l'aventure,
pour raconter lui-même la fin de l'histoire.
Quand la corde fut lâchée, il avait pris sa lunette
pour examiner les dispositions de l'ennemi; mais
quaud il vit la corde cassée, il reogaîua son instru
ment. On lui cria d'ouvrir la soupape; il se mit en
devoir de le faire, mais l'opération n'était pas
facile. Je me sentais excité, dit-il, mais pas du
tout ému. Il voyait parfaitement que le vent
l'entraînait vers les tetranchements de l'ennemi. Il
avisa alors que comme il n'avait aucune envie de
descendre au milieu des sécessionnistes, il valait
mieux laisser la soupape Irauquille; d'ailleurs,
c'était uue occasion admirable de recueillir les
renseignements qui l'intéressaieut. Des troupes de
soldats soitaient des bois, et il entendait distincte
ment les coups de fusil qu'ils liraient sur lui; mais
comme il était hors de la portée des balles, il s'en
souciait peu.
Le damier formé par le pays était facile dis
cerner. Il voyait la ville d'York et ses travaux
de défense, la rivière et ses méandres, Norfolk avec
ses cheminées fumeuses. A ce moment, un contre-
couraut prit le ballon, qui comtueuça b revenir sur
sa course. Ce retour s'effectua avec une rapidité
incroyable. Dès qu'il se vit au-dessus des siens,
le général ouvrit la soupape et il commença
descendre, mais avec une rapidité telle, qu'il ne
voudrait pas, disait-il, recommencer l'expérience.
La nacelle frappa sur le haut d'une tente où,
heureusement, il n'y avait personne; le général se
trouva en un instaul enseveli sous uue ruasse de
tissu tombée. Il descendit du haut He la tente;
il était au milieu de son camp, b cent pas du
quatlier-géuéral de Mac Clellau. Je viens, monté
comme vous voyez, tel fut le premier mot qu'il
dit au général Burn, qu'il trouva peu près seul
daus ce momeul.
Tout devient spectacle, du reste, en ce pays. Le
matin du jour où le Merrimac a fait sa dernière
sortie, ce ne fut pas une des moindres curiosités qoe
de voir b la suite de la frégate un cortège de petits
bateaux b vapeur s'avaoçaut timidement sous leurs
noirs panaches de fumée. C'étaient des trains de
plaisir. Une foule de spectateurs du Sud avaient
voulu assister b la lutte entre les deux chevaliers
bardés de fer qu'on appelle le Merrimac et le
Monitor. Il en fut de même, du reste, b Port-
Royal, dès que la nouvelle du combat probable se
fut répandue, des milliers de spectateurs couvrirent
les rivages, les parapets des forts, les ponts des
vaisseaux. On connaît la suite du drame la toile a
été baissée avant le dénoûmeot.
Une feuille parisienne mentionne le fait
suivant Le nommé Louis D... travaillait, il
y a deux ans et demi, dans une fabrique de
boutonsil avait accroché dans l'atelier sa
montre en or, retenue par un cordonnet de soie.
Il quitta pour quelques instants seulement la
place qu'il occupaitlorsqu'il y revint, la
montre avait disparu.
On soupçonna de ce vol un individu qui
était venu sous prétexte d'offrir aux ouvriers
des livraisons d'un ouvrage de librairie. Cet
homme ne reparut pas et les recherches qu'on
fit pour le retrouver restèrent sans effet.
L'ouvrier avait fini par Jaire son deuil de
cette perleil s'était même acheté, en faisant
de nouvelles économies une petitre montre en
argent, lorsque, dimanche au soir, assez tard,
on apporta chez son portier une boite son
adresse parfaitement scellée et enveloppée d'un
papier goudronné.
Elle fut remis lundi matin Louis D...
qui, fort intrigué, l'ouvrit et resta confondu de
surprise en retrouvant sa montre en or et
accompagnée d'un billet anonyme ainsi conçu
Il y a deux ans et demi poussé par la
misère, j'ai commis une faute, je vous ai pris
votre montre. J'espérais pouvoir vous la rendre
un jour. Ce jour est arrivé. Ayant trouvé du
travail, j'ai amassé l'argent et j'ai dégagé
votre montre que je renvoie. Je serais bien
heureux si vous me pardonniez et si vous
acceptiez, litre de dédommagement, la chaîne
que je prends la liberté de vous offrir. Signé
Un homme qui se repein.
Sous ce titre Enulish importation.
Une feuille parisienne rapporte le fait suivant
Uue Anglaise, qu'on a su depuis ê're une veuve
J..., âgée de vjngt- huit ans, originaire dti comté de
Norfolk, était descendue b l'hôtel de Boulogne,
rue Grenelle-Saint Honoré, eu compagnie d'un
individu qui paraissait être sou mari. Ils ariêtèreul
un appartement confortable, se fireut servirent un
excellent souper, puis se couchèrent, après avoir
dit que leurs malles et leurs bagages n'arriveraient
que le lendemain.
Le lendemain matin, l'Anglais se disposait b
sortir, lorsque le maître de l'hôtel l'arrêta eu lui
disant que puisqu'il n'avait pas d'effets pouvant
répondre de sa solvabilité, il ferait bieu de payer
sa dépense.
Comment! s'écria le voyageur, mais je vais
précisément chercher nos malles afin de vous sol
der. J'ai l'intention de faire ici un assez long
séjour. D'ailleurs, puisque madame reste chez vous,
que pouvez-vous craindre!
Ces paroles dites avec aplomb ébraolèrent
l'hôte, qui finit par laisser sortir le personnage. Peu
d'instants après, on apporta une malle excessive
ment lourde b l'adresse de l'insolaire. Ou eut
beaucoup de peine b la hisser jusqu'b l'appartement
de celui-ci. Une telle pesanteur parut suspecte au
propriétaire de l'hôtel il dit b la darne: Maintenant
que vous avez votre malle, je vous prie de vouloir
bian me payer. Oh! non, répondit-elle; je ne
donne jamais d'argent quand mort mari n'est pas Ib.
Cette téponse confirma les soupçons de l'hôte
lier, et il alla en faire part au commissaire de
policedu quartier des Halles. Ce magistral fil ouvrir
la malle, dont la dame avait précisément la clef
sur elle. On n'y trouva qu'un pot de pommade et
des pavés, enveloppés avec soin dans de vieux
journaux.
La veuve J... a été aussitôt arrêtée; elle a
refusé de faire connaître son complice, lequel,
quoique Iparlant parfaitement français, se faisait
passer pour anglais. A la suite des constatations,
1 inculpée a été conduite b la préfecture.
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Gedekorcerd door X. m. de Koniiig
der Belgen,
HEEL- EN OOGMEESTER DER BL'RGERLYKE GODSHl'IZEN
DER STAD KORTRYK,
Cette combinaison nouvelle, basée sur
des principes non connus des mé
decins anciens, remplit avec un bon
heur remarquable toutes les conditions
i du problème de la médication purga-
lire. A l'opposé des autres purgatifs,
celui-ci n'opère bien que lorsqu'il est
pris avec de très bons aliments et des
boissons fortifiantes. Il ne manque pas
son effet, comme cela arrive souvent
l'eau de Sedlilz et d'autres purga
tifs. La dose est facile régler selon l'âge ou la force des in
dividus. Les enfants, les vieillards et les malades les plus dé
bilités le supportent sans difficulté. Chacun choisit, pour se
purger, l'heure et le repas qui lui conviennent le niienx, selon
ses occupations habituelles. La fatigue de In purgalion étant
complètement annulée par l'effet de la bonne alimention pres
crite, on se décide facilement recommencer aussi souvent que
cela est nécessaire. Les médecins qui emploient ce moyeu,
ne rencontrent plus de malades hésitant se purger, sous pré
texte de mauvais goût, ou par la crainte de s'affaiblirLa lon
gueur du traitement n'est plus un obstacle, et lorsque le mal
exige, par exemple, qu'on se purge vingt fois de suite, on
n'est plus retenu par fa crainte d'être obligé de renoncer avant
la fin. Ces avantages deviennent bien plus précieux, quand
il s'agit de maladies sérieuses, telles que tumeurs,engorgements,
affections cutanées, catarrhes cl bien d'autres maux réputés in
curables, mais qui cèdent une purgation régulière et long
temps réitérée. Voir le Manuel de la médication purgative du
docteur Weliaul, volume de 264 pages, donné gratuitement.
Paris, pharmacie du D' I>cbaiil, et dans toutes les bonnes
pharmacies de l'Europe. 5 fr. et 2 fr. 50 cent.
Déposé a la Phaimicie île Fit Y.SOU - V A IN'OUTti IV I".
rut de Dixiuudi', 35, Y] tes.